Alicia
Bronze
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- Dague et Arbalète
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descriptionUne vie ne vaut rien, mais rien ne vaut une vie [Émilia et Elim]Mar 25 Avr - 3:21
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Ce soir malheureusement, je n'avais pas trouvé le sommeil. L'endroit ou j'avais posé mon sac et mon étui pour fermer les yeux étaient inconfortable. De plus, un ivrogne était venu se couché contre moi, il empestait l'air ambiant me donnant des haut le cœur qui me fit partir rapidement. Ne pas avoir de toit sur la tête, est devenu un problème pour moi. Vous savez, il y a si longtemps que ma seule préoccupation est de savoir ou je vais dormir. Je ne suis pas riche et toute l'argent que j'ai je le garde sur moi pour un projet, oui j'aimerais bien avoir un petit commerce ou je pourrais chanter, pas une taverne il en existe selon moi beaucoup trop dans ce monde. Pas un magasin de thé, celui qui est dans la ville est déjà assez bien, A vrai dire, j'aimerais un endroit de détente dans les montagnes quelque chose avec des sources chaude, une petite place pour écouter de la musique, du violon ou le glissement de mes doigts sur les douces cordes du harpe centenaire.
Ce rêve, il était loin, je l'avais souvent perdu de vu, me demandant si un théâtre ne serais pas un meilleure investissement, peut-être un mélange des deux. Marchant dans la rue, mon petit sac sur l'épaule et mon étui sur l'autre j'observe les lumières de la nuit au-dessus de ma tête. Il y a une semaine déjà que je n'ai pas croisé Emilia. Destiné ou hasard, nos chemins ne se sont pas recroisé depuis. Mais je ne pouvais lui en vouloir, j'étais plutôt occupé moi aussi et j'avais complètement oublié de lui demander comme la rejoindre dans cette grande ville.
Des brins de conversation m'était revenu à la mémoire, elle avait parler qu'elle était infirmière dans le quartier nord, j'avais donc passé la nuit à me promener dans les rues et les artères sans la croisé. Il y avait beaucoup de gens ici bas et des gens plus ou moins fréquentable. L'attaque avait causé bien des dégâts et les gens affichaient encore les blessures de la peur sur leur visage.
Je pouvais les comprendre, autrefois, la caravane avait été attaqué par plusieurs monstres, nous avions perdu deux membres de notre troupe et une bonne partie des caravanes avaient été détruire. Nous avions broyés du noir quelques jours avant de reprendre confiance et de recommencer à vivre. Il ne faut pas oublier les morts, mais il faut apprendre à vivre pour eux.
La lune était blonde et brillait dans le ciel, me guidant des les rues jusqu'à un petit regroupement d'homme. Soupirant, je plaça mon large capuchon sur ma tête et je pris mon courage «Bonsoir, pardonnez moi de vous dérangez» Ma voix calme et douce fit tourné la tête des trois hommes qui devaient avoir en moyenne 30 ans, habillés simplement affichant un petit regard soupir «Demoiselle, il se fait tard, vous ne devriez pas être dans la rue» Je sentie un soulagement me caresser le cœur sur le ton de voix de l'homme. «En fait, je cherche une infirmière du nom de Emilia»
Les trois hommes s'accordèrent un regard un moment et le premier retourna son attention sur moi, avec un petit sourire il pointa dans une direction «Probablement chez Elim, Deux ruelles plus haute à gauche, vous ne pouvez pas le manquer, mais il est tard ils doivent dormir, je vous conseil de ne pas les réveiller pour rien ils travaillent fort chaque jour et mérite bien leur sommeil» Mon regard se tourna en direction de l'indication et retourna mon attention sur l'homme «Je vous remercie et je ferais attention» Machinalement je fis une petite révérence en guise de remerciement et pris la direction indiqué.
Mon cœur battait rapidement, heureusement il existait encore des gens au cœur d'or. Ma chance semblait avoir étrangement tourné et j’arrivai devant un bâtiment qui à première vue pouvait avoir l'allure d'une clinique. Montant doucement sur le porche je déposa mon sac et mon étui de violon pour venir appuyé mon dos contre le mur non loin de la porte. La nuit était encore jeune et le soleil n'allait pas montrer son nez pou un moment. Je me redressai sur le bout des genoux pour observer par la fenêtre, aucune lumière ne brillait et le silence semblait être maître des lieux. Soupirant alors, je pris appuis sur le sol, plaçant mon sac pour en faire un coussin inconfortable et je me coucha sur le dos fixant le plafond de bois qui protégeait le balcon de bois. Mes yeux étaient lourds et j'avais légèrement froid, m'enroulant dans ma cape cachant mon visage pour disparaître dans l'épais tissus sombre je m’assoupis doucement, un petit sourire sur les lèvres à l'idée de peut-être revoir Emilia au levé de jour.
Ce rêve, il était loin, je l'avais souvent perdu de vu, me demandant si un théâtre ne serais pas un meilleure investissement, peut-être un mélange des deux. Marchant dans la rue, mon petit sac sur l'épaule et mon étui sur l'autre j'observe les lumières de la nuit au-dessus de ma tête. Il y a une semaine déjà que je n'ai pas croisé Emilia. Destiné ou hasard, nos chemins ne se sont pas recroisé depuis. Mais je ne pouvais lui en vouloir, j'étais plutôt occupé moi aussi et j'avais complètement oublié de lui demander comme la rejoindre dans cette grande ville.
Des brins de conversation m'était revenu à la mémoire, elle avait parler qu'elle était infirmière dans le quartier nord, j'avais donc passé la nuit à me promener dans les rues et les artères sans la croisé. Il y avait beaucoup de gens ici bas et des gens plus ou moins fréquentable. L'attaque avait causé bien des dégâts et les gens affichaient encore les blessures de la peur sur leur visage.
Je pouvais les comprendre, autrefois, la caravane avait été attaqué par plusieurs monstres, nous avions perdu deux membres de notre troupe et une bonne partie des caravanes avaient été détruire. Nous avions broyés du noir quelques jours avant de reprendre confiance et de recommencer à vivre. Il ne faut pas oublier les morts, mais il faut apprendre à vivre pour eux.
La lune était blonde et brillait dans le ciel, me guidant des les rues jusqu'à un petit regroupement d'homme. Soupirant, je plaça mon large capuchon sur ma tête et je pris mon courage «Bonsoir, pardonnez moi de vous dérangez» Ma voix calme et douce fit tourné la tête des trois hommes qui devaient avoir en moyenne 30 ans, habillés simplement affichant un petit regard soupir «Demoiselle, il se fait tard, vous ne devriez pas être dans la rue» Je sentie un soulagement me caresser le cœur sur le ton de voix de l'homme. «En fait, je cherche une infirmière du nom de Emilia»
Les trois hommes s'accordèrent un regard un moment et le premier retourna son attention sur moi, avec un petit sourire il pointa dans une direction «Probablement chez Elim, Deux ruelles plus haute à gauche, vous ne pouvez pas le manquer, mais il est tard ils doivent dormir, je vous conseil de ne pas les réveiller pour rien ils travaillent fort chaque jour et mérite bien leur sommeil» Mon regard se tourna en direction de l'indication et retourna mon attention sur l'homme «Je vous remercie et je ferais attention» Machinalement je fis une petite révérence en guise de remerciement et pris la direction indiqué.
Mon cœur battait rapidement, heureusement il existait encore des gens au cœur d'or. Ma chance semblait avoir étrangement tourné et j’arrivai devant un bâtiment qui à première vue pouvait avoir l'allure d'une clinique. Montant doucement sur le porche je déposa mon sac et mon étui de violon pour venir appuyé mon dos contre le mur non loin de la porte. La nuit était encore jeune et le soleil n'allait pas montrer son nez pou un moment. Je me redressai sur le bout des genoux pour observer par la fenêtre, aucune lumière ne brillait et le silence semblait être maître des lieux. Soupirant alors, je pris appuis sur le sol, plaçant mon sac pour en faire un coussin inconfortable et je me coucha sur le dos fixant le plafond de bois qui protégeait le balcon de bois. Mes yeux étaient lourds et j'avais légèrement froid, m'enroulant dans ma cape cachant mon visage pour disparaître dans l'épais tissus sombre je m’assoupis doucement, un petit sourire sur les lèvres à l'idée de peut-être revoir Emilia au levé de jour.
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Mar 25 Avr - 3:21