Yvana T. Sturdlewe
Maître-Guérisseur - Ascléros's Scholars
Bronze
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- Date d'inscription :
- 12/10/2021
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- Dispo-lente ~
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- Alchimiste-herboriste-archère :3
- Couleur d'Essence :
- Verte
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- Arc
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- Or @@@@
- Puissance d'Essence :
- 13759
La première journée d'entraînement a été positive. J'ai fait mes preuves, on dirait, au moins, un petit peu, sur des petites bestioles pas trop méchantes. J'imagine qu'il y a un début à tout...
Pour me remettre un peu de mes émotions, j'ai décidé de prendre l'air. Je me baladais au hasard dans le centre-ville, mais il faut avouer qu'il n'y a pas grand chose de spécial à y voir... Peut-être devrais-je visiter la Cathédrale un jour ? Une autre fois, peut-être...
Finalement, je m'oriente au hasard, en m'éloignant doucement mais sûrement du centre. Gustave s'est assis sur mon épaule, je sens son petit chapeau contre mon cou, je pense qu'il s'est endormi. Il a vécu de grosses émotions, c'est pas facile pour un petit Mougni comme lui. Ai-je vraiment bien fait de l'amener ici avec moi ? C'est pas comme si t'avais choisi, Yva, c'est même plutôt lui qu'est parti en premier. C'est un dur à cuire, plus que tu le penses !
J'essaie de me rassurer comme je peux. Se balader avec un champignon sur l'épaule, c'est toujours un peu incongru pour les gens, je crois.
Je rêvasse, je regarde les maisons, je regarde le ciel. Tout est si joli ici, je ne connaissais pas ce genre d’architecture... Les gens ont utilisé des... barres en métal, pour délimiter leurs maisons ? Et pourquoi sont-elles toutes en pierre ?
Dans la sylve, on ne s’embarrasse jamais de ce genre de choses...
Je me rends compte que j'arrive au niveau d'étals... Un marché ? Mais quelle bonne idée !! Je me mets à trottiner si vite, tellement impatiente de voir les marchands, que Gustave se réveille en sursaut et manque de tomber, il se raccroche à mes cheveux.
Excuse-moi, p'tit Gus, mais t'as vu tout ça ??
Mougnignigni...!
Ah, bien sûr, il râlouille un peu, ça m'étonne pas trop, ça me fait même rire, je pouffe un peu du nez.
Et... Je fais plus attention à où je marche, je crois que je rentre dans quelqu'un, ce qui me fait trébucher. J'essaie de me rattraper, mais la seule chose que je trouve à ma portée, c'est un étal de tomates, que je fais tomber avec moi.
Merde, non, non, non...
Je ne sais pas où me mettre. J'ai tellement, tellement horreur d'être le centre de l'attention, de me donner en spectacle, que je me confonds en excuses, auprès du marchand, ainsi que de la personne que je viens de bousculer.
Oh, pardon, pardon, je suis vraiment désolée, pardon, je vais tout arranger, pardon, j'espère que j'ai pas tâché vos vêtements, excusez-moi, monsieur le marchand, pardon, monsieur... ?
Je relève subrepticement les yeux pour voir à quoi ressemble la personne que j'ai bousculée, un jeune homme brun, et je panique d'autant plus. Pourquoi j'ai levé les yeux vers lui...??!!
Pour me remettre un peu de mes émotions, j'ai décidé de prendre l'air. Je me baladais au hasard dans le centre-ville, mais il faut avouer qu'il n'y a pas grand chose de spécial à y voir... Peut-être devrais-je visiter la Cathédrale un jour ? Une autre fois, peut-être...
Finalement, je m'oriente au hasard, en m'éloignant doucement mais sûrement du centre. Gustave s'est assis sur mon épaule, je sens son petit chapeau contre mon cou, je pense qu'il s'est endormi. Il a vécu de grosses émotions, c'est pas facile pour un petit Mougni comme lui. Ai-je vraiment bien fait de l'amener ici avec moi ? C'est pas comme si t'avais choisi, Yva, c'est même plutôt lui qu'est parti en premier. C'est un dur à cuire, plus que tu le penses !
J'essaie de me rassurer comme je peux. Se balader avec un champignon sur l'épaule, c'est toujours un peu incongru pour les gens, je crois.
Je rêvasse, je regarde les maisons, je regarde le ciel. Tout est si joli ici, je ne connaissais pas ce genre d’architecture... Les gens ont utilisé des... barres en métal, pour délimiter leurs maisons ? Et pourquoi sont-elles toutes en pierre ?
Dans la sylve, on ne s’embarrasse jamais de ce genre de choses...
Je me rends compte que j'arrive au niveau d'étals... Un marché ? Mais quelle bonne idée !! Je me mets à trottiner si vite, tellement impatiente de voir les marchands, que Gustave se réveille en sursaut et manque de tomber, il se raccroche à mes cheveux.
Excuse-moi, p'tit Gus, mais t'as vu tout ça ??
Mougnignigni...!
Ah, bien sûr, il râlouille un peu, ça m'étonne pas trop, ça me fait même rire, je pouffe un peu du nez.
Et... Je fais plus attention à où je marche, je crois que je rentre dans quelqu'un, ce qui me fait trébucher. J'essaie de me rattraper, mais la seule chose que je trouve à ma portée, c'est un étal de tomates, que je fais tomber avec moi.
Merde, non, non, non...
Je ne sais pas où me mettre. J'ai tellement, tellement horreur d'être le centre de l'attention, de me donner en spectacle, que je me confonds en excuses, auprès du marchand, ainsi que de la personne que je viens de bousculer.
Oh, pardon, pardon, je suis vraiment désolée, pardon, je vais tout arranger, pardon, j'espère que j'ai pas tâché vos vêtements, excusez-moi, monsieur le marchand, pardon, monsieur... ?
Je relève subrepticement les yeux pour voir à quoi ressemble la personne que j'ai bousculée, un jeune homme brun, et je panique d'autant plus. Pourquoi j'ai levé les yeux vers lui...??!!
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Sam 16 Oct - 22:41