Kunoki (Dreackm)
Cavalier - Dark Souls
Bronze
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- Date d'inscription :
- 22/04/2023
- Gils :
- 1861
- Disponibilité Rp :
- variable
- Messages :
- 49
- Métier :
- Aucun
- Couleur d'Essence :
- Verte (Objectif marron)
- Style d'Arme :
- Le feu. Dans ta figure.
- Rang :
- Bronze @@@
- Puissance d'Essence :
- 725
« Non mais non mais … merde !
C’est chiant, mais faut le reconnaître. De ce que t’as compris en écoutant Rexou le gentil toutou, t’es pas dans l’Humivers. Ni même dans le Démivers, ou les alternatifs.
On a peut-être pris cher face au sergent chien-chien, mais on a au moins une fierté : Sous la surprise, il n’a pas vu le coup venir. Même pas eu à utiliser les flammes, juste les poings. Ça lui apprendra à te sous-estimer. Il a dû te prendre pour un gamin, le Roucrir. Ça se voit qu’il a jamais eu à mener une vraie guerre, il se prend pour un grand sergent de bataille. Mais qu’il revienne te voir quand il aura mené des troupes en tant que général. Il fallait qu’il se rende compte de son rang, l’aboyeur.
Bon, tant pis, le coquard sur ton œil en retour restera quelques semaines. Tu vas dire quoi à Anoki et Kajiko quand tu vas rentrer ? Oh, oui, que t’en es particulièrement fier. Anoki va encore faire ses gros yeux. Et ce sera l’occasion pour toi de sourire. Après tout, c’est pas Sylvester qui aurait pu faire ça, à ta place. Kajiko risque de t’envoyer son regard noir, mais bon. Qu’importe. L’essentiel c’est de les retrouver.
- Par contre, là, Créauteur, tu fais chier. Je retourne au Portail, et crois-moi, je vais te le repasser fissa dans l’autre sens. Et… si tu tentes de m’en empêcher, je crame cette ville, alors t’as intérêt à me faciliter la tâche.
Oui, on l’a dit à voix haute. On assume. Après tout, on sait que les gens ici-bas ne sont que des personnages dans cette grande pièce de théâtre qu’est l’univers. Que tu sois pas dans le tien ne change rien. Il y a un Créauteur, qui te lit, t’épie, et connaît jusqu’à la moindre de tes pensées pour peu qu’il prenne le temps d’y réfléchir plus de trente sec… Ah mais attends.
- Nan, sérieux. Tu m’écoutes, c’est ça ? Je suis dans les lignes de ton roman ? Franchement, tu fais chier, Créauteur de mes deux. Je sais que tu m’entends. Ou que tu me lis. Je te distrais, c’est ça ? T’es qu’une raclure. Si tu m’as invoqué ici, c’est que tu me suis. Occupe-toi de tes fesses, l’Écrivain.
Ah. La voilà, la grande place de merde. Retour à la case départ. À nous deux. On s’approche du portail qui t’a vomi. C’est lui qui va prendre cher. En plus il a l’audace d’être clos, maintenant. Pas pour longtemps. Il n’a jamais eu affaire à un démon, et encore moins à un dragon.
Ce monde ne connaît rien à la technologie, mais ce n’est pas la magie qui manque. Reste à voir si elle suit les mêmes lois que dans tes mondes. Ici on a peut-être bridé tes pouvoirs de dragon, mais ce n’est pas le seul moyen de se venger, loin de là.
- Allez, ouvre-toi, portail de malheur ! Créauteur, c’est le moment de me prouver que tu as une once de bonté. Si tu me l’ouvres, ou … je sais pas, que tu mets sur ma route quelqu’un qui peut réactiver cette chose, je suis prêt à ravaler ma fierté.
… On a attend. Toujours rien. Bon…
- EH, CRÉAUTEUR ! J’AI DIT QUE JE VOULAIS REPASSER TON PORTAIL DANS L’AUTRE SENS ! TU M’ÉCOUTES AU MOINS ?
Il se fiche de notre gueule en fait. Mais on va se le cramer son portail, en fait !
- EH, LE DIEU LOCAL, OUI, TOI QUI ME LIS ! JE TE LAISSE TROIS SECONDES AVANT QUE JE DÉFONCE TOUTE CETTE PLACE. TROIS.
On sait qu’il va se passer un truc. C’est obligé. Les Créauteurs sont tous comme ça, ils se conforment à des schéma pré-établis, dont celui du schéma narratif. Ils pensent comme des humains, c’est à dire pas plus loin que le bout de leur nez. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, la tentation est trop grande.
- DEUX !
On allume les flammes. Tant pis si des gens se sont retournés pour te dévisager. De toute façon, tout comme ce T-Rex qui ne sait qu’aboyer, ils ne comprennent rien. Il est temps de leur faire expérimenter par le feu le fait qu’ils ne sont que des êtres de pensées dans un univers fictif. Et, au moins, qu’ils voient qui est le maître ici.
- UUUUUUN !
Qu’on se le dise. Si d’aucuns jugeraient la pierre qui orne ce portail fermé particulièrement esthétique, t’en as rien à battre. T’as cramé des tartines, des arbres, des villes, des gens. C’est pas trois caillasses tout juste bonnes à former un motif esthétique qui vont t’arrêter.
- TU L’AURAS VOULU, CRÉAUTEUR DE MON CUL ! »
C’est chiant, mais faut le reconnaître. De ce que t’as compris en écoutant Rexou le gentil toutou, t’es pas dans l’Humivers. Ni même dans le Démivers, ou les alternatifs.
On a peut-être pris cher face au sergent chien-chien, mais on a au moins une fierté : Sous la surprise, il n’a pas vu le coup venir. Même pas eu à utiliser les flammes, juste les poings. Ça lui apprendra à te sous-estimer. Il a dû te prendre pour un gamin, le Roucrir. Ça se voit qu’il a jamais eu à mener une vraie guerre, il se prend pour un grand sergent de bataille. Mais qu’il revienne te voir quand il aura mené des troupes en tant que général. Il fallait qu’il se rende compte de son rang, l’aboyeur.
Bon, tant pis, le coquard sur ton œil en retour restera quelques semaines. Tu vas dire quoi à Anoki et Kajiko quand tu vas rentrer ? Oh, oui, que t’en es particulièrement fier. Anoki va encore faire ses gros yeux. Et ce sera l’occasion pour toi de sourire. Après tout, c’est pas Sylvester qui aurait pu faire ça, à ta place. Kajiko risque de t’envoyer son regard noir, mais bon. Qu’importe. L’essentiel c’est de les retrouver.
- Par contre, là, Créauteur, tu fais chier. Je retourne au Portail, et crois-moi, je vais te le repasser fissa dans l’autre sens. Et… si tu tentes de m’en empêcher, je crame cette ville, alors t’as intérêt à me faciliter la tâche.
Oui, on l’a dit à voix haute. On assume. Après tout, on sait que les gens ici-bas ne sont que des personnages dans cette grande pièce de théâtre qu’est l’univers. Que tu sois pas dans le tien ne change rien. Il y a un Créauteur, qui te lit, t’épie, et connaît jusqu’à la moindre de tes pensées pour peu qu’il prenne le temps d’y réfléchir plus de trente sec… Ah mais attends.
- Nan, sérieux. Tu m’écoutes, c’est ça ? Je suis dans les lignes de ton roman ? Franchement, tu fais chier, Créauteur de mes deux. Je sais que tu m’entends. Ou que tu me lis. Je te distrais, c’est ça ? T’es qu’une raclure. Si tu m’as invoqué ici, c’est que tu me suis. Occupe-toi de tes fesses, l’Écrivain.
Ah. La voilà, la grande place de merde. Retour à la case départ. À nous deux. On s’approche du portail qui t’a vomi. C’est lui qui va prendre cher. En plus il a l’audace d’être clos, maintenant. Pas pour longtemps. Il n’a jamais eu affaire à un démon, et encore moins à un dragon.
Ce monde ne connaît rien à la technologie, mais ce n’est pas la magie qui manque. Reste à voir si elle suit les mêmes lois que dans tes mondes. Ici on a peut-être bridé tes pouvoirs de dragon, mais ce n’est pas le seul moyen de se venger, loin de là.
- Allez, ouvre-toi, portail de malheur ! Créauteur, c’est le moment de me prouver que tu as une once de bonté. Si tu me l’ouvres, ou … je sais pas, que tu mets sur ma route quelqu’un qui peut réactiver cette chose, je suis prêt à ravaler ma fierté.
… On a attend. Toujours rien. Bon…
- EH, CRÉAUTEUR ! J’AI DIT QUE JE VOULAIS REPASSER TON PORTAIL DANS L’AUTRE SENS ! TU M’ÉCOUTES AU MOINS ?
Il se fiche de notre gueule en fait. Mais on va se le cramer son portail, en fait !
- EH, LE DIEU LOCAL, OUI, TOI QUI ME LIS ! JE TE LAISSE TROIS SECONDES AVANT QUE JE DÉFONCE TOUTE CETTE PLACE. TROIS.
On sait qu’il va se passer un truc. C’est obligé. Les Créauteurs sont tous comme ça, ils se conforment à des schéma pré-établis, dont celui du schéma narratif. Ils pensent comme des humains, c’est à dire pas plus loin que le bout de leur nez. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, la tentation est trop grande.
- DEUX !
On allume les flammes. Tant pis si des gens se sont retournés pour te dévisager. De toute façon, tout comme ce T-Rex qui ne sait qu’aboyer, ils ne comprennent rien. Il est temps de leur faire expérimenter par le feu le fait qu’ils ne sont que des êtres de pensées dans un univers fictif. Et, au moins, qu’ils voient qui est le maître ici.
- UUUUUUN !
Qu’on se le dise. Si d’aucuns jugeraient la pierre qui orne ce portail fermé particulièrement esthétique, t’en as rien à battre. T’as cramé des tartines, des arbres, des villes, des gens. C’est pas trois caillasses tout juste bonnes à former un motif esthétique qui vont t’arrêter.
- TU L’AURAS VOULU, CRÉAUTEUR DE MON CUL ! »
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Jeu 4 Mai - 20:14