Hex
Fou - Dark Souls
Bronze
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- Date d'inscription :
- 31/08/2022
- Gils :
- 7327
- Disponibilité Rp :
- Toujours ouvert
- Messages :
- 90
- Métier :
- Voleur
- Couleur d'Essence :
- Incolore
- Style d'Arme :
- Deux épées tronçonneuse
- Rang :
- Or @
- Puissance d'Essence :
- 8691
Hex
Identité
Âge : Impossible à compterSexe : Masculin
Race : Perpétuel
Groupe : Dark Souls
Rang : Or
Alignement : Chaotique neutre
Physique
Taille : 1m70
Poids : 70kg
Particularité Physique : Yeux violets, grands tatouages sur les bras et cheveux cendrés
Mental
Mon Histoire
Voyager entre les mondes. Cela semble une bénédiction pour certains. Mais tel ne fut pas le cas pour Hex. Lors de sa première vie, une entité quelque peu joueuse lui lança une malédiction singulière. Frappé d’une vie éternelle, il fut condamné à voir les univers naître et s’éteindre. Confiné à son immortalité, chaque fin du monde est pour lui un nouveau départ. Ses yeux ont vus des civilisations naître et s’éteindre, des empires stellaires, des sociétés médiévale où même des mondes paradis. Il serait encore trop tôt pour dire qu’il à tout vu et tout fait. Mais son âge, dépassant de loin les estimations les plus optimistes lui ont permis d’avoir un bref aperçu de l’âme humaine.
« C’était la fin du monde. Une fin qu’il avait pressentit il y avait des siècles de cela. Perché au sommet de sa spire, il observa les dernières traînés de missile s’abattre sur la cité. Une fois de plus, tout prenait fin. Les armes lancées ne laisseraient de ce monde strictement rien.
Et pour cause, il en connaissait les effets sur le bout des doigts, c’était même lui qui avait supervisé leur création. Issus d’un savoir d’un autre monde et totalement interdit sur ce dernier, les têtes contenaient un agent puissant, à même de fracturer l’écorce de la planète. Une façon presque poétique d’en terminer avec tout cela. « Le vent d’ouest » allait détruire tout ce qu’il restait, transformant la chair et la pierre en poussière fine, un flash de lumière, un champignon de poussière et de débris et cela serait finit.
Savourant le vin qu’il avait stocké en abondance dans le voile, il prit une dernière gorgée, avant de disparaître, tout comme sa ville et tout ce qu’il avait construit jusque là.
Un milliers d’années furent rasées en un battement de cil détruisant ville, civilisation et culture, et cela… dans la plus grande indifférence de son architecte. »
« Hex ouvrit les yeux difficilement, retrouvant la luminescence habituelle du voile. L’entre monde était toujours semblable à lui même. D’une blancheur osseuse, il formait des couloirs et des pièces inconcevables. Certaines étaient aussi grandes qu’un homme, alors que d’autres auraient pu contenir des villes entières. Une certaine nostalgie s’empara de lui, avant qu’il ne secoue la tête.
Certes, ce monde était perdu, mais lui, était encore là. Dernier témoins de ces moments.
Fort heureusement bon nombre de souvenirs de ce derniers étaient entreposées parmi les vastes galeries de sa propre dimension.
Se levant du lit sur lequel il était allongé, l’androgyne observa les alentours. Des objets en tout genre étaient exposés de part et d’autres. Ici, une vieille machine volante, qu’il avait apporté de son monde d’origine, là une armure de combat mécanisé qui arborait encore les cicatrices de nombreuses batailles.
Quelques photographies étaient accrochées sur un tableau de liège, mais il ne préféra pas le regarder. Partant de son refuge, il arpenta des allées aussi longues que hautes, ou des objets similaires étaient exposés. Des fusils, des épées, des arcs, des missiles. L’ensemble formait une galerie sans ordre apparent. Mais le collectionneur avait sa propre façon de trier les objets.
Parfois, il y avait des statues, des gens qui l’avaient marqués dans certains monde. Jamais encore il ne c’était résolu à placer les originaux.
Derrière chaque exposition, se trouvait des salles entières remplies d’autres souvenirs. A force de les parcourir, l’explorateur les connaissait par cœur.
Et le couloir perdurait encore et encore. Mais il savait ce qu’il avait à faire, et continua encore et encore, jusqu’à atteindre une nouvelle pièce. Cette dernière, aux formes aussi organique que la précédente était vide de tout objet. Et il savait parfaitement ce qui l’attendait.
Au début, l’homme n’avait pas voulu garder de trace des mondes qu’il visitait. Mais cela avait été plus fort que lui. Tout comme un noyé essaye de garder l’air dans ses poumons, Hex tentait tant bien que mal de sauver ce que le temps tentait de lui ravir.
Reculant de quelques pas, il s’enfonça dans une autre pièce, cette fois bardées de livres… Ses mémoires…
La pièce avait des dimensions cyclopéenne, et affichait divers degrés de sophistication.
Ici, une plate forme flottait d’elle même pouvant porter son propriétaire haut dans les rayonnages sans effort. Là, une vieille machine imitant rustiquement un humain attendait qu’une voix lui donne des ordres pour écrire.
Son petit univers était totalement silencieux, rien ne venant perturber le sommeil des souvenirs du perpétuel.
Parfois, quand il parcourait les couloirs sans fin, une fenêtre s’ouvrait pour lui montrer ce qui était, ce qui serait, ou ce qui avait été.
D’autre fois, c’étaient des salles entières qui s’animaient d’une vie éthérée, ou des spectre vivaient une vie incertaine. C’étaient là les règles de son monde et à force de l’explorer, Hex en avait saisi les règles tacites. Il avait établi son propre repaire au sein d’une zone sans évènement qui semblait être le centre d’une toile infinie. Fermée par de grandes portes qui étaient fait de la même matière que le reste des murs, elle ne s’ouvrait qu’à sa volonté.
Une forteresse de souvenirs et de solitudes, qu’il aimait arpenter pendants ces instants de flottement. Il resta là pendant des jours, ou des millénaires, le temps étant une chose toute relative dans cet endroit ou rien ne changeait.
Parfois il se prenait à s’aventurer dans les couloirs sauvages, ou rodaient des créatures sans nom. Pas toutes agressives, elles étaient à l’image de l’entre monde : énigmatiques. »
« Quelques années, centaines ou dizaines, et Hex fut prêt à recommencer un nouveau périple. Ses mémoires avaient fini d’être retranscrite par la vieille machine. Cette dernière ne cessant de gratter un livre qui paraissait presque sans fin.
Il avait fallut longtemps pour que le perpétuel ne finisse par clore son histoire. Cette dernière n’était pas très structurée et perclus d’anecdote aussi soudaines que sans rapport.
Hex cataloguait les choses, mais ne faisait jamais un récit bien précis. A l’image de sa vie, il vagabondait dans ses histoires, sautant d’un moment important à la façon de faire le vin.
Une fois tout cela finit, il s’étira et s’octroya quelques jours de repos, encore peut disposé à plonger dans une nouvelle histoire. Il lui fallait pleurer ceux qu’il avait perdu, et se remettre de tout cela. La chose paraissait simple à faire, mais au fil des millénaires, l’homme avait perdu trop de mondes. Même les elfes n’étaient que des chimères pour lui, des êtres amusants mais qui disparaissaient vite.
Finalement après un bon mois, il se remit en marche, s’aventurant dans la pièce qui était apparut.
Encore vide, elle était gigantesque, prête à recevoir une nouvelle fournée de souvenirs en tout genre.
Il n’en attendait rien, comme à son habitude, toujours réticent à s’aventurer dans un autre monde.
Mais… Il finit tout de même par franchir le portail qu’il attendait, bien incapable de savoir où il allait atterrir. »
« Il débarqua dans une ville encore déjà construit. On lui mis rapidement le pied à l’étrier l’envoyant défricher les terres alentours et extraire les pierres qui serviraient à la ville.
Sans le savoir, il était arrivé à Portalia et qui plus est à la fondation même de la ville forteresse.
Loin de rechigner, il se prit au jeu, travaillant comme les autres, se formant sa propre petite fortune en récupérant des objets rare et précieux.
La chose était amusante et il s’amusa à trouver chez les autres voyageurs, qui arrivaient les uns après les autres les même similitudes que lui. Bien que comme d’habitude, ils finirent par mourir, remplacés par d’autres, puis encore d’autres.
Mais ce fut sans doute l’arrivée de l’église qui lui fit perdre tout sens de l’humour, voir des fanatiques prôner une foie que le perpétuel avait vu trop de fois détruire son univers avait de quoi l’agacer.
Alors… insidieusement, il s’amusa à leur mettre des bâtons dans les roues, volant parfois leurs reliques, ou les plans de leurs bâtiments.
Rien de bien méchant, car Hex ne concevait pas encore cette église balbutiante comme une menace. Et le temps s’écoula lentement, le perpétuel retournant quelques fois dans sa petite dimension pour y stocker ses trésors. Il se tenta à l’aventure plusieurs fois, rapportant quelques trophées et gagnant la sacro sainte essence.
Sur deux milles ans, il n’atteins que le rang or, preuve du peu d’intérêt qu’il portait à la chose. A quoi bon de toute façon, d’ici quelques millénaires, la chose serait terminée.
Il avait essayé d’être un puissant, il avait même réussit, mais les espèces vivantes finissaient toutes par s’autodétruire, c’était simplement une question de temps.
Autant s’en amuser un petit peu. »
« C’était la fin du monde. Une fin qu’il avait pressentit il y avait des siècles de cela. Perché au sommet de sa spire, il observa les dernières traînés de missile s’abattre sur la cité. Une fois de plus, tout prenait fin. Les armes lancées ne laisseraient de ce monde strictement rien.
Et pour cause, il en connaissait les effets sur le bout des doigts, c’était même lui qui avait supervisé leur création. Issus d’un savoir d’un autre monde et totalement interdit sur ce dernier, les têtes contenaient un agent puissant, à même de fracturer l’écorce de la planète. Une façon presque poétique d’en terminer avec tout cela. « Le vent d’ouest » allait détruire tout ce qu’il restait, transformant la chair et la pierre en poussière fine, un flash de lumière, un champignon de poussière et de débris et cela serait finit.
Savourant le vin qu’il avait stocké en abondance dans le voile, il prit une dernière gorgée, avant de disparaître, tout comme sa ville et tout ce qu’il avait construit jusque là.
Un milliers d’années furent rasées en un battement de cil détruisant ville, civilisation et culture, et cela… dans la plus grande indifférence de son architecte. »
« Hex ouvrit les yeux difficilement, retrouvant la luminescence habituelle du voile. L’entre monde était toujours semblable à lui même. D’une blancheur osseuse, il formait des couloirs et des pièces inconcevables. Certaines étaient aussi grandes qu’un homme, alors que d’autres auraient pu contenir des villes entières. Une certaine nostalgie s’empara de lui, avant qu’il ne secoue la tête.
Certes, ce monde était perdu, mais lui, était encore là. Dernier témoins de ces moments.
Fort heureusement bon nombre de souvenirs de ce derniers étaient entreposées parmi les vastes galeries de sa propre dimension.
Se levant du lit sur lequel il était allongé, l’androgyne observa les alentours. Des objets en tout genre étaient exposés de part et d’autres. Ici, une vieille machine volante, qu’il avait apporté de son monde d’origine, là une armure de combat mécanisé qui arborait encore les cicatrices de nombreuses batailles.
Quelques photographies étaient accrochées sur un tableau de liège, mais il ne préféra pas le regarder. Partant de son refuge, il arpenta des allées aussi longues que hautes, ou des objets similaires étaient exposés. Des fusils, des épées, des arcs, des missiles. L’ensemble formait une galerie sans ordre apparent. Mais le collectionneur avait sa propre façon de trier les objets.
Parfois, il y avait des statues, des gens qui l’avaient marqués dans certains monde. Jamais encore il ne c’était résolu à placer les originaux.
Derrière chaque exposition, se trouvait des salles entières remplies d’autres souvenirs. A force de les parcourir, l’explorateur les connaissait par cœur.
Et le couloir perdurait encore et encore. Mais il savait ce qu’il avait à faire, et continua encore et encore, jusqu’à atteindre une nouvelle pièce. Cette dernière, aux formes aussi organique que la précédente était vide de tout objet. Et il savait parfaitement ce qui l’attendait.
Au début, l’homme n’avait pas voulu garder de trace des mondes qu’il visitait. Mais cela avait été plus fort que lui. Tout comme un noyé essaye de garder l’air dans ses poumons, Hex tentait tant bien que mal de sauver ce que le temps tentait de lui ravir.
Reculant de quelques pas, il s’enfonça dans une autre pièce, cette fois bardées de livres… Ses mémoires…
La pièce avait des dimensions cyclopéenne, et affichait divers degrés de sophistication.
Ici, une plate forme flottait d’elle même pouvant porter son propriétaire haut dans les rayonnages sans effort. Là, une vieille machine imitant rustiquement un humain attendait qu’une voix lui donne des ordres pour écrire.
Son petit univers était totalement silencieux, rien ne venant perturber le sommeil des souvenirs du perpétuel.
Parfois, quand il parcourait les couloirs sans fin, une fenêtre s’ouvrait pour lui montrer ce qui était, ce qui serait, ou ce qui avait été.
D’autre fois, c’étaient des salles entières qui s’animaient d’une vie éthérée, ou des spectre vivaient une vie incertaine. C’étaient là les règles de son monde et à force de l’explorer, Hex en avait saisi les règles tacites. Il avait établi son propre repaire au sein d’une zone sans évènement qui semblait être le centre d’une toile infinie. Fermée par de grandes portes qui étaient fait de la même matière que le reste des murs, elle ne s’ouvrait qu’à sa volonté.
Une forteresse de souvenirs et de solitudes, qu’il aimait arpenter pendants ces instants de flottement. Il resta là pendant des jours, ou des millénaires, le temps étant une chose toute relative dans cet endroit ou rien ne changeait.
Parfois il se prenait à s’aventurer dans les couloirs sauvages, ou rodaient des créatures sans nom. Pas toutes agressives, elles étaient à l’image de l’entre monde : énigmatiques. »
« Quelques années, centaines ou dizaines, et Hex fut prêt à recommencer un nouveau périple. Ses mémoires avaient fini d’être retranscrite par la vieille machine. Cette dernière ne cessant de gratter un livre qui paraissait presque sans fin.
Il avait fallut longtemps pour que le perpétuel ne finisse par clore son histoire. Cette dernière n’était pas très structurée et perclus d’anecdote aussi soudaines que sans rapport.
Hex cataloguait les choses, mais ne faisait jamais un récit bien précis. A l’image de sa vie, il vagabondait dans ses histoires, sautant d’un moment important à la façon de faire le vin.
Une fois tout cela finit, il s’étira et s’octroya quelques jours de repos, encore peut disposé à plonger dans une nouvelle histoire. Il lui fallait pleurer ceux qu’il avait perdu, et se remettre de tout cela. La chose paraissait simple à faire, mais au fil des millénaires, l’homme avait perdu trop de mondes. Même les elfes n’étaient que des chimères pour lui, des êtres amusants mais qui disparaissaient vite.
Finalement après un bon mois, il se remit en marche, s’aventurant dans la pièce qui était apparut.
Encore vide, elle était gigantesque, prête à recevoir une nouvelle fournée de souvenirs en tout genre.
Il n’en attendait rien, comme à son habitude, toujours réticent à s’aventurer dans un autre monde.
Mais… Il finit tout de même par franchir le portail qu’il attendait, bien incapable de savoir où il allait atterrir. »
« Il débarqua dans une ville encore déjà construit. On lui mis rapidement le pied à l’étrier l’envoyant défricher les terres alentours et extraire les pierres qui serviraient à la ville.
Sans le savoir, il était arrivé à Portalia et qui plus est à la fondation même de la ville forteresse.
Loin de rechigner, il se prit au jeu, travaillant comme les autres, se formant sa propre petite fortune en récupérant des objets rare et précieux.
La chose était amusante et il s’amusa à trouver chez les autres voyageurs, qui arrivaient les uns après les autres les même similitudes que lui. Bien que comme d’habitude, ils finirent par mourir, remplacés par d’autres, puis encore d’autres.
Mais ce fut sans doute l’arrivée de l’église qui lui fit perdre tout sens de l’humour, voir des fanatiques prôner une foie que le perpétuel avait vu trop de fois détruire son univers avait de quoi l’agacer.
Alors… insidieusement, il s’amusa à leur mettre des bâtons dans les roues, volant parfois leurs reliques, ou les plans de leurs bâtiments.
Rien de bien méchant, car Hex ne concevait pas encore cette église balbutiante comme une menace. Et le temps s’écoula lentement, le perpétuel retournant quelques fois dans sa petite dimension pour y stocker ses trésors. Il se tenta à l’aventure plusieurs fois, rapportant quelques trophées et gagnant la sacro sainte essence.
Sur deux milles ans, il n’atteins que le rang or, preuve du peu d’intérêt qu’il portait à la chose. A quoi bon de toute façon, d’ici quelques millénaires, la chose serait terminée.
Il avait essayé d’être un puissant, il avait même réussit, mais les espèces vivantes finissaient toutes par s’autodétruire, c’était simplement une question de temps.
Autant s’en amuser un petit peu. »
Informations Supplémentaires
Hex est quelqu’un d’enjoué. Et si dans son passé, sa tendance au chaos était un trait proéminent chez lui, l’âge la rendu plus sage.
Devenu sociable, il à appris à cacher aussi bien sa mélancolie que son tempérament de feu. Ses deux yeux violets, si on les observent attentivement cachent le poids du temps et de regrets car ces derniers ont vu l’éveil et la fin de bien des civilisations.
Loin d’être un sage grisonnant, il à su garder une énergie sans pareille, et un moral à tout épreuve, chose nécessaire quand on sait que le monde prendra fin un jour.
C’est lors de ses excès en tout genre qu’on arrive parfois à voir son masque s’effriter et commencer à deviner sa solitude et son détachement envers toutes choses vivantes. Convaincu que de toute façon il se retrouvera dans l’entre monde une fois finis. Sa propre malédiction le condamnant à errer pour l’éternité.
Même malgré sa grande expérience, il reste toutefois curieux de tout, de l’étude sociale jusqu’aux techniques d’alchimie, essayant dans la mesure du possible de cataloguer le tout.
A de rares, très rares occasion, il peut emmener quelqu’un avec lui pour découvrir sa propre collection. Mais cela reviens à gagner durement une confiance qu’il n’accorde que rarement. La « bibliothèque interdite » dont il est autant le gardien que le créateur recelant trop de connaissances dangereuses.
Au niveau physique, Hex à tout d'un androgyne, ses traits brouillant définitivement la perception tant il ressemble à une femme bien qu'il n'en soit pas une.
De longs tatouages couvrent ses bras, formant des motifs ésotériques sombre. Ses deux pupilles violettes laissent peu de place à l'hésitation quant à son origine hors monde. Bien qu'âgé de millions d'années sa peau reste immaculée, issue de ses renaissances successives.
Au delà de ça, il dispose de longs cheveux cendrés, qu'il attache en général en une queue de cheval tombant jusqu'à ses omoplates.
Devenu sociable, il à appris à cacher aussi bien sa mélancolie que son tempérament de feu. Ses deux yeux violets, si on les observent attentivement cachent le poids du temps et de regrets car ces derniers ont vu l’éveil et la fin de bien des civilisations.
Loin d’être un sage grisonnant, il à su garder une énergie sans pareille, et un moral à tout épreuve, chose nécessaire quand on sait que le monde prendra fin un jour.
C’est lors de ses excès en tout genre qu’on arrive parfois à voir son masque s’effriter et commencer à deviner sa solitude et son détachement envers toutes choses vivantes. Convaincu que de toute façon il se retrouvera dans l’entre monde une fois finis. Sa propre malédiction le condamnant à errer pour l’éternité.
Même malgré sa grande expérience, il reste toutefois curieux de tout, de l’étude sociale jusqu’aux techniques d’alchimie, essayant dans la mesure du possible de cataloguer le tout.
A de rares, très rares occasion, il peut emmener quelqu’un avec lui pour découvrir sa propre collection. Mais cela reviens à gagner durement une confiance qu’il n’accorde que rarement. La « bibliothèque interdite » dont il est autant le gardien que le créateur recelant trop de connaissances dangereuses.
Au niveau physique, Hex à tout d'un androgyne, ses traits brouillant définitivement la perception tant il ressemble à une femme bien qu'il n'en soit pas une.
De longs tatouages couvrent ses bras, formant des motifs ésotériques sombre. Ses deux pupilles violettes laissent peu de place à l'hésitation quant à son origine hors monde. Bien qu'âgé de millions d'années sa peau reste immaculée, issue de ses renaissances successives.
Au delà de ça, il dispose de longs cheveux cendrés, qu'il attache en général en une queue de cheval tombant jusqu'à ses omoplates.
Un Petit Mot ?
Je crois que vous me connaissez déjà
Elim au rapport !
Elim au rapport !
Dernière édition par Hex le Sam 10 Sep - 20:45, édité 1 fois (Raison : Ajout de l'âge du personnage)
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Mer 31 Aoû - 18:44