La vie de  Piou à débuté de la façon la plus basique possible pour son espèce. Piou est un moineau Friquet comme je le disais précédemment (et non ça ne signifie pas qu'il est riche). C'est donc tout à fait logique qu'il ait put quitter son œuf, délicatement posé au sein d'un nid que ses parents avaient confectionné dans un nichoir gracieusement proposé par un vieux couples d'humain, alors que le Printemps battait son plein.
Le début de sa vie fut assez rapide et bien peu trépidante. Oisillon fragile, il fut nourrit avec ces sept frères et sœurs pendant une bonne quinzaine de jours au nid, avant que chacun d'entre eux ne tente leur premier envole. Et pour ainsi dire, notre petit aventurier à plume fut le premier à se lancer dans le vide. Mais comme la plupart des jeunes moineaux, le vol n'étant pas entièrement acquis, ce fut bien le sol qui dut le réceptionner. C'est à partir de là, que le jeune volatile comprit que la vie était loin d'être le long fleuve tranquille que la protection du nid lui avait faussement vendu.

Oh papa et maman étaient toujours là pour aider leurs enfants à trouver de quoi manger. Leurs allés et retours ne c'étaient pas ralenti et leurs oisillons pouvaient ainsi profiter des insectes qu'ils leur apportaient. Mais lorsque l'on est loin du nid et que l'on a pas encore la force nécessaire dans ses ailes pour voler correctement... Les dangers sont nombreux. A commencer par ce chat vivant dans la même demeure que ces deux humains, qui pourtant semblaient bien aux petits soins avec les volatiles.
Sur les huit oisillons, deux disparut on ne sait où -probablement terrassé par la chaleur qui c'était abattu cette année là- et trois furent dévoré par cet animal infernal. Oh Piou n'avait pas mit longtemps à comprendre que ce prédateur était sans pitié et d'une efficacité redoutable.
Ce fut en tout cas au cours de l'été, que les trois survivants de la niché prirent leur indépendance. Bien que ne restant jamais bien loin de la zone qui les avait vue naitre.

Piou devint un Moineau de bonne taille pour son espèce. Un mâle en bonne santé et vif, capable de survivre dans ce monde de géant. Il apprit à s'orienter, il enregistra les lieux où il pouvait trouver de l'eau. Il apprécia les champs, ceux qui venaient d'être planté surtout. Il apprit aussi à ce méfier de ces ombres qui planaient dans le ciel. A ce méfier du moindre mouvement suspect. Parfois même de quelques ombres sous la surface de l'eau de cette rivière qui traversait ce qu'il considérait comme étant son monde. Il les avait déjà vue ces monstres aquatiques. Surgir soudainement de la surface pour venir engloutir pigeon et canard. Alors un moineau....
Mais la vie continue son cours. Piou apprit que l'automne offrait assez de nourriture pour tout le groupe de moineaux qu'ils étaient. Même si les humains ne semblaient pas vraiment apprécier qu'ils viennent picorer ces graines là. Puis l'hiver fit son apparition. L'hiver et son froid, sa neige, la disparition de l'opulence... Oh il y avait bien ces deux vieux humains qui leur mettaient des graines à disposition. Mais la mangeoire était si petite pour tout les oiseaux qui voulaient s'y ravitailler. Et puis parlons-en des mésange charbonnière. Plutôt agressive. En plus de profiter de leur taille supérieur à celle de la plupart des moineaux friquet. Mais Piou était grand. Et il apprit à se défendre, à se battre. Pour pouvoir remplir son estomac.

Heureusement, l'hiver n'est pas infinie. Et bientôt la neige laissa place aux fleurs. Aux beaux jours. Et Piou vécu pour la première fois de sa petite existence les joies -ou pas- d'être parent. Avec l'oiselle qu'il avait choisi, ils eurent 6 oeufs. Qu'ils avaient caché avec précaution dans le creux d'un vieux pommiers. Loin de la maison des deux anciens, loin des griffes de ce chat. Mais malheureusement pas loin du bec de quelques autres oiseaux peu enclin à les laisser nicher en paix. La première couvé fut un échec. Entièrement anéantie par le bec de deux corneilles que les deux parents n'avaient pas sut faire partir. Mais ce sont les risques n'est-ce pas ? Aussi malheureux que cela puisse être, c'était ça, la vie d'un moineau friquet. Ils trouvèrent ainsi un nouveau lieu de nidification, sous une tuile de la maison et purent ainsi continuer le cycle.

Je vais vous passer les détails des nichés qu'il eut cette année là, des vitres qu'il manqua de se prendre -ou qu'il ait put se prendre... Et donc des nombre carton dans lesquels il c'est retrouvé le temps de se remettre- ou encore des griffes de chat, de rapace quelconques ou même de crocs de renard et d'autre créature qu'il ait put esquiver. Ah ba oui, c'est pas si facile la vie d'un moineau....
Quoi qu'il en soit, s'il avait toujours pensé que sa vie était déjà une sorte de film d'action -les explosions et les voitures en moins- il ne pouvait pas s'imaginer que la chose allait prendre un niveau de plus -avec probablement des explosions en plus mais toujours pas de voiture- alors que le troisième printemps qu'il vivait, battait son plein. Piou n'avait pas fait attention à ce qu'il se passait autour de lui, alors que son attention était focalisé sur cette mouche qu'il pourchassait depuis une bonne minutes maintenant. Après tout, il fallait nourrir les oisillons, comme chaque année. Mais alors qu'il slalomait entre les herbes et les buissons, sa proie se retrouva à filer en direction d'un humain qui reculait de frayeur devant... Devant un portail qui venait d'apparaitre face à lui. Le petit moineau se rendit compte de la chose que bien trop tard. Mais alors qu'il bifurquait pour s'éloigner du portail, quitte à se faire attraper par l'humain qui lui faisait face à présent, il se sentit comme... aspiré. Oh oui, Piou donna tout ce qu'il avait pour essayer de s'arracher de cette attraction surnaturel, sous l'air ahurit du jeune humain qui lui faisait face. Il battit des ailes le plus vite possible, le plus fort possible... Pour finalement perdre cette bataille et disparaitre par cette étrange porte qui le mènerait vers un monde et une vie qu'il ne pensait pas connaitre un jour.... Et dont il ne c'était jamais imaginer en vérité....

PS : Non, l'Humain n'a pas été aspiré.
PS2 : Oui, l'Humain à probablement finit en hôpital psychiatrique, je suppose.
PS3 : J'ai pas compris comment j'ai pus faire autant de ligne sur la vie d'un Moineau...

► Piou à obtenu la parole au passage du portail. Il peut donc communiquer tout à fait normalement avec toute créature pouvant parler.
► Piou à obtenu aussi un bonus d'intelligence, ce qui fait donc de lui, probablement, le moineau friquet le plus intelligent...
► Son aventure RP commencera donc à son arrivé dans ce monde.
► Piou n'a pas de chat, donc je ne peux pas parler de son chat. C'est d'ailleurs peut-être une mauvaise idée qu'il ait un chat comme animal de compagnie. Et puis de toute façon je crois qu'il préfère les escargots.

Hé bien, moi c'est Kallandria ! (On a put me croiser sous d'autre pseudo par le passé mais je vais pas en faire la liste hein *dead*)
Je n'ai pas grand chose à dire, si ce n'est que j'ai été guidé ici par le biais d'une elfe avec un nid sur la tête (pour un oiseau, c'est legit non ?).
Je préviens juste que je reprend le rp après une grosse pause alors je ne promet pas grand chose sur ce point. Je suis Dyslexique aussi, du coup je m'excuses d'avance pour les fautes que je pourrais faire (ou des mots que je peux oublier =.=)