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Primus Aedar
Identité
Âge : 45 ansSexe : Masculin
Race : Humanoïde (Mumadae)
Groupe: L'Église de l'Ordre
Physique
Taille : 1m95
Poids : 100 kg
Particularité Physique : Possède trois doigts à chaque main.
Dogmes des Numérus
Mon Histoire
"Pour comprendre qui je suis, nous allons replonger ensemble dans l’effroyable période des guerres Mumadiennes, d’un temps où la mort et le sang divisaient les peuples. D’une époque pas si lointaine où la vie d’un soldat ne valait rien. De l’ère où les préceptes des Numerus n’était pas encore instaurés. D’un temps où les anciens croyaient que la force physique prévalait sur les dogmes et sur la force mentale. Prenez place et écoutez cette histoire...
C’était lors des premiers jours de la saison du grand soleil alors que je n’étais que dans mon septième roulement des astres. Mes frères Beriath, Ceadran et moi-même étions en train nous amuser à des jeux d’enfants. Les Conscriptae étaient alors venus et avaient emmené de force nos géniteurs, nous laissant alors à la tutelle de la Grande Érudite, une vieille femme très cultivée, seule adulte restante au village. C’était une journée emplie de tristesse et de tourment. Mais les Dieux avaient décidés que ce destin était celui qui était le mien.
Des années durant, elle me contait mythes et légendes, histoires de héros et de créatures mystérieuses, d’armées et de tyrans qui avaient autrefois mené ce monde dans la noirceur, la haine et le sang. Elle m’expliquait que nos dirigeants emboitaient le pas de « Ceux qui marchent vers la brume » car la rage les aveuglait. Je m’abreuvais alors de ce savoir et je commençais à moi-même m’intéresser aux ouvrages des anciens, consacrant beaucoup de temps à la lecture. Mes frères avaient leurs propres occupations mais rapidement nous avions découvert que nos talents respectifs se complétaient. Beriath était excellent pour manier l’Éclat de Lune, un bâton de guerre typique de notre famille. Caedran était un stratège hors pair capable de gagner sans difficulté contre la Grande Érudite au jeu de la cendre. Quant à moi, je brillais par mes talents oratoires hors pair et mon intérêt pour l’histoire et la magie.
Ensemble, nous voulions en finir avec la guerre. Avec toutes les guerres. Jusqu’à la fin.
Lors de notre Secrae – après nos vingt roulements des astres respectifs – nous avions été, comme nos parents avant nous, enrôlés de force par les Conscriptae pour faire la guerre. C’est à ce moment précis que tout a pris sens à nos yeux."
Après un recrutement de force dans les armées de conscrits, les trois frères se sont illustrés dans de nombreuses batailles, faisant preuve d’une supériorité stratégique, physique mais également psychologique. Les chefs de guerre et les gradés militaires avaient beau les envoyer au casse-pipe sur les champs de bataille les plus mortels, ils revenaient toujours victorieux. Derrière eux s’amassaient de plus en plus d’autres conscrits qu’Aedar avait réussi à convaincre de les suivre. Une mystérieuse aura entourait la fratrie.
Ils ont grimpé les échelons et finirent par atteindre peu à peu des postes importants dans le commandement militaire des Mumadae. Lorsque les autres haut-gradés se rendirent comptent de la supercherie, il était déjà trop tard : des millions de soldats étaient à la solde du trio, répondant à n’importe lequel de leurs appels, comme suivant les fils d’un Dieu illuminant enfin la boue dans laquelle ils trainaient depuis si longtemps.
La loi martiale fût déchue au profit d’un culte. Les batailles de soldats découragés se transformèrent en une gigantesque guerre sainte au profit d’un nouveau but. La foi ravivée grâce aux dires de textes millénaires, les armées avançaient deux fois plus vite, frappaient deux fois plus fort et obéissait sans discuter.
En quelques semaines, ce qui avait été autrefois une longue et épuisante campagne avait donné une victoire écrasante et un drapeau nouveau flottait au-dessus des nations réunies. Ce drapeau était la naissance des Numerus – Aedar Primus, Beriath Secundus et Caedran Tercius – mais également la période de paix la plus longue que Mumadae n’eut jamais connu de toute son existence. Une paix stable, imposant des dogmes et préceptes très stricts et une règlementation très précise sur l’usage et les traditions anciennes.
C’est lorsque tout semblait enfin réglé que la brume enveloppa Aedar. Il disparut d’un seul coup, comme évaporé, laissant ce monde pour lequel il avait tant donné. Le sang et la sueur d’un être.
C’est à ce moment précis, alors âgé de quarante-quatre révolutions planétaire, qu’Aedar fût invoqué sur un monde sans nom dans la ville forteresse de Portalia. Il est évident que toutes ses croyances et son érudition ne furent plus d’aucune utilité dans un cas comme celui-ci et la seule chose à laquelle il se raccrocha n’était encore qu’un artifice qu’il avait lui-même créé : les préceptes et dogmes des Numérus. Des lois basées sur des croyances. Sans qu’il ne s’en rende compte, il n’était que le pantin de sa propre création, obéissant sans regrets ni remords à une autorité arbitraire basée sur la domination de l’esprit par le zèle.
De cette faiblesse, L’Église de l’Ordre s’en empoigna dès qu’ils rencontrèrent le Mumadae. Il trouva refuge dans de nouveaux textes et de nouvelles idéologies. Finalement, ce qui constituait son combat d’autrefois n’était peut-être qu’un infime conflit dans un océan de guerre perpétuelle. Cette vision des choses raviva la flamme qui l’avait autrefois habité. Son véritable combat, c’était d’éradiquer le Chaos de l’univers, au nom du bien-fondé Ordre.
Il reprendrait tout depuis le début.
C’était lors des premiers jours de la saison du grand soleil alors que je n’étais que dans mon septième roulement des astres. Mes frères Beriath, Ceadran et moi-même étions en train nous amuser à des jeux d’enfants. Les Conscriptae étaient alors venus et avaient emmené de force nos géniteurs, nous laissant alors à la tutelle de la Grande Érudite, une vieille femme très cultivée, seule adulte restante au village. C’était une journée emplie de tristesse et de tourment. Mais les Dieux avaient décidés que ce destin était celui qui était le mien.
Des années durant, elle me contait mythes et légendes, histoires de héros et de créatures mystérieuses, d’armées et de tyrans qui avaient autrefois mené ce monde dans la noirceur, la haine et le sang. Elle m’expliquait que nos dirigeants emboitaient le pas de « Ceux qui marchent vers la brume » car la rage les aveuglait. Je m’abreuvais alors de ce savoir et je commençais à moi-même m’intéresser aux ouvrages des anciens, consacrant beaucoup de temps à la lecture. Mes frères avaient leurs propres occupations mais rapidement nous avions découvert que nos talents respectifs se complétaient. Beriath était excellent pour manier l’Éclat de Lune, un bâton de guerre typique de notre famille. Caedran était un stratège hors pair capable de gagner sans difficulté contre la Grande Érudite au jeu de la cendre. Quant à moi, je brillais par mes talents oratoires hors pair et mon intérêt pour l’histoire et la magie.
Ensemble, nous voulions en finir avec la guerre. Avec toutes les guerres. Jusqu’à la fin.
Lors de notre Secrae – après nos vingt roulements des astres respectifs – nous avions été, comme nos parents avant nous, enrôlés de force par les Conscriptae pour faire la guerre. C’est à ce moment précis que tout a pris sens à nos yeux."
• L'avènement des préceptes du Numerus •
Après un recrutement de force dans les armées de conscrits, les trois frères se sont illustrés dans de nombreuses batailles, faisant preuve d’une supériorité stratégique, physique mais également psychologique. Les chefs de guerre et les gradés militaires avaient beau les envoyer au casse-pipe sur les champs de bataille les plus mortels, ils revenaient toujours victorieux. Derrière eux s’amassaient de plus en plus d’autres conscrits qu’Aedar avait réussi à convaincre de les suivre. Une mystérieuse aura entourait la fratrie.
Ils ont grimpé les échelons et finirent par atteindre peu à peu des postes importants dans le commandement militaire des Mumadae. Lorsque les autres haut-gradés se rendirent comptent de la supercherie, il était déjà trop tard : des millions de soldats étaient à la solde du trio, répondant à n’importe lequel de leurs appels, comme suivant les fils d’un Dieu illuminant enfin la boue dans laquelle ils trainaient depuis si longtemps.
La loi martiale fût déchue au profit d’un culte. Les batailles de soldats découragés se transformèrent en une gigantesque guerre sainte au profit d’un nouveau but. La foi ravivée grâce aux dires de textes millénaires, les armées avançaient deux fois plus vite, frappaient deux fois plus fort et obéissait sans discuter.
En quelques semaines, ce qui avait été autrefois une longue et épuisante campagne avait donné une victoire écrasante et un drapeau nouveau flottait au-dessus des nations réunies. Ce drapeau était la naissance des Numerus – Aedar Primus, Beriath Secundus et Caedran Tercius – mais également la période de paix la plus longue que Mumadae n’eut jamais connu de toute son existence. Une paix stable, imposant des dogmes et préceptes très stricts et une règlementation très précise sur l’usage et les traditions anciennes.
C’est lorsque tout semblait enfin réglé que la brume enveloppa Aedar. Il disparut d’un seul coup, comme évaporé, laissant ce monde pour lequel il avait tant donné. Le sang et la sueur d’un être.
• Un but bien plus grand et bien plus noble •
C’est à ce moment précis, alors âgé de quarante-quatre révolutions planétaire, qu’Aedar fût invoqué sur un monde sans nom dans la ville forteresse de Portalia. Il est évident que toutes ses croyances et son érudition ne furent plus d’aucune utilité dans un cas comme celui-ci et la seule chose à laquelle il se raccrocha n’était encore qu’un artifice qu’il avait lui-même créé : les préceptes et dogmes des Numérus. Des lois basées sur des croyances. Sans qu’il ne s’en rende compte, il n’était que le pantin de sa propre création, obéissant sans regrets ni remords à une autorité arbitraire basée sur la domination de l’esprit par le zèle.
De cette faiblesse, L’Église de l’Ordre s’en empoigna dès qu’ils rencontrèrent le Mumadae. Il trouva refuge dans de nouveaux textes et de nouvelles idéologies. Finalement, ce qui constituait son combat d’autrefois n’était peut-être qu’un infime conflit dans un océan de guerre perpétuelle. Cette vision des choses raviva la flamme qui l’avait autrefois habité. Son véritable combat, c’était d’éradiquer le Chaos de l’univers, au nom du bien-fondé Ordre.
Il reprendrait tout depuis le début.
Informations Supplémentaires
Aedar est un Mumadae. Ce sont des humanoïdes à la peau violacée d’une taille moyenne équivalente à celle d’un humain moyen. Il sont naturellement plus lourds car possédant une ossature bien plus dense. Leurs yeux brillent et ils n’ont pas de pupilles. Chez les êtres de sexe masculin, de petites excroissances osseuses poussent juste au-dessus de ceux-ci, qu’on appelle les Dovti. Elles sont un symbole de maturité. Leurs visages sont souvent recouverts de tatouages ou de pierres précieuses incrustées à même la peau afin d’affirmer certaines croyances et un attachement à la tradition. Physiquement, la seule différence notable est qu’ils n’ont que trois doigts aux mains et aux pieds, bien plus gros que ceux d’un humain moyen.
Ils manient bien les armes allongées, comme les lances ou les bâtons, qui ressemblent à l’arme traditionnelle de leur peuple : l’Éclat de Lune.
Les Mumadae croient pour la plupart en la magie mais ils ne sont pas capable d’en utiliser et n’ont aucune preuve tangible qu’elle existe. Il est possible qu’ils ne soient pas sensible a celle-ci ou qu’elle n’existe pas sur leur monde. C’est peut-être pour le mieux, car la guerre a fait très souvent rage et la magie aurait certainement fait encore plus de victimes que les nombreuses batailles qui ont déjà eu lieu.
Depuis l’arrivée au pouvoir de la fratrie, le culte ancien des Numérus a refait surface et domine uniformément l’ensemble des peuples. Ils ont imposé des lois très strictes afin de limiter énormément les conflits au prix d’une grande partie de la liberté. Ceux qui décident de ne pas se plier aux règles de cette religion subit d’abord une énorme pression sociale avant d’être enfermé, exécuté ou banni. Cette fermeté cruelle permet de gérer l’ensemble des peuples d’une main de fer.
Aedar étant en grande partie responsable de tous les changements énumérés ci-dessus, il va de soi que sa psychologie y ressemble comme deux gouttes d'eau. C'est un être qui cherche à contrôler et réguler tout ce qui n'entre pas dans un cadre qu'il se fixe comme étant ce qui est juste. Il n'est pas méchant mais n'a pas saisi que sa foi l'aveugle et il est persuadé d'être dans le vrai, en faisant une personne dangereuse quand il est aux commandes.
Niveau vestimentaire, il arbore des tenues de combat avec ce qui ressemble a un mélange entre plusieurs cultures humaines. Il porte une cuirasse en acier qui protège son torse, avec un haut de cuir flottant se terminant par un capuchon lui couvrant la tête. Son visage est protégé par un masque semblable a ceux des gladiateurs romains. Ses bras sont couverts par des bandes de cuir blanc pour éviter les frottement des armes sur ses doigts. Il porte un pantalon de toile large se terminant par d'épaisses chausses d'un tissu très résistant, permettant de se déplacer sur des surfaces glissantes et d'une légèreté incomparable a des chaussures ou des bottes.
Ils manient bien les armes allongées, comme les lances ou les bâtons, qui ressemblent à l’arme traditionnelle de leur peuple : l’Éclat de Lune.
Les Mumadae croient pour la plupart en la magie mais ils ne sont pas capable d’en utiliser et n’ont aucune preuve tangible qu’elle existe. Il est possible qu’ils ne soient pas sensible a celle-ci ou qu’elle n’existe pas sur leur monde. C’est peut-être pour le mieux, car la guerre a fait très souvent rage et la magie aurait certainement fait encore plus de victimes que les nombreuses batailles qui ont déjà eu lieu.
Depuis l’arrivée au pouvoir de la fratrie, le culte ancien des Numérus a refait surface et domine uniformément l’ensemble des peuples. Ils ont imposé des lois très strictes afin de limiter énormément les conflits au prix d’une grande partie de la liberté. Ceux qui décident de ne pas se plier aux règles de cette religion subit d’abord une énorme pression sociale avant d’être enfermé, exécuté ou banni. Cette fermeté cruelle permet de gérer l’ensemble des peuples d’une main de fer.
Aedar étant en grande partie responsable de tous les changements énumérés ci-dessus, il va de soi que sa psychologie y ressemble comme deux gouttes d'eau. C'est un être qui cherche à contrôler et réguler tout ce qui n'entre pas dans un cadre qu'il se fixe comme étant ce qui est juste. Il n'est pas méchant mais n'a pas saisi que sa foi l'aveugle et il est persuadé d'être dans le vrai, en faisant une personne dangereuse quand il est aux commandes.
Niveau vestimentaire, il arbore des tenues de combat avec ce qui ressemble a un mélange entre plusieurs cultures humaines. Il porte une cuirasse en acier qui protège son torse, avec un haut de cuir flottant se terminant par un capuchon lui couvrant la tête. Son visage est protégé par un masque semblable a ceux des gladiateurs romains. Ses bras sont couverts par des bandes de cuir blanc pour éviter les frottement des armes sur ses doigts. Il porte un pantalon de toile large se terminant par d'épaisses chausses d'un tissu très résistant, permettant de se déplacer sur des surfaces glissantes et d'une légèreté incomparable a des chaussures ou des bottes.
Un Petit Mot ?
On m'appelle un peu comme on se souvient de moi, en général c'est Grim. J'suis tombé sur votre forum via partenariat et du coup j'me suis tâté un moment puis j'suis venu. J'aime le fromage. Je vais prendre un petit peu de temps pour terminer ma fiche, n'hésitez pas si vous avez quoi que ce soit à dire, je suis preneur de toutes les critiques !
Dernière édition par Aedar Primus le Dim 25 Juil - 16:10, édité 21 fois (Raison : correction de fautes d'orthographe)
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Dim 18 Juil - 19:24