Patrick T. Montataire
Cuisinier confirmé - Golden Wings
Bronze
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- Date d'inscription :
- 19/05/2021
- Gils :
- 3172
- Disponibilité Rp :
- A voir sur discord
- Messages :
- 216
- Métier :
- Tavernier + Patron du MEDEP
- Couleur d'Essence :
- Bleue
- Familia :
- Golden Wings
- Style d'Arme :
- Serpillère + Bouteille d'alcool+Bouteille sans fond
- Rang :
- Or @@
- Puissance d'Essence :
- 8906
« -HEY MARCEL MA BIERE ELLE ARRIVE !!! beugla un client complétement éméché
-Moi c’est Patrick je te l’ai déjà dit…
-Ouai c’est pareil, c’est beauf ! »
S’il y a une chose que le jeune Montataire avait appris avec le temps, c’est qu’il valait parfois mieux ignorait les ivrognes notoires que de rentrer dans leur jeu. Ceci était d’autant plus vrai que son patron, le fameux Marcel, avait déjà fait des saisies sur salaires à Patrick pour dégradation des locaux, casse de bouteilles ou encore harcèlement moral. Car oui, plus d’une personne avait porté plainte contre lui sous prétexte qu’il avait cassé des nez ou des dents. Si dans d’autres circonstances l’homme à la coupe mulet aurait déjà fini à la geôle, Marcel aimait bien se tempérament qu’il arrivait à maitriser. Patrick protégeait ainsi les serveuses de sa taverne comme il protégeait ses propres sœurs, qu’il trouvait d’après ses dires « vachement fraîches ». Ceci n’empêchant pas cela, le Portalien avait bien tenté d’en draguer une ou deux, mais les marques de main sur le visage lui rappelèrent que ce n’était pas forcément une bonne idée d’être si entreprenant.
La soirée suivait donc son cours. Il y avait dans le fond de la taverne des gardes de la guilde dans un état second, qui se servaient des breuvages à leur portée pour oublier les expéditions de la vielle. Affalé sur le comptoir, il y avait ce fameux habitué dont on ne savait toujours pas s’il s’agissait du frère du propriétaire ou juste d’un homme voulant noyer son chagrin dans l’alcool. Ce qui était sûr, c’était que Patrick le considérait comme un riche homme, car ce dernier dilapidait son argent en spiritueux et pourboires, bien que les filles en reçussent plus que lui. L’homme à la coupe mulet remplit donc deux pintes du divin breuvage à base de malt, avant de les apporter à la table du gueulard qui refaisait à présent le monde avec son ami
« -Ouai et puis d’abord Portalia est au portaliens, les étrangers moi je dis ils devraient retourner chez eux !
-Abuse pas José… Ils piquent peut-être nos femmes, mais sans eux Portalia serait diffèrent !
-Ouai je confirme, sans eux la taverne aurait déjà fait faillite… ajouta un Patrick qui déposa la commande, avant de reprendre T’es peut-être du coin, mais eux au moins ils savent régler une note, l’ardoise ça existe pas chez eux visiblement !
-Mouhahahaha
-Tu te prends pour qui ? »
C’était bien connu, seule la vérité blessait. Alors que l’homme ivre commença à scander des noms d’oiseaux à Patrick qui n’y prêtait guère attention, la porte de la taverne claqua et instinctivement, l’homme à la coupe mulet se retourna vers cette dernière. De celle-ci apparu un chat se tenant sur deux pattes. Si Montataire avait l’habitude de ce genre d’énergumène, encore plus depuis l’ouverture du portail, ça le rendait toujours toute chose.
-Moi c’est Patrick je te l’ai déjà dit…
-Ouai c’est pareil, c’est beauf ! »
S’il y a une chose que le jeune Montataire avait appris avec le temps, c’est qu’il valait parfois mieux ignorait les ivrognes notoires que de rentrer dans leur jeu. Ceci était d’autant plus vrai que son patron, le fameux Marcel, avait déjà fait des saisies sur salaires à Patrick pour dégradation des locaux, casse de bouteilles ou encore harcèlement moral. Car oui, plus d’une personne avait porté plainte contre lui sous prétexte qu’il avait cassé des nez ou des dents. Si dans d’autres circonstances l’homme à la coupe mulet aurait déjà fini à la geôle, Marcel aimait bien se tempérament qu’il arrivait à maitriser. Patrick protégeait ainsi les serveuses de sa taverne comme il protégeait ses propres sœurs, qu’il trouvait d’après ses dires « vachement fraîches ». Ceci n’empêchant pas cela, le Portalien avait bien tenté d’en draguer une ou deux, mais les marques de main sur le visage lui rappelèrent que ce n’était pas forcément une bonne idée d’être si entreprenant.
La soirée suivait donc son cours. Il y avait dans le fond de la taverne des gardes de la guilde dans un état second, qui se servaient des breuvages à leur portée pour oublier les expéditions de la vielle. Affalé sur le comptoir, il y avait ce fameux habitué dont on ne savait toujours pas s’il s’agissait du frère du propriétaire ou juste d’un homme voulant noyer son chagrin dans l’alcool. Ce qui était sûr, c’était que Patrick le considérait comme un riche homme, car ce dernier dilapidait son argent en spiritueux et pourboires, bien que les filles en reçussent plus que lui. L’homme à la coupe mulet remplit donc deux pintes du divin breuvage à base de malt, avant de les apporter à la table du gueulard qui refaisait à présent le monde avec son ami
« -Ouai et puis d’abord Portalia est au portaliens, les étrangers moi je dis ils devraient retourner chez eux !
-Abuse pas José… Ils piquent peut-être nos femmes, mais sans eux Portalia serait diffèrent !
-Ouai je confirme, sans eux la taverne aurait déjà fait faillite… ajouta un Patrick qui déposa la commande, avant de reprendre T’es peut-être du coin, mais eux au moins ils savent régler une note, l’ardoise ça existe pas chez eux visiblement !
-Mouhahahaha
-Tu te prends pour qui ? »
C’était bien connu, seule la vérité blessait. Alors que l’homme ivre commença à scander des noms d’oiseaux à Patrick qui n’y prêtait guère attention, la porte de la taverne claqua et instinctivement, l’homme à la coupe mulet se retourna vers cette dernière. De celle-ci apparu un chat se tenant sur deux pattes. Si Montataire avait l’habitude de ce genre d’énergumène, encore plus depuis l’ouverture du portail, ça le rendait toujours toute chose.
Dernière édition par Patrick T. Montataire le Lun 23 Jan - 15:14, édité 1 fois
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Mar 15 Juin - 10:18