Patrick T. Montataire
Cuistot - Golden Wings
Bronze
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- Date d'inscription :
- 19/05/2021
- Gils :
- 5661
- Disponibilité Rp :
- A voir sur discord
- Messages :
- 138
- Métier :
- Tavernier + Patron du MEDEP
- Couleur d'Essence :
- Bleue
- Familia :
- Golden Wings
- Style d'Arme :
- Serpillère + Bouteille d'alcool+Bouteille sans fond
- Rang :
- Or @
- Puissance d'Essence :
- 7656
Patrick Montataire
Identité
Âge : 29 ansSexe : Quand le fonda veut et où il veut
Race : Humain ascendant Humain
Groupe: Vous savez les mecs useless, les civils !
Physique
Taille : 176 cm
Poids : 73 kg
Particularité Physique : Une coupe de cheveux qui fusionne l'art de la coupe mulet avec la célèbre banane d'Elvis
Mental
Mon Histoire
Il était une fois l'histoire d'un gus comme les autres, avec une vie banale, dans un monde extraordinaire et surprenant. Ce zig, c’est Patrick Montataire ! Également connu sous le nom de « Charo de Portalia », le valeureux bonhomme était prédestiné à devenir un de ces hommes luttant contre le chaos qui envahi son monde. Seulement voilà… Déjà qu’il n’était pas foutu de se protéger lui-même, alors sauver le monde il n’en était pas question. Qui plus est, l’homme à la coupe mulet avait lu quelques bouquins racontant les exploits de ses ainés et s’il y avait bien une chose qu’il avait retenu, c’était le fait que sauver le monde ne rendait pas riche au contraire…
Quoi qu’il en soit, son histoire commença au détour d’une ruelle sombre de Portalia, dans l’arrière-cour d’une taverne pas très fameuse. Sa mère le mis au monde aussi rapidement qu’elle l’abandonna, et c’est une vieille dame avec un minimum d’empathie qui emmena le nouveau-né à l’orphelinat le plus proche. Car si elle ne voulait pas s’en occuper car les enfants c’est trop de responsabilités, la personne âgée ne put se résoudre à laisser le jeune Montataire se faire manger par les rats et autres créatures peuplant les bas-fonds de la ville. Il fût donc accueilli par ce qui ressemblait à des nones, qui tentèrent tant bien que mal de forger une éducation au jeune garçon.
Si les premières années de sa vie se déroulèrent sans accroc, Patrick se rendit rapidement compte que l’orphelinat le bridait et l’empêchait de vivre la vie qu’il entendait. En effet, à la moindre occasion, le jeune Montataire se faisait rouspéter par ses parents de substitutions. Une fois c’était parce qu’il avait mis le feu à une partie du jardin, une autre fois parce qu’il avait par mégarde, frappé violemment un de ses camarades qui avait je cite « piqué le dernier brownie au chocolat ». Car oui, s’il y avait bien un sujet avec lequel l’homme à la coupe mulet ne rigolait pas, et aujourd’hui encore, il s’agissait de la nourriture. C’est d’ailleurs cette passion qui le poussa à travailler dans une taverne, car il pouvait taper dans le plat des clients entre le moment où le plat passait de la cuisine à la table du client. Si personne ne s’en était jamais plaint, c’est aussi parce que personne ne l’avait jamais grillé en pleine action.
Mais l’autre raison qui poussa Patrick à travailler dans le milieu, c’était pour ses fameuses « Bastons de taverne » que de nombreux voisins enviaient à Portalia. En effet, il était d’usage dans certains établissements de la ville de se battre après avoir trop bu. Les raisons pouvaient être diverses et variées, mais les femmes revenaient souvent au centre des discussions et notamment les serveuses. Afin d’éviter tout problème d’harcèlement et surtout pour arrêter les bagarres rapidement, Montataire et le patron du bouiboui s’était mis aux arts martiaux, même si rien ne valait l’instinct. Effectivement, le jeune homme était du genre à considérer qu’un bon coup de tabouret sur la tête était plus efficace que toutes les claques du monde.
La vie de Patrick c’était hippo boulot dodo, le tout ponctué d’évasion nocturnes et autres événements mettant du piment dans sa vie somme toute banale. Lors de ses escapades nocturnes, Montataire avait tendance à aller voir les donzelles dans le besoin, ou trainer avec la plèbe et autres reclus de la société, car il partageait avec eux une passion commune pour les boissons alcoolisées. Ces gens-là, c’était aussi ceux qui permettait à l’homme à la coupe mulet de s’informer, car c’était bien connu, les gens insignifiants et à qui on attachait peu d’importance, étaient paradoxalement les gens qui en savaient le plus sur le fonctionnement de Portalia. Ces derniers expliquèrent notamment au natif du coin que des étrangers arrivaient par d’étranges portail, dans des buts plus ou moins flou. Si le jeune homme n’avait rien contre les étrangers, il ne souhaitait pas par ailleurs que cela se généralise, au risque de bouleverser l’équilibre naturel qui s’était installé dans sa bulle.
Quoi qu’il en soit, son histoire commença au détour d’une ruelle sombre de Portalia, dans l’arrière-cour d’une taverne pas très fameuse. Sa mère le mis au monde aussi rapidement qu’elle l’abandonna, et c’est une vieille dame avec un minimum d’empathie qui emmena le nouveau-né à l’orphelinat le plus proche. Car si elle ne voulait pas s’en occuper car les enfants c’est trop de responsabilités, la personne âgée ne put se résoudre à laisser le jeune Montataire se faire manger par les rats et autres créatures peuplant les bas-fonds de la ville. Il fût donc accueilli par ce qui ressemblait à des nones, qui tentèrent tant bien que mal de forger une éducation au jeune garçon.
Si les premières années de sa vie se déroulèrent sans accroc, Patrick se rendit rapidement compte que l’orphelinat le bridait et l’empêchait de vivre la vie qu’il entendait. En effet, à la moindre occasion, le jeune Montataire se faisait rouspéter par ses parents de substitutions. Une fois c’était parce qu’il avait mis le feu à une partie du jardin, une autre fois parce qu’il avait par mégarde, frappé violemment un de ses camarades qui avait je cite « piqué le dernier brownie au chocolat ». Car oui, s’il y avait bien un sujet avec lequel l’homme à la coupe mulet ne rigolait pas, et aujourd’hui encore, il s’agissait de la nourriture. C’est d’ailleurs cette passion qui le poussa à travailler dans une taverne, car il pouvait taper dans le plat des clients entre le moment où le plat passait de la cuisine à la table du client. Si personne ne s’en était jamais plaint, c’est aussi parce que personne ne l’avait jamais grillé en pleine action.
Mais l’autre raison qui poussa Patrick à travailler dans le milieu, c’était pour ses fameuses « Bastons de taverne » que de nombreux voisins enviaient à Portalia. En effet, il était d’usage dans certains établissements de la ville de se battre après avoir trop bu. Les raisons pouvaient être diverses et variées, mais les femmes revenaient souvent au centre des discussions et notamment les serveuses. Afin d’éviter tout problème d’harcèlement et surtout pour arrêter les bagarres rapidement, Montataire et le patron du bouiboui s’était mis aux arts martiaux, même si rien ne valait l’instinct. Effectivement, le jeune homme était du genre à considérer qu’un bon coup de tabouret sur la tête était plus efficace que toutes les claques du monde.
La vie de Patrick c’était hippo boulot dodo, le tout ponctué d’évasion nocturnes et autres événements mettant du piment dans sa vie somme toute banale. Lors de ses escapades nocturnes, Montataire avait tendance à aller voir les donzelles dans le besoin, ou trainer avec la plèbe et autres reclus de la société, car il partageait avec eux une passion commune pour les boissons alcoolisées. Ces gens-là, c’était aussi ceux qui permettait à l’homme à la coupe mulet de s’informer, car c’était bien connu, les gens insignifiants et à qui on attachait peu d’importance, étaient paradoxalement les gens qui en savaient le plus sur le fonctionnement de Portalia. Ces derniers expliquèrent notamment au natif du coin que des étrangers arrivaient par d’étranges portail, dans des buts plus ou moins flou. Si le jeune homme n’avait rien contre les étrangers, il ne souhaitait pas par ailleurs que cela se généralise, au risque de bouleverser l’équilibre naturel qui s’était installé dans sa bulle.
Informations Supplémentaires
Coupe mulet ou banane à la Elvis… Le choix fût cornélien pour Patrick, qui au final, décida de choisir les deux car, oui, si les deux séparément sont synonymes de classe et de prestance, la fusion des deux donne un résultat qui dépasse l’entendement… du moins c’est ce qu’il croyait !
En effet à Portalia, l’extravagance n’est pas forcément bien vue, même si les hybrides cours les rues ou que les styles vestimentaires laissent à désirer. En parlant de ça, le Montataire est un homme qui s’habille de façon relativement classique. Pantalon en jean, veste en tissu de jute car bien solide, il se démarque par sa paire de chaussures renforcées qui lui permet de botter des culs à la vitesse de la lumière. Sa tenue très sobre, à l’inverse de sa coupe de cheveux, est complétée par un sublime t-shirt rouge sang et une plaque en guise de collier car c’est joli d’après Patrick.
Montataire, on peut aisément le comparer à ce héros de mangas, professeur, qui défend ses élèves en frappant les menaces à coups de poings, de suplex ou de moto. Ainsi, Patrick c’est l’archétype du type un peu vicelard, ayant un cœur d’or et qui n’aura pas peur d’aider ceux qu’ils apprécient vraiment, qui se compte sur les doigts d’une main.
En effet à Portalia, l’extravagance n’est pas forcément bien vue, même si les hybrides cours les rues ou que les styles vestimentaires laissent à désirer. En parlant de ça, le Montataire est un homme qui s’habille de façon relativement classique. Pantalon en jean, veste en tissu de jute car bien solide, il se démarque par sa paire de chaussures renforcées qui lui permet de botter des culs à la vitesse de la lumière. Sa tenue très sobre, à l’inverse de sa coupe de cheveux, est complétée par un sublime t-shirt rouge sang et une plaque en guise de collier car c’est joli d’après Patrick.
Montataire, on peut aisément le comparer à ce héros de mangas, professeur, qui défend ses élèves en frappant les menaces à coups de poings, de suplex ou de moto. Ainsi, Patrick c’est l’archétype du type un peu vicelard, ayant un cœur d’or et qui n’aura pas peur d’aider ceux qu’ils apprécient vraiment, qui se compte sur les doigts d’une main.
Un Petit Mot ?
Askip les admins sont sympas, mais j'en connais un qui me l'a déjà mise à l'envers dans TFT !
Dernière édition par Patrick Montataire le Ven 28 Mai - 10:22, édité 3 fois
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Jeu 20 Mai - 11:29