Luciel Dorn
Compagnon Forgeron - Steel Anvil
Bronze
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- 05/09/2024
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C’était étrange de voir le ciel. On dirait qu’à tout moment, il m’aspirerait et je retrouverais… je ne sais pas, dans les étoiles ? Peut-être sur le soleil.
Je mentirais si je disais que ça ne m’intriguait pas. Même si cela me coûtait la vie, cela valait peut-être le coût ?
Je me baladais donc, seule, ayant laissé Liche dans l’étable dans laquelle je vivais. En regardant le ciel, je contemplais les nuages. Ils avaient des formes amusantes.
Jusqu’à ce qu’une ombre commence à me cacher le ciel.
C’était un des grands bâtiments du centre-ville. On aurait dit une usine avec ces nombreuses cheminées. C’est étrange, elles ne crachaient pas de fumée.
Peut-être était-elle à l’abandon… Ah non. Je voyais un homme en arme sur l’une des cheminées. C’étaient sans doute des tours du coup. Je m’approchais de l’endroit. Vu le nombre de soldats présent, c’était peut-être la caserne principale de la Guilde… à moins que ce soit celle de l’Église ?
Je sortis mon petit journal. Enfin, le carnet qui me servait de base d’information fournie par le Syndicat. Ces symboles, c’étaient ceux de… l’Église. Oh, donc c’était l’Église. Le Syndicat n’avait aucun grief contre eux. Il faudrait que je voie si on pouvait en faire un client pour de la contrebande.
Je m’approche, juste par curiosité. Je me rends dans un petit parc adjacent à la cathédrale. Je découvre des arbres, des plantes des fleurs… mais surtout, j’aperçois un dragon. J’aime bien les dragons. Je me demande s’il parle. Je m’approche et je suis déçu de me rendre compte qu’il s’agit d’un Pied Lourd.
En revanche, je n’ai jamais vu un pied lourd de ce genre. Mais il porte les stigmates propres aux ingénieurs qualifiés de la Ligue. Il n’y a pas ce côté « système D » propre aux pieds lourds du Syndicat.
Alors la Ligue avait envoyé des gens ici. Intéressant. Bon, en revanche, je pouvais retirer l’Église de nos clients potentiels.
Mais je suis vraiment curieuse. Je commence à tourner autour du dragon de fer. Ce n’était pas un modèle de combat ou de minage, c’était donc un explorateur.
Je note plusieurs choses. Je me demande s’il peut voler. Je commence à le toucher lorsque j’entends une voix.
Une femme rousse. Ça doit être la pilote, vu qu’elle porte des vêtements très proches de la Ligue. Merde, moi aussi. Je range mon carnet. Je pose une main proche de Roland, mon revolver. Je n’ai pas envie de l’utiliser. Surtout pas ici. Trop de monde. Trop de facteurs aléatoire. Je cache ma brûlure et mon œil perdu par le pli de mon chapeau. Je dois être polie. Je dois initier le dialogue.
« Bonjour. Désolé, si vous ne vouliez pas que je touche à votre pied lourd. Je viens aussi de la Ligue et j’étais vraiment curieuse. Je n’ai jamais vu un modèle pareil. »
Des dizaines de questions s’emboîtaient dans mon esprit. Je voulais en savoir plus. Pouvoir parler à une de mes compatriotes. Mais aussi une méfiance. Si elle me reconnaissait, ma liberté allait s’achever si vite. Non. Je refusais de retourner au Conqueror. Pas maintenant. Pas aussi tôt.
Je mentirais si je disais que ça ne m’intriguait pas. Même si cela me coûtait la vie, cela valait peut-être le coût ?
Je me baladais donc, seule, ayant laissé Liche dans l’étable dans laquelle je vivais. En regardant le ciel, je contemplais les nuages. Ils avaient des formes amusantes.
Jusqu’à ce qu’une ombre commence à me cacher le ciel.
C’était un des grands bâtiments du centre-ville. On aurait dit une usine avec ces nombreuses cheminées. C’est étrange, elles ne crachaient pas de fumée.
Peut-être était-elle à l’abandon… Ah non. Je voyais un homme en arme sur l’une des cheminées. C’étaient sans doute des tours du coup. Je m’approchais de l’endroit. Vu le nombre de soldats présent, c’était peut-être la caserne principale de la Guilde… à moins que ce soit celle de l’Église ?
Je sortis mon petit journal. Enfin, le carnet qui me servait de base d’information fournie par le Syndicat. Ces symboles, c’étaient ceux de… l’Église. Oh, donc c’était l’Église. Le Syndicat n’avait aucun grief contre eux. Il faudrait que je voie si on pouvait en faire un client pour de la contrebande.
Je m’approche, juste par curiosité. Je me rends dans un petit parc adjacent à la cathédrale. Je découvre des arbres, des plantes des fleurs… mais surtout, j’aperçois un dragon. J’aime bien les dragons. Je me demande s’il parle. Je m’approche et je suis déçu de me rendre compte qu’il s’agit d’un Pied Lourd.
En revanche, je n’ai jamais vu un pied lourd de ce genre. Mais il porte les stigmates propres aux ingénieurs qualifiés de la Ligue. Il n’y a pas ce côté « système D » propre aux pieds lourds du Syndicat.
Alors la Ligue avait envoyé des gens ici. Intéressant. Bon, en revanche, je pouvais retirer l’Église de nos clients potentiels.
Mais je suis vraiment curieuse. Je commence à tourner autour du dragon de fer. Ce n’était pas un modèle de combat ou de minage, c’était donc un explorateur.
Je note plusieurs choses. Je me demande s’il peut voler. Je commence à le toucher lorsque j’entends une voix.
Une femme rousse. Ça doit être la pilote, vu qu’elle porte des vêtements très proches de la Ligue. Merde, moi aussi. Je range mon carnet. Je pose une main proche de Roland, mon revolver. Je n’ai pas envie de l’utiliser. Surtout pas ici. Trop de monde. Trop de facteurs aléatoire. Je cache ma brûlure et mon œil perdu par le pli de mon chapeau. Je dois être polie. Je dois initier le dialogue.
« Bonjour. Désolé, si vous ne vouliez pas que je touche à votre pied lourd. Je viens aussi de la Ligue et j’étais vraiment curieuse. Je n’ai jamais vu un modèle pareil. »
Des dizaines de questions s’emboîtaient dans mon esprit. Je voulais en savoir plus. Pouvoir parler à une de mes compatriotes. Mais aussi une méfiance. Si elle me reconnaissait, ma liberté allait s’achever si vite. Non. Je refusais de retourner au Conqueror. Pas maintenant. Pas aussi tôt.
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Dim 8 Sep - 12:55