Invité
Invité
descriptionNous nous présentons, Rhasha, nous vous protégerons avec dévotion. Mar 27 Fév - 14:56
Rhasha
Identité
Âge : 20 ans.
Sexe : Féminin.
Race : Humain (Ancien avatar, dans le sens réceptacle, divin)
Groupe : Aventurier
Rang : Argent
Alignement : Loyal Neutre
Physique
Taille : 1m60
Poids : 50 Kg
Particularité Physique : Possède une symbole de lotus non éclot, noire, sur son front. Ses yeux sont constamment fermées.
Description (Optionnelle):Rhasha a une peau assez blanche, ne portant aucune cicatrice ou tache de rousseur, comme préservée de toute altération. Son corps est d'une grande souplesse, pouvant se contorsionner pour entrer dans un tonneau ou dans une petite caisse.
Sa chevelure, soigneusement attaché au niveau du crâne, tombe jusqu'à ses hanches une fois défait de toute entrave, n'ayant que deux mèches devant ses oreilles et une frange sur le front, cette dernière étant assez longue pour dissimuler sa marque.
Aveugle, elle possède un sens de l'ouïe suffisamment affûté pour égaler ceux d'un rang supérieur au sien. De part ce sens bien développé, elle voit le monde par onde, cette "vision" étant très proche de celle d'un voyant par temps de pluie. Si cela l'immunise contre les sorts touchant la vue, elle est très sensible aux oreilles, un son très fort pouvant être douloureux.
Ses autres sens ne sont pas en reste, pouvant discerner par son goût les poisons les moins discrets, ainsi que différencier différents parfums dans une même pièce, étant le fruit d'un long apprentissage.
Sa dentition est blanche et Rhasha n'hésitera pas à vous montrer que sa morsure reste douloureuse.
Sa voix est assez mature pour son âge, renforçant l'impression d'une maturité plus grande que son apparence pourrait le suggérer, pouvant se montrer très douce comme porter loin avec force.
En termes d'atours, l'ancien avatar de Rha'Tan est généreusement doté, contribuant à donner à la demoiselle quelques années de plus.
Ses bras sont finement musclés, ne permettant pas de développer une puissance d'une essence rouge ou une vivacité égale aux essences verts. Ses doigts sont d'une grande sensibilité, permettant de pouvoir lire des parchemins en les parcourant délicatement, cette sensibilité jouant contre elle quand elle entre en contact avec des surfaces froides ou chaudes.
D'un point de vue vestimentaire, Rhasha privilégie les tenues se rapprochant à celle de son monde, d'un style asiatique, mais n'est guère difficile, pouvant porter ce qui est accessible, comme ne rien porter d'ailleurs.
Mental
Description (Optionnelle): Rhasha n'emploiera jamais le "je", usant du "nous" à la place.
Suivant les préceptes de son dieu, elle porte un regard différent sur les vices, acceptant ce que la morale désignerait comme déviant, condamnant avec davantage de cruauté ceux se cachant derrière leurs vices pour commettre des atrocités. Pour Rhasha, un vice sain est dénué de victime innocente ou n'ayant pas donnée expressement son consentement.
Elle suit aussi le précepte du secret, étant une confidente fiable. Cependant, si un secret devait permettre de forcer le court du destin, elle l'utilisera, s'excusant pour avoir dévoilé ce qui ne devait pas l'être. Les secrets macabre nécessitant un châtiment divin seront utilisés contre celui qui tente de les dissimuler, Rhasha pouvant faire usage de cruauté pour remettre cette personne sur le droit chemin ou l'écarter de tout chemin de façon définitive.
Le précepte du vide est certainement le plus flous pour les autres, faisant référence au fait de purger son corps et son esprit pour retrouver un calme intérieur. Rhasha obéit à ce précepte en effaçant consciemment les souvenirs dont elle estime ne pas en être dépositaire ou étant jugée superflus, permettant à la jeune femme de consacrer sa mémoire à des éléments permettant d'assurer sa survie et prodiguer des conseils à autrui.
Rhasha sera toujours ravie d'apprendre aux autres sa religion, tolérant celle des autres, tant qu'elle ne reçoit pas des menaces de mort, car elle n'hésitera pas à faire comprendre que toute religions qui tenterait d'étouffer la sienne, par la force, se paiera dans la douleur et le sang.
Si elle aime la pistache, son corps le supporte moins bien, jetant donc bien plus volontiers son dévolu sur les pêches et les abricots. Rhasha n'est pas une grande adoratrice du sucré, préférant le salé.
Rhasha est du genre à observer avec minutie autour d'elle. Cette attitude étant balayée si elle boit un peu trop d'alcool, devenant certainement une des femmes les plus joyeuse et débridée de la taverne, venant à se maudire de sa faible résistance à cette boisson diabolique, quand elle sort de sa gueule de bois.
Sa volonté de reconstruire le culte la rend capable de manipuler son entourage et prendre des décisions difficile, dont la trahison d'une personne chère, pour atteindre son but. Bien évidement, si elle peut s'éviter cette blessure, Rhasha exploitera une autre solution.
Elle a conscience qu'en rejoignant ce monde, elle a perdu énormément en puissance, n'étant plus soutenue par sa divinité, la rendant d'autant plus prudente quand il s'agit d'affronter un adversaire bien plus puissant qu'elle.
Rhasha est une personne fière, n'acceptant pas que l'on considère sa cécité comme une faiblesse ou encore que des personnes la prenne en pitié à cause de cela.
Elle n'éprouve pas de honte à porter des tenues dépassant la bienséance, partant du principe que si les mortels ne portent pas de fourrure, il n'y a aucune honte à exhiber sa peau.
Rhasha, ne connaissant que les humains, se montrera assez curieuse envers les autres espèces, que cela soit pour toucher leurs écailles/fourrures ou les questionner sur différents sujets, dont certains assez intime, souhaitant connaitre les spécificité de chaque races, afin d'adapter son culte aux non-humains.
Mon Histoire
Dans une salle irradiée par les rayons de la lune, une femme grattait le papier avec une plume de paon.
Archive de la 172ème Rhasha.
De part cette lettre, nous te transmettons à toi, celle qui sera la suivante Rhasha, notre passé et ton futur.
Tu ne pourras connaître le plaisir d'observer ce monde par tes yeux, sauf si tu déçois notre dieu Rha'Tan et qu'il te renvoies parmi les mortels. Avatar de la divinité des vices, du secret et du vide, il nous est interdit de te dévoiler si tu parviendras à suivre ses épreuves et à te dévouer à ses ambitions. Nous connaissons ta mort, comme la nôtre. Nous savons que notre dernier souffle sera par-delà le monde, répondant à l'appel d'une autre entité, Rha'Tan, nous enjoignant de fonder son culte et juger si les mortels, de cet autre monde, nécessitent la guidance de son ancien avatar. Te concernant, tu mourras sur le trône d'un empire où nous avons posé les fondations, n'ait crainte, car ta mort permettra à notre dieu de pourfendre ceux corrompus qui aurons comploté contre toi.
Tu te nommeras Rhasha, car tel est le prénom que notre dieu nous donnes, le lotus sur ton front étant la marque qu'il t'a choisie parmi toutes les filles poussant leurs premiers cris. Un linge sera enroulé devant tes yeux, te laissant seule avec Rha'Tan, t'imposant sa première épreuve, celle de ne pouvoir observer avec tes yeux, ta cécité sera la preuve que cette première épreuve sera accomplie. Ne crains pas cette obscurité, car c'est de tes oreilles que tu verras le monde, nous avons aussi accompli ce premier rite, faisans de nous un avatar de notre déité.
Nous n'avons que peu de prédiction à te fournir, nous ne nous attarderons qu'à ceux que Rha'Tan a bien voulu nous montrer dans notre esprit. Puis nous parlerons de notre passé.
Nous avons vue que nombre de prince voudrons te courtiser, certains par avidité, d'autres par luxure. Nous ne te donnerons pas le nom de celui qui doit se lier à toi, mais nous allons te prodiguer le conseil de choisir celui dont la plume sur sa tête te rappellera le jour où ta tutrice poussera son dernier soupir. Cette tutrice est la reine du royaume que nous avons conquis. Même si elle n'est pas une fidèle, sa sagesse ne saurait être remise en cause. Elle te causera de nombreuses crises de colère, tu viendras à la haïr, pour regretter ses sentiments sur son lit de mort. Nous savons, en lisant ses lignes, que tu répondras que tu ne ferais pas cela, mais toute prédiction d'une Rhasha ne peut être évitée, figée dans une glace qu'aucun être ne saurait égratigner. Nous avons essayé d'éviter des prédictions, comme toi, tu tenteras de le faire, apprenant par cet échec que la puissance d'une Rhasha se paie en perdant cette liberté chère aux mortels, jusqu'à ce qu'elle soit libérée de ses obligations.
Nous sommes quelque peu jalouses de savoir que tu aimes la pistache, n'ayant eu que des maux de ventre en les mangeant. Nous avons donc demandé au jardinier du temple de la floraison d'en planter, souhaitant combler ton vice de gourmandise en guise de bénédiction de notre part.
Si tu es destinée à être impératrice et élargir le culte de Rha'Tan, nous étions destinée à devenir celle qui répandit le sang pour te laisser une place.
Contrairement à notre précédente représentante, nous avons bénéficié de nombreuses bénédictions, afin de faire face aux conflits. Ne prends pas ombrage du peu que tu possèdes, étant la preuve que nous avons suffisamment œuvré pour t'offrir un avenir calme et en paix. Nous avons appris, dès que nous le pouvions les rites de purification, étant solidement attachée à l'autel et ne pouvant parler que lorsque notre dieu prenait possession de notre corps, devant faire vœux de silence quand nous étions en dehors du temple de la méditation. Nous n'avons pas eu de tutrice, car tel était les règles dictées dans les prédictions, n'ayant que notre dieu pour nous inculquer les savoir nécessaire.
Nous avons appris l'art du combat dès que nos bras furent assez forts pour brandir l'éventail de fer, arme que Rha'Tan utilise pour apporter son jugement. Nous avons affronté des fidèles dévoués, frôlant à de nombreuses fois la mort, connaissant la sensation de quémander la vie alors que le froid nous enlace avec vigueur. Nous avons appris ce que manquer de toute chose signifiait, passant des semaines sans manger ou boire, dormant sous la neige en n'étant vêtu que de notre peau. Si cela peut te sembler cruel, nous étions prêtes à subir ses épreuves pour montrer notre dévotion, la maladie et l'agonie ne sauraient nous écarter des prédictions qui furent énoncées.
Alors que nous fêtions notre douzième anniversaire, nous avons dû verser le premier sang. Nous savions qu'un émissaire du roi devait venir pour nous insulter, nous ridiculiser en nous traitant d'enfant-démon, tenter de souiller notre corps. Nous avons tenté de le raisonner, de lui faire comprendre que sa mort ne saurait être évitée s'il n'écoutait pas notre parole. Tout se déroula comme dans les prédictions et nous avons tranché le cou de ce mortel avec notre éventail. C'est à cet instant que nous avons compris que les prédictions ne pouvaient être changées, car elles étaient la volonté même de Rha'Tan.
Nous nous sommes, par la suite, présentées devant le roi, exposant la dépouille de son émissaire, ainsi qu'une magie transmettant toutes ses manigances, l'avertissant que s'il continuait à ne pas nous laisser gérer nos domaines comme nous l'entendions, ses plus sombres secrets seraient exposés aux yeux de tous. Cela fut suffisant pour éviter une guerre précipitée, le roi ayant conscience qu'aucun vice ou secret ne saurait être ignoré de notre dieu. Rha'Tan nous gratifia de son savoir, afin que nous puissions discuter d'égal à égal avec la royauté, ainsi du savoir pour gérer ses hommes sur de futurs conflits.
Pendant les trois années qui suivirent cet incident, nous avons été convié par le roi dans des dîners, la reine étant éloignée de ses entrevues. Sous la discussion concernant l'amélioration des récoltes, des invitations d'une toute autre nature se glissèrent, nous nous retenions de montrer notre dégoût de cet homme obsédé par la fraicheurs. Comme à chaque fois, nous refusions ses invitations nauséabonde avec délicatesse, sachant que nous rejoindrions ses prises dans un futur proches.
Au début du printemps, nous avons dû mener une armée de fidèle pour purger un village, ses habitants s'adonnaient à des plaisirs que nous n'oserions pas laisser dans cet écrit. Ceux et celles souhaitant se faire pardonner ont subi le rite de purification, les autres ont été brûlés vif. Nous nous rappelons encore de leurs cris et aussi de l'odeur de la chair consumée par les flammes. Si nous semblions insensibles, nous avions lutté pour ne pas montrer une faiblesse humaine, ne cédant qu'une fois seule avec notre dieu. Nous avons reçu, par cet acte, le savoir des vices, ainsi que celui de dissoudre dans le vide les souvenirs n'étant pas nécessaires à notre rôle. Toutes nos condamnations ont été conservées, pour nous rappeler qu'en tant qu’avatar, nous sommes aussi le bras armé de notre dieu et que les morts que nous engendrons sont aussi ceux de Rha'Tan. N'ait cependant crainte, car Rha'Tan ne t'imposera certainement pas un tel choix, telles étaient les prédictions pour notre vie et ce savoir te sera fourni une fois que notre dieu aura estimé que tu pourras le supporter.
Suite à cette action, nous avons reçu la visite d'émissaire royal, rendant compte des actes qui avait été commis et que cette punition était la demande des familles de victime. Nous n'avons pas caché que cette situation aurait pu être évitée si le roi avait entendu les demandes ou envoyé un détachement, les preuves étant assez facile à trouver, pour peu que l'on s'en donne la peine. Quelques jours plus tard, un détachement de soldat arriva au temple de la méditation, souillant de leurs bottes cet endroit dont nulle autre que nous étions autorisée à entrer et sortir. L'un d'eux tenta de nous toucher en entrant dans l'eau et une boule de feu perça du ciel pour tomber non loin du temple, faisant trembler la terre avec force. De notre voix nous avertîmes que nul ne devait nous toucher sans notre accord, sous peine de subir la colère divine. Ils nous laissèrent porter un simple linge, avant d’être emmenée dans les cachots personnel du roi.
Pendant deux ans, nous fûmes prisonnière, subissant nombre de mauvais traitement. Le roi ne chercha nullement à confirmer que nous étions une entité malveillante ou bienveillante. Ainsi traitait-il les femmes qui attiraient son regard, mais qui se refusaient à céder face à son pouvoir et à sa richesse. La reine nous vit, pensant que même une ennemie de la nation devait être mieux traité. Nous avons donc murmuré l'un des secrets les plus sombres de son mari, indiquant la date et l'heure pour la confronter à la réalité des choses. Ce fameux événement avait été prédit, il était dit que nous serions à l'agonie. Ce fut le cas, ne devant notre salut qu'à l'action de la reine qui, se sentant trahie et souillée d'avoir un tel homme, nous libéra et nous confia à des soldats de confiances.
Nos fidèles tentèrent de tuer ses soldats, mais notre voix suffit à les considérer comme nos servants les plus intimes, empêchant quiconque, hormis notre personne, d'attenter à leurs vies. Notre dieu nous gratifia du savoir de la grande purification, permettant de purifier plus en profondeur un être, mais aussi de pouvoir procéder à des rites de purification avec plus d'une personne. Notre dieu nous préparait à notre prochaine campagne militaire.
Nous avons repris des forces et nous avons pris les armes, venant à rassembler tous les fidèles et mener une action de représailles au vu de notre traitement, ne cachant nullement nos intentions de guerroyer. Nous épargnions les villages, montrant les pouvoirs de Rha'Tan pour donner des récoltes en quelques jours, prenant la moitié avant de continuer. Nombre de généraux nous firent face, certains changèrent d'allégeance, pour ceux qui avaient une dévotion réelle et refusèrent de se plier, nous salîmes nos mains pour leurs donner une mort honorable.
C'est après deux mois de conquête que la capitale du roi fut encerclée par nos six cents fidèles, arrivant à poser les camps à l'aube de l'hiver.
Pendant une année entière, nous avons tenu le siège, réprimant dans le sang les sortir pour percer nos défenses ou les maigre vassaux tentant de secourir ce roi, ceux abandonnant de se battre furent prisonnier, laissant leurs familles les voir une fois toutes les lunes blanches. Les marchands pouvaient circuler entre nos lignes, achetant à bon prix la moitié de leurs vivres, afin de ne pas trop affamer les civils dans la capitale, mais leurs donner toute de même faim. Quelques civils tentèrent de nous quémander de la nourriture, n'acceptant qu'à condition qu'ils s'installent dans les villages environnants jusqu'à ce que cette capitale ne tombe. Au début, ils n'étaient qu'une poignée par jour, finissant par sortir en convois, les soldats escortant étant constitués prisonnier. Tous pouvaient rejoindre le culte et se faire purifier, devant le faire régulièrement pour absoudre la faute de mes fidèles d'avoir versé le sang.
Puis la reine fit envoyer un messager, demandant de préserver la vie de tous en échange d'une reddition. Nous avons informé que si elle ouvrait les portes avant la prochaine lune blanche, nous ne prendrions la vie que de ceux qui s'opposeraient et celle du roi, assurant de conserver la sienne et celles de ses enfants. Le temps passa et la capitale ouvrit ses portes, nous avons immédiatement foncé vers le parlais royal et tué les soldats qui ne baissèrent pas leurs armes. Quand nous fîmes face au roi, il était pris de court, demandant qui avait ouvert les portes. Nous n'avons pas attendu que cet homme termine ses questions, lui tranchant la gorge et le laissant se vider de son sang.
Nous avons décrété que le restant de la famille royale était sous notre aile. Les fidèles qui n'avaient pas respecté les ordres interdisant le pillage et l'abus sur les personnes furent exécutés de nos mains, rappelant que notre dieu avait des yeux partout et qu'il condamnerait même le fidèle le plus dévoué. Par la suite, nous avons laissé la reine gérer le pays, entendant, par notre bouche, les demandes du peuple. Nous avons vendu de nombreuses terres aux pays étrangers, afin de conserver une certaine stabilité, ne conservant que les terres agricoles et les mines de fer, bénissant ses dernières pour permettre à cette nation de rester forte. La reine demanda à plusieurs reprises des rites de purifications, ne pouvant se résigner à accepter les vices les plus sombres que son mari avait cachés à son regard.
Aujourd'hui, les années se sont un peu écoulées et nous écrivons ses dernières lignes. Tu naîtras quand cet autre monde nous appellera. Puisse Rha'Tan te couvrir de ses ailes obscures.
PS : chère Reine, l'attente sera longue avant qu'elle ne puisse vous prodiguer un rite de purifications. Notre dieu vous autorise à vous baigner, comme nous vous l'avons enseignée, dans le temple de la méditation. Puissiez-vous purifier votre âme de votre fardeau et rejoindre votre mari dans la paix.
La femme posa la plume et observa le jardin de lotus en contre-bas, laissant un portail la happer et être emportée dans cet autre monde.
La dénommée Rhasha se mit à écouter les explications de celui qui se présentait comme un guide, attendant que cette cérémonie soit terminée pour se diriger vers la guilde des aventuriers, s'inscrivant tout en refusant poliment la proposition qu'une personne écrive et lise le document. Elle passa différents tests, l'essence bleu ressortant avec une grande force. La femme n'était pas étonnée, son corps avait été le réceptacle d'une divinité après tout.
Elle accomplit des quêtes de bronze que même un débutant pourrait réaliser, utilisant l'argent ainsi gagné pour trouver une chambre dans une auberge et acheter une sacoche pour contenir son éventail, ainsi que quelques baumes et bandages.
Informations Supplémentaires
N'a pas encore trouvée un lieu pour fonder son culte, mais cela ne saurais tarder.
Un Petit Mot ?
Moi c'est Adalza ou Ada, la trentaine, aimant beaucoup le rp. Jouer des personnages avec des malus, c'est mon pêché mignon. :p