Dragon et Lion ~ PV Freya (Terminé)

Voila quatre/cinq jours maintenant qu'il était arrivé en ces lieux. Quatre/cinq jours qui lui avait fallut pour bien apprendre les bases de ce nouveau monde, mais aussi pour accepter que tout ce qu'il avait connu jusque là ne seraient plus son quotidien. Et ce fut un véritable choc pour lui. Suffisant pour venir fissurer le masque qu'il avait apprit à porter. Suffisant pour que ces états d'esprits ne soient pas aussi caché qu'il l'aurait voulut. Timoléon le savait, il venait de se retrouver dans une situation où il c'était bien trop affaiblie.
Ce matin là, après avoir prit un café et lu les nouvelles du jour, il c'était posé à la fenêtre de sa chambre pour en observer l'extérieur d'un air absent. L'ancien général jouait avec sa chevalière tout en essayant de voir les possibilité qui s'offraient à lui. Tout en essayant de voir ce nouveau chemin qui venait d'apparaitre devant lui, et jauger les obstacles qui allaient possiblement s'y poser. Le lion resta ainsi une bonne demi-heure. Avant de finir par se décider.

L'ancien soldat se prépara ainsi rapidement à sortir, enfilant les vêtements qu'on lui avait prêté. Il vint attacher son arme à son côté par habitude, ne sachant généralement pas faire sans elle, puis récupéra son pauvre bouclier abimé avant de quitter les lieux.
Timoléon était décidé. Il ne pouvait se permettre de se morfondre comme il le faisait depuis son arrivé. Il ne pouvait se permettre de perdre plus de temps encore, et de laisser l'inactivité permettre à la mélancolie de s'installer. Il se devait d'aller de l'avant, de prendre les accroches qu'on lui tendait et prouver au monde que non. Le royaume d'où il venait n'était pas faible. Que non, son rang de Général ne lui avait pas été attribué par défaut. Et que non.... Ce titre de Lion du Roi était tout à fait légitime.

Le blond c'était ainsi extirpé de la maison de l'aventurière qui l'avait gracieusement hébergé le temps qu'il puisse rebondir, venant s'enfoncer dans la grande cité qu'était Portalia. Oh il avait déjà eut l'occasion d'en parcourir ses rues. Ne serais-ce que pour régler certaines choses vis à vis de son arrivé. Où pour enregistré les différents endroits qui la composaient. S'il allait vivre ici, autant éviter de se perdre dans le dédale de ces rues, n'est-ce pas ?
Ainsi il finit par rejoindre quelques rues marchandes avec un objectif bien précis. Pouvoir se payer ses propres vêtements et éventuellement, faire réparer son bouclier. Même si pour être honnête, a ces yeux, ce serait plus simple d'en acheter un nouveau. Mais soit. L'un de leur médecin avait bien réussi à sauver sa main. Alors qu'il c'était persuadé qu'elle ne lui servirait plus, vue l'état dans laquelle elle c'était retrouvée.... Alors peut-être étaient-ils capable de faire des miracles avec cet objet ?

Timoléon parcouru les rues, observant les différentes boutiques avant de trouver celle qu'il cherchait dans un premier temps. Une bijouterie. Il y entra avec un moment d'hésitation, puis s'approcha du comptoir, posant sa chevalière d'or et de rubis.

- Bien le bonjour. J'apprécierais d'en avoir une estimation, je vous pris.

Lâchez ces mots fut particulièrement difficile. Mais moins que ceux qu'il dut prononcer ensuite, demandant à l'artisans s'il pouvait la lui acheter. Puisque si son épée était une relique de sa vie de Général, cette bague elle, était un témoin de ce qu'il avait toujours été jusqu'à aujourd'hui. Elle était le symbole même de sa famille. La marque même des siens. L'unique chose qui prouvait son identité. Mais.... La vendre devenait nécessaire. Il lui fallait un peu d'or. Et bien qu'elle fut particulièrement abimé par son affrontement contre ce Paragoï, elle en gardait la valeur de ces matériaux.
Le lion ressorti ensuite avec un petite trésor. Tout en se promettant que lorsqu'il aurait suffisamment avancé, que lorsqu'il aurait suffisamment creusé sa place en ces lieux, il s'en recommanderait une. Signant d'une certaine façon un pacte avec lui-même.

A la suite de ça, il prit le temps de passer par une boutique de vêtement. Profitant de l'or qu'il avait récupéré avec sa vente pour se commander des habits qu'il considérait comme convenable. Il prit le temps aussi de se prendre une petite sacoche afin de pouvoir rendre la bourse que son hôte lui avait prêté.
Puis, une fois que la commande et l'achat fut fait, il parti à la recherche d'un forgeron. C'est précisément lorsqu'il parvint à repérer un artisan qui lui conviendrait que les choses semblèrent commencer à se gâter. Puisque si lui n'avait retenu que le visage de celui qui devait être son bourreau, le public qui avait assisté à sa presque mise à mort avait eut l'occasion de bien imprimer son visage dans leur esprit. Et même s'ils n'étaient que peu nombreux comparé à la population de la ville... Cela n'empêchait pas le fait d'en recroiser.

- Hé, c'est pas lui qui c'est fait démettre sur la place des portails y'a quelques jours ?
- Hein ? Qui ? Le blond ?
- Ouai. Je suis sûr que c'est lui. En même temps, c'était un peu stupide d'aller affronter directement cet aventurier là.... Il avait aucune chance.
- L'avait peut-être envie de crever héhé.

Les deux comparses se laissèrent rire alors que l'ancien soldat les ignorait. Timoléon n'avait pas vraiment de temps à perdre avec ce genre d'individu. Et puis. Il ce l'était promis juste avant. Il finirait par devenir l'une de ces personnes qu'il ne valait mieux pas défier.

- Bien le bonjour, messire. J'apprécierais de savoir si ce bouclier peut-être sauvé. Où s'il est préférable de le changer.
- Bien sûr, laisses moi regarder ça.

Et le lion le laissa commencer son expertise...

Dernière édition par Timoléon Némée le Sam 26 Aoû - 11:07, édité 1 fois

A peine le forgeron eut-il prit le bouclier qu'une autre voix ce fit entendre. Restant neutre pour l'heure, il posa les yeux sur la femme qui venait s'intéresser à la cause de l'état de son bouclier, avant de lever les yeux au ciel lorsque l'un des deux aventuriers qui l'avaient repéré vienne vendre la mèche. M'enfin. Ce genre de situation il l'avait bien vécu à l'époque. Avant qu'il ne prenne en grade. Au tout début de sa véritable formation au sein même de l'armée de son royaume. Il avait apprit à ignorer ce genre de chose et continuer d'avancer. Alors il se contenta de croiser le bras en attendant que le forgeron finisse son expertise, même s'il n'avait pas le moindre espoir de pouvoir le faire réparer.
Mais s'il espérait que cela reste de la moquerie entre eux, moquerie qu'il irait ignorer royalement comme à son habitude, il avait fallut que la donzelle ne décide s'adresser directement à lui.

Timoléon reposa alors le regard sur l'inconnue, repérant en passant l'un de ces symboles qu'il avait put repérer à plusieurs reprise sur les membres de la guilde. Une garde ? Voila donc qui n'arrangeait pas son cas. En tout cas il garda les bras croisés avant que son regard ne se pose un instant sur la main tendu, puis sur ce visage aussi détestable soit-il. Peut-être s'attendait-elle à ce qu'il la snobe ? Pour ainsi dire, il hésita un instant, mais finit par décroiser les bras pour venir la lui serrer, d'une poigne ferme et peu amical. C'est précisément à cet instant précis qu'un sourire finit par se dessiner sur ses lèvres. Un sourire qui se voulait agréable, amicale, pour qui ne faisait pas bien attention. Mais probablement que ça vis à vis pouvait lire facilement l'agacement profond qu'il pouvait ressentir à cet instant précis, dans le fin fond de ses prunelles dorés.

- Timoléon Aslan Léonard Némée. C'est un véritable déplaisir que de faire votre connaissance, soyez-en sûre. - Il recroisa ensuite les bras pour se remettre en position d'attente, puis reprit, toujours en gardant ce sourire qu'il avait l'habitude d'arborer, surtout en compagnie de personne qu'il n'appréciait pas spécialement - Quand à votre proposition, je m'en vois terriblement navré, mais je vais devoir le refuser. Voyez-vous, j'ai pus obtenir toute l'aide dont j'avais besoin auprès d'Aventuriers, visiblement bien plus qualifié sur le sujet que la plupart d'entrevous.

Oh il aurait put raconter ce qu'il c'était passé. Le pourquoi du comment. Mais pourquoi aller se justifier auprès d'une personne qui se moquait déjà de sa situation ? En faites, pourquoi devoir se justifier tout court ? Ce n'était décidément pas ses affaires dans tout les cas, et l'histoire était à présent bien réglé et enterré. Lui qui voulait avancer... Il avait cet étrange impression que le destin voulait encore le tirailler. Eventuellement lui faire regretter la vente de sa chevalière...
Le forgeron revint près de lui a la suite de ses mots, reposant le bouclier sur son comptoir...

- Je suis désolé, mais... Je crois que ça vous coutera moins chère d'en acheter un nouveau de cette qualité là.
- C'est ce que je craignais... Soit. Vous auriez éventuellement la possibilité de me l'acheter ?
- Au prix de la matière oui.
- Très bien. J'aimerais pouvoir vous acheter un nouveau bouclier, avec les Gills que je pourrais obtenir de celui-ci ainsi qu'avec cet ajout.

Il prit les pièces qui lui restait de sa vente et de ces achats et les posèrent sur le comptoir. Ce n'était certes pas suffisant pour récupérer un bouclier d'aussi bonne qualité, mais il ferait bien avec. Il n'avait jamais eut la prétention de penser récupérer quelque chose de ce niveau là, en arrivant ici de toute façon. La seule chose dont il était sûr, c'est qu'il avait besoin de s'équiper. Et avec cet équipement et ce qu'il pourrait gagner avec leur aide par la suite, il verrait pour se renforcer. Tout était clair, net et précis dans son esprit. Le forgeron lui, fit le calcule avant de s'éloigner pour aller chercher ça. Et le blond, lui, en profita pour se tourner de nouveau vers cette Freya.

- Je vous suggère à présent de continuer votre route, afin que nous puissions tout les deux utiliser notre temps pour des choses plus... Intéressante.

Puis il récupéra le bouclier que le forgeron venait de poser sur le comptoir, tout en le remerciant et le saluant poliment.

Timoléon c'était éloigné du comptoir, pour permettre au client suivant de faire sa commande ou la récupérer. Il s'arrêta ensuite pour bien prendre en main son nouveau bouclier et sa nouvelle sacoche, de façon à ce que rien ne soit facile d'accès pour d'éventuel voleur. Bien entendu, il fit tout ça en écoutant les paroles de celle qui ne semblait pas vouloir le lâcher actuellement. Celle qui avait semblé particulièrement amusé par les paroles qu'il avait put dire au sujet de la guilde.

- Non, en effet. Mais c'est bien pour cela que j'ai employé un mot très particulier. "Plupart", qui a pour spécificité de ne pas mettre tout le monde dans le même panier.

Il posa le regard sur elle, alors qu'il arborait toujours ce sourire qui sonnait donc faux à qui voyait l'agacement dans ces yeux, puis finit par reprendre un air neutre en laissant ce sourire s'estomper alors qu'il avait reposé les yeux face à lui, s'apprêtant à partir. Chose qu'il ne fit pas en fin de compte, alors que les paroles de Freya s'élevait de nouveau, lui offrant une information qui ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd. Elle avait combattu aux côtés d'Hypanatoï ? Il l'a considéré donc suffisamment pour ça ? Ou alors avait-il été obligé d'agir de la sorte pour une raison quelconque ? Après tout, s'il était nouveau ici, il n'avait pas été sourd au sujet de l'attaque qui c'était produit sur la ville quelques temps auparavant... Sur un cas pareil, il aurait bien été capable de se battre aux côtés de son pire ennemi si cela avait permis de sauver les siens...

Il la laissa continuer de parler, écoutant ces mots qui pour le coup, ne semblait plus enclin à la moquerie. Du moins, pour le moment, même si le sujet l'agaçait un peu. Elle le prenait pour qui ? Pour le dernier des imbéciles ? Certes, elle semblait avoir eut l'envie soudaine de le conseiller, de l'aider. Peut-être pour pallier à l'incompétence de la guilde qu'il avait put voir les deux premiers jours de sa vie en ces lieux ? Mais pour quelqu'un qui avait toujours mit un point d'honneur à obtenir ce qu'il voulait par la force de ces bras et de son esprit, ce n'était pas vraiment le genre de conseil dont il avait besoin.... Mais comment pouvait-elle le savoir ?

- Parfois, les "corrections" sont nécessaire au bon fonctionnement des choses. S'il n'avait pas été là, je ne doute pas sur le fait que je ne serais pas ici à converser avec vous aujourd'hui. - Il restait persuadé qu'il aurait put faire des blessés sur le coup. Peut-être pas de morts même s'il l'avait pensé le premier jours, au vue de ce qu'il avait put comprendre du fonctionnement des forces en ces lieux. Mais par conséquent, il se voyait bien derrière les barreaux, ou juste mort, en d'autre circonstance. Bon certes, ça ne l'aurait pas plus touché que ça, dans le sens où il aurait crue mourir des mains d'Eskain, ce royaume ennemi au sien, mais aujourd'hui il voyait cela comme un gâchis, que le Paragoï avait évité. Même s'il avait fallut l'intervention de trois gardes pour cela... Mais cela n'était que du détail à ces yeux maintenant... - Et je ne suis pas ignorant sur le fait qu'ici, le regard sur moi n'est pas le même que chez moi. J'ai eut certes, la chance de voir le jour au sein d'une famille de la noblesse d'Astua, mais c'est par la sueur et le sang que j'ai gravis les échelons de l'armée de mon royaume. Avant d'arriver ici, j'étais à sa tête, et mon unique supérieur n'était autre que mon roi. - Il se redresse à ces mots, gardant la fierté du travaille qu'il avait sut faire - Et je compte bien prouver à Portalia que le rang que je portais n'a jamais été usurpé. Je travaillerais pour, et je reprendrais une place de choix sur cet échiquier. Peu importe que le terrain et les règles en soit changé.

De choix oui. Mais il ne songeait pas à tenter de monter sur les plus haut sommet. Oh, il ne se pensait pas incapable d'y parvenir, bien au contraire, mais il n'avait pas spécialement envie d'être sur ce genre de place. Si le fonctionnement était pareil à Astua, il préférait laisser ça à un roi ou une reine. Pour pouvoir s'occuper des actions, des armes. Il préférait l'univers de l'armée, à celui de la cours royal, entre autre....

Le lion ne pouvait pas voir les choses d'une autre façon qu'elle sur ce point. Même s'il n'aurait pas utilisé le même terme concernant ces raisons. "Valable". C'était une chose qui dépendait des gens. Et il en avait encore eut la preuve avec son passage à la guilde. Si aux yeux de guerriers comme lui où ce Paragoï, le combat qu'ils avaient mené été légitime dans son intégralité, les personnes qu'ils avaient eut devant eux n'avaient pas eut la même vision des choses. Non. A leurs yeux, cela n'avait été qu'un déchainement de violence pure, sans aucune légitimité. Encore aujourd'hui, Timoléon restait persuadé que si cet aventurier n'avait pas agit, ils lui auraient reproché son immobilisme après que le blond se soit retourné contre des civiles avant de se rendre compte de son erreur. L'ancien général ignorait encore tout des tenants et aboutissant du "dossier" concernant Hypanatoï, mais il avait surtout eut l'impression que quoi qu'il fasse, il était à présent catalogué. Et aux yeux du soldat, c'était le genre d'erreur qui mettait à mal la justice.

Enfin. Tout ça ne le regardait pas en fin de compte. Il avait d'autre chat à fouetter pour le moment. Il avait donc par la suite laissé échapper ces mots, sur ce qu'il avait été, sur ce qu'il songeait faire à présent. Il c'était laissé parler, semblant s'être ouvert un instant. Même si au final ces paroles avaient surtout joué un rôle de confirmation pour lui. Comme s'il venait de signer le pacte qu'il souhaitait faire avec lui-même.
Le soldat ne put cependant s'empêcher de hausser un sourcil à ces paroles. Ce laisser vivre... Voila une chose qu'il n'avait jamais fait, en vérité. Lui qui avait toujours vécu pour l'armée. Qui avait été forgé pour elle. Il était d'ailleurs quasiment certains que s'il devait se "laisser vivre" il viendrait à en dépérir.

- J'ai été conçut pour servir l'armée. - Il en était donc parfaitement conscient - Me "laisser vivre" n'est donc pas dans mes cordes.

Et maintenant qu'il y pensait, il ne savait même pas comment s'y prendre pour ça. Lui qui avait toujours connu que les armes et la discipline qui englobait tout ça.... Lui qui n'avait jamais eut l'occasion de jouer avec d'autres enfants, lorsqu'il était dans l'âge de l'innocence. Lui qui restait toujours assez perplexe lors de ces temps de pause, à ne pas vraiment savoir quoi en faire...

En tout cas, il avait bien noté ce sourire différent chez sa vis à vis. Et cette façon qu'elle avait de le considérer à présent. Bien qu'il ne sache pas vraiment comment interpréter tout ça dans le fond. Si c'était une bonne chose. Qu'importe. Il le verrait bien par la suite dans tout les cas.
Ce fut un regard intrigué qu'il eut lorsqu'elle finit par lui proposer de lui montrer ce dont il était capable sur le terrain d'entrainement. Avant de laisser échapper un "Tsss" lorsque la garde évoqua sa "perte" de puissance. Ce n'était définitivement pas comme cela qu'il le voyait. Qu'il souhaitait le voir. A ces yeux c'était juste impensable qu'il puisse perdre en force gratuitement. Surtout s'il avait été invoqué ici pour affronter le chaos, comme il avait put le comprendre ces derniers jours. Après tout, pourquoi affaiblir volontairement les soldats que l'on invoquaient pour se battre contre une armée déjà bien implanté ?

- Ce que j'en dis ? - Cette fois, le sourire qui s'échappa avait plus un air de défit qu'autre chose - Que même sans cela, vous me trouverez forcément là bas. J'ai encore beaucoup de chose à voir en ville, mais cet endroit ne me gardera pas éloigner bien longtemps.

Le terrain d'entrainement était même l'une des premières chose qu'il avait été voir, lorsqu'il avait eut l'occasion de déambuler à sa guise sur cette nouvelle terre. Même s'il en était resté à distance, ce contentant juste d'observer et tâter le terrain en quelque sorte.

- Mais vous faites erreur sur une chose, Dame Bloodjörn. Ce n'est pas moi qui ait perdu en force en arrivant ici. C'est simplement ce monde qui permet d'aller bien plus loin que ce que permettait mon monde d'origine.

Et ce point, jamais il n'en démordrait.