Invité
Invité
Bronze
0 Pts
Aziraphale Malice, The Mediat’error
Identité
ge : IndéterminéSexe : Indéterminé… en a-t-il (voyez-ici le pronom personnel pour une “chose”) seulement un ? Mais disons qu’il a une apparence qui se rapproche d’un homme, par convenance et facilité.
Race : Ange
Groupe : Dark Souls
Rang : Bronze
Alignement : Neutre
Physique
Taille : sous une forme “humain”, 1m80
Poids : …poids de plume
Particularité Physique : Il prend forme sous un corps humain, il a une tête “humaine” mais couverte d’yeux, il a un anneau autour de son crâne, et quelques ailes encerclent l’anneau.
Il a perdu sa forme d’ange en même temps que ses pouvoirs, puisqu’au départ, il n’a pas de “corps”, mais plutôt plusieurs yeux dans deux cercles entourés d’ailes.
Mental
Mon Histoire
Que dire d’Aziraphale si ce n’est que c’est un bienheureux raté ? Car oui, l’ange se devait d’être le médiateur, mais il fut très vite nommé le “mediat’error” pour son incapacité à utiliser ses pouvoirs correctement. Même, on se demandait s’il en avait ? La question était bonne à poser pour une simple et très bonne raison : Aziraphale était devenue maître dans l’art de la divination. Doué pour envouter et charmer, il n’a jamais su maîtriser qu’un seul pouvoir : celui de jouer les magiciens. Et dans les cieux, où toute conscience est partagée, autant dire que ce pouvoir devenait aussi utile que souffler sur du vent.
Il s’était donc perdu auprès des humains, prenant une forme qui les ravissait, les charmant pour les adopter, et jouer avec eux. Parce que là était son mot de prédilection : Aziraphale était un joueur. Mais pas de ces charlatans ou autres brigands de bas chemin, non. Aziraphale était un ange après tout. Il charmait pour donner du bon temps, pour soulager les peines, donner des rêves et des espoirs, donner de la joie, mais jamais sans vouloir du mal ! Un petit mensonge, par-ci par-là, ne faisait pas de mal, quand celui-ci n’était pas pour être mauvais.
Pourtant, à force de passer du temps auprès des humains, Aziraphale se retrouva… bloqué. Incapable de reprendre sa forme originale, comme un idiot aurait bloqué son œil à trop vouloir jouer à loucher, Aziraphale était désormais piégé dans cette apparence drôlement humaine, mais trop proche de l’ange qu’il était pour passer inaperçu. Et le joueur fut pris dans son propre jeu. Puisqu’aucun autre ange ne remarqua sa détresse, Aziraphale ne put plus que compter sur ses capacités à envoûter pour réussir à subsister dans le monde des humains.
Mais Aziraphale restait un ange. Bien qu’il ait été déchu pour avoir voulu jouer - donner l’épée de la liberté à cet humain n’avait vraiment pas plu, il fallait l’avouer - il restait en lui toute la trop grande bonté qui faisait de lui ce qu’il était. Il ne pouvait pas voir un humain souffrir, faire souffrir un humain, ou simplement dire des choses méchantes. Non, même si on l’insultait, ou qu’un bougre attentait à sa vie - là, Aziraphale l’aiderait sans doute à trancher sa propre tête - il ne pourrait en vouloir à quiconque. Et sa nature trop bonne fut bien exploitée par son “agent”.
Pour jouer sur son côté peu humain, son agent le présenta ainsi en “magicien aux mille œils”, et il devint le prestidigitateur le plus connu sur Terre. Qu’importe le jeu, il gagnait. Parce qu’au jeu, Aziraphale était toujours gagnant. Il pouvait tout voir et tout percevoir. Ainsi était le peu de capacité d’ange qu’il avait gardé. Et pourtant, malgré sa célébrité, il était connu comme un homme généreux, puisque tout l’argent qu’il amassait allait à des associations contre la famine, contre les guerres, et autres mœurs humains de la désolation - au grand dam de son agent. Celui-ci, d’ailleurs, finit par le menacer. Et Aziraphale lui dit simplement qu’il pouvait aussi lui donner la fortune qu’il avait et ne plus être son agent.
L’agent, cupide, parti sans demander son reste. Mais Aziraphale avait déjà signé un contrat pour que cet argent soit envoyé au service public. Et lorsqu’on lui demanda où était l’argent, Aziraphale, avec toute l’innocence du monde, dit simplement : “Mon agent est parti avec”. Et ainsi débuta une chasse à l’homme pour retrouver le pire des voleurs. Aziraphale était un ange, mais c’était surtout un joueur. Et personne ne gagnait contre lui. C’était là son vrai pouvoir : capable d’amadouer et d'envoûter son public, il était également un joueur hors pair qui dirigeait d’une main de maître les pièces de l’échiquier, tirant les bonnes cartes ou bons moments.
Puis vain ce jour, lorsque tout allait pour le mieux pour lui. Là où il n’y avait rien pour le déranger, les humains se prenaient toujours les pieds dans ses pièges, qu’ils se veulent amis ou ennemi, aux yeux d’Aziraphale, ils étaient tous logés à la même enseigne. C’étaient les intervenants de son grand jeu à la taille d’une planète. C’est d’ailleurs ce qui le piégea à son tour. Car quelque part, un jeu de plus grande ampleur avait lieu, et les joueurs étaient appelés à débarquer pour tenter de le gagner. Aziraphale ne fit pas exception. Il se retrouva ainsi dans ce lieu où chacune des personnes sur la planète devait tenter de gagner une guerre qui opposait deux dieux : Portalia. Aziraphale aurait pu rire. Pourtant, pour la première fois de sa vie, il se sentit désolé, voire même un peu triste : il n’avait pas eu le temps de finir la plus grande partie de jeu qu’il avait créé.
Informations Supplémentaires
Aziraphale est anciennement l’ange “Médiateur”, mais après avoir été déchu, les autres anges ont préféré lui donner le titre de “Malice” - ou pour se moquer, de “Médiat’error”.
C’est un ange qui ne vit que pour jouer. Quelle que soit la situation, tout est pris comme un jeu. Cependant, c’est un mauvais joueur : il veut gagner et il gagnera, et toujours avec la plus tendre et la plus gentille des manières. Pour autant, il ne sourit pas vraiment, c’est un ange tout de même, pas un clown.
Avec son passage chez les humains, son rapport à la violence et à la mort s’est modifié. Il ne tuera pas, jamais, même par un intermédiaire. Mais l’utilisation de la violence via un autre ne le dérangeait plus. Tout est bon pour gagner après tout…
Petit fait intéressant : à l’origine, Aziraphale n’a pas de corps. Ainsi, la “voix” qu’on entend lorsqu’il parle… est en réalité fausse. Il bouge ses lèvres, mais il parle en écho avec l’esprit, s’harmonisant avec l’âme en face de lui. Ainsi est-il capable de communiquer.
Et puis - sans surprise - le fait qu’il ait des yeux un peu partout sur le corps lui donne une vision… sans faille, et surtout, sans angle mort. Il n’y a pas une chose qu’il ne verra pas…
C’est un ange qui ne vit que pour jouer. Quelle que soit la situation, tout est pris comme un jeu. Cependant, c’est un mauvais joueur : il veut gagner et il gagnera, et toujours avec la plus tendre et la plus gentille des manières. Pour autant, il ne sourit pas vraiment, c’est un ange tout de même, pas un clown.
Avec son passage chez les humains, son rapport à la violence et à la mort s’est modifié. Il ne tuera pas, jamais, même par un intermédiaire. Mais l’utilisation de la violence via un autre ne le dérangeait plus. Tout est bon pour gagner après tout…
Petit fait intéressant : à l’origine, Aziraphale n’a pas de corps. Ainsi, la “voix” qu’on entend lorsqu’il parle… est en réalité fausse. Il bouge ses lèvres, mais il parle en écho avec l’esprit, s’harmonisant avec l’âme en face de lui. Ainsi est-il capable de communiquer.
Et puis - sans surprise - le fait qu’il ait des yeux un peu partout sur le corps lui donne une vision… sans faille, et surtout, sans angle mort. Il n’y a pas une chose qu’il ne verra pas…
Un Petit Mot ?
J’ai débuté le rp il y a environ 1 an (même jeu sur plateau, je suis une NOOB), mais ça me plait bien ! J’écris depuis très longtemps ceci-dit. Je suis venue ici à cause de Petit Caillou (et parce que je connais Cyria, c’est une crème, j’ai envie de voir ce qu’elle a concocté sur ce forum aussi :3)
000Mots
Mer 20 Juil - 20:03