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Bronze
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La passivité. Elle émousse les sens, ennuie l’esprit, raccourcit la créativité, fait s’oublier jusqu’au plus sombre de tous les Sombres. Certains évènements qui se sont déroulés ces derniers temps auraient mérité un peu plus d’implication de la part du Sombre… Le regrettait-il, ce manque d’implication ? Un peu, d’une certaine manière… Mais devait-il regretter chaque moment passé loin du chaos ? Bien-sûr !
S’il s’était écouté, nombreux auraient été les cadavres disséminés dans les Quartiers Nords… Et sans doute plus nombreux auraient été ceux éviscérés, éventrés, étripés, au cœur même des cours, des alcôves, des vestibules et des corridors de l’Eglise. Être un Dark Souls, c’est avant tout respecter quelques préceptes, le plus important étant : ne pas tuer d’innocents. Si cette phrase à elles seule provoque une puissante envie de vomir chez le Roi Tyran – puisqu’elle va à l’encontre des principes du chaos, celui-ci régissant le principe de pulsion incontrôlée et incontrôlable dictée par l’orgueil et l’égo – il fut bien obligé de s’y plier, pour sa propre sécurité. La Guilde Noire possède une arme bien plus terrible que ce que le commun des mortels – et des immortels – pourrait imaginer.
Mais l’Eglise, elle, était une cible de choix, pour ne pas dire privilégiée. Certes, le Roi Tyran cherchait à gagner en puissance dans le but de devenir plus fort, plus indestructible, plus redoutable que le destin lui-même ; certes il accepte de vivre au milieu des vermines insignifiantes et insupportables ; certes il désire à accroitre son essence… Mais sa soif de mort et de chaos demeure plus forte encore.
Cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas pu écouter le chaos. Trop longtemps qu’il avait dû réfléchir au lieu d’agir. Les Dark Souls ne souffriraient point de ce plan machiavélique qu’il concevait depuis quelques temps, et qu’il s’apprêtait à mettre à exécution.
Le prochain mouvement était important : il avait besoin d’un pion à manœuvrer, d’un cloporte à dresser, d’une vie insignifiante à risquer afin d’obtenir des informations de première main. Il trouva bien vite un nom, mais ce dernier semblait peu prononçable… Sans doute était-ce un nom parmi tant d’autre ? Quelle idée que de se faire appeler par son véritable prénom pour réaliser des missions de mercenariat, pis encore, pour des missions dignes d’un grand terroriste.
Il convia d’un rendez-vous dans une des tavernes de Portalia. Eylohr laissa quelques indications très simples : une table en terrasse, chercher le pâle au milieu des couleurs.
Espérons que cette dague à vendre soit un peu plus intelligente que la visse manœuvrée par le tournevis.
S’il s’était écouté, nombreux auraient été les cadavres disséminés dans les Quartiers Nords… Et sans doute plus nombreux auraient été ceux éviscérés, éventrés, étripés, au cœur même des cours, des alcôves, des vestibules et des corridors de l’Eglise. Être un Dark Souls, c’est avant tout respecter quelques préceptes, le plus important étant : ne pas tuer d’innocents. Si cette phrase à elles seule provoque une puissante envie de vomir chez le Roi Tyran – puisqu’elle va à l’encontre des principes du chaos, celui-ci régissant le principe de pulsion incontrôlée et incontrôlable dictée par l’orgueil et l’égo – il fut bien obligé de s’y plier, pour sa propre sécurité. La Guilde Noire possède une arme bien plus terrible que ce que le commun des mortels – et des immortels – pourrait imaginer.
Mais l’Eglise, elle, était une cible de choix, pour ne pas dire privilégiée. Certes, le Roi Tyran cherchait à gagner en puissance dans le but de devenir plus fort, plus indestructible, plus redoutable que le destin lui-même ; certes il accepte de vivre au milieu des vermines insignifiantes et insupportables ; certes il désire à accroitre son essence… Mais sa soif de mort et de chaos demeure plus forte encore.
Cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas pu écouter le chaos. Trop longtemps qu’il avait dû réfléchir au lieu d’agir. Les Dark Souls ne souffriraient point de ce plan machiavélique qu’il concevait depuis quelques temps, et qu’il s’apprêtait à mettre à exécution.
Le prochain mouvement était important : il avait besoin d’un pion à manœuvrer, d’un cloporte à dresser, d’une vie insignifiante à risquer afin d’obtenir des informations de première main. Il trouva bien vite un nom, mais ce dernier semblait peu prononçable… Sans doute était-ce un nom parmi tant d’autre ? Quelle idée que de se faire appeler par son véritable prénom pour réaliser des missions de mercenariat, pis encore, pour des missions dignes d’un grand terroriste.
Il convia d’un rendez-vous dans une des tavernes de Portalia. Eylohr laissa quelques indications très simples : une table en terrasse, chercher le pâle au milieu des couleurs.
Espérons que cette dague à vendre soit un peu plus intelligente que la visse manœuvrée par le tournevis.
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Mer 26 Jan - 19:03