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Yoka
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descriptionDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan) EmptyDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan)

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… Va savoir ce qui t'amène là. T'es débile, goupilou. À force de t'attacher… ce qui devait arriver est arrivé.

Tu sais que tu y réfléchis de plus en plus, alors que tu ne devrais pas. Oui, tu récupères petit à petit le contrôle sur chaque aspect de ta vie qui t'échappait, à commencer par ton sommeil. Oui, la piste du pyromancien se tangifie, et avec elle l'espoir. Oui, la hargne te prend au ventre, d'autant plus motivée par l'idée que, peut-être, un jour enfin, tu réussiras à te libérer de ton mal. À débarrasser le monde de cette horreur. Et, enfin… à constituer ta meute.

Ta meute, Yoka. Le truc qui t'a filé entre les doigts par ton seul échec autrefois. Ta meute. Un objectif pour vivre. Un objectif à protéger. Un objectif à aimer. Au delà de toi, plus grand que toi, plus extraordinaire que toi.

Un objectif enfin qui guide tes pas, bien au delà de cette stupide quête.

Ta meute…

Mais, goupil stupide. N'est-elle pas déjà tissée, ta meute ?

Non non, c'est idiot, ça n'a aucun sens. On… non !

Et pourtant, réfléchis. Marguerite vient te voir tous les quatre matins pour un oui pour un non, et quand il ne te mord pas il vient te réclamer un coup de main ou un pansement comme si t'étais son grand frère depuis vingt ans. Même tes coups d'un soir ne sont pas aussi insistants le lendemain…

Elim t'accueille sous son toit, et avec lui tous les membres de sa clinique, à bras ouverts, et en ne réclamant aucune contrepartie. Comme un égal, comme un cousin, comme un frère.

Lizbeth t'a marqué d'une rune, comme chacun des enfants qu'elle garde sous sa protection. Un comble pour un kage, d'être protégé par une autre. Une armure vide… pas si vide que ça, en réalité.

Bon, Hypanatoï c'est autre chose, il te considère plus comme un objet à lui que comme un allié, alors bon.

Mais… Alicia, avec qui tu passes du temps à discuter ou à chanter.

Iridial, qui t'arrache malgré lui tous les sourires du monde.



Tu es stupide, Yoka. Ne pense pas à… rah. T'as encore rougi. Sirius.

Tu t'en veux encore de ce que tu lui as dit. Quelle idée. Tu l'as pris pour un Dark Soul. Ses réactions ont semblé confirmer. Et tu lui as lancé la puissance de ton déni dans la figure.

Une violence inouïe. Raaaaaaah ! Si tu pouvais encore t'excuser, tu le referais. Platement. Le démon ne méritait pas ça, alors même qu'il venait de t'offrir l'entièreté de sa vulnérabilité en échange.

Et toi tu lui offres ta violence et ta peur, en retour.

Le pire de toi. Ce que tu n'as jamais envoyé à quiconque. Jamais montré à quiconque.

Tu es indigne de ce que tu reçois, goupilou. Tu peux en effet avoir honte. Aucun Croc n'aurait apprécié un tel comportement de ta part.

Tu es tombé amoureux sans le vouloir. Sans rien y pouvoir. Mais il n'y pouvait pas plus, le pauvre. Il ne méritait pas ta colère.

Si seulement tu pouvais remonter le temps.

Arf, ça fait mal d'y penser. C'est ça de ne pas avoir élevé les cochons ensemble. Même si t'aurais préféré, le concernant.

Ça… pourrait toujours arriver, non ?

Et là, … ton regard se pose sur le petit nouveau. Le petit dernier de la meute. Rayan.

Lui aussi, c'était la surprise presque effrayante. Un gamin d'à peine… quoi ? Douze ans ? T'es même pas sûr de son âge, même pas sûr qu'il le connaisse lui-même. Toujours est-il que le gamin passe presque autant de temps à filouter pour venir te voir en faisant faux bond à ses gardiens que tu ne viens voir la petite meute de bambins à l'orphelinat. Ça te ferait presque sourire…

Tu le ramènes encore une fois avec toi, là. C'est devenu une habitude. Genre c'est un secret de polichinelle, au point qu'Elim a failli faire installer un matelas de plus pour le bambin à la clinique au vue des ses nombreuses incartades. Que Lizbeth sait à tous les coups où venir le chercher quand il le faut. Que cela ne te surprend même plus d'arriver épuisé chez toi après une journée de travail pour le voir assis nonchalamment dans ta chambre, parfois même jouant avec une des flèches que tu aurais eu l'outrecuidance de laisser traîner.

Et sa façon de feindre l'indifférence en ta présence est toujours aussi drôle, à ce gamin. Les actes, Rayan. On te l'a dit, les actes en révèlent bien plus de toi que ta réaction apparente.

La nôtre, de sourire sans rien dire mais en en pensant pas moins…

Ça remue.

C'est donc ça, une meute ?

C'est effrayant. Tu es à peine rang argent, Yoka.

Tu avances, mais tu n'as pas dégagé le terrain. Tu n'es pas encore apte à protéger tout le monde. L'éventualité qu'il arrive un truc à ne serait-ce que l'un d'eux est effrayante. Mieux vaut ne pas y penser.

Et accélérer ta quête.

Et … la vraie question. Devrais-tu vraiment faire cette démarche ?!

N'est il pas mieux avec Lizbeth ? Elle est incontestablement plus puissante que toi, l'armure.


Diantre. Ça remue trop. Tu t'es mis dans de beaux draps, goupilou.

On entre dans le lieu. Il va falloir avoir un nouvel échange en tête à tête avec la pastèque de métal.

Mais ça remue toujours plus, rien qu'à l'idée d'y penser… t'es pas prêt pour ça, hein ?

Et voilà qu'une odeur se mêle à tout ça. Une odeur que tu reconnaîtrais entre mille.

« Elim ?! Je te croyais encore à la clinique ! Comment as-tu fait pour arriver si rapidem… »

Ton sourire doux, celui que tu offres à chacun de manière unique se crispe sur ton visage.

Ce sourire cajoleur se meurt avec l'immutabilité d'une statue face à ce nouveau choc.

Elim sent le Croc, mais aussi l'épicéa, l'érable et la violette.
Alors que là, ce qui inonde tes narines en plus de la flagrance caractéristique des Crocs, en plus de ce je ne sais quoi propre aux tiens, ce n'est pas la senteur du Loup-Tonnerre, ça non.

La… menthe. Ce type sent la menthe poivrée fraîche, ce petit relent qui te rappelle la givre et le froid.

Mais la glace qui envahit tes papilles est aussitôt contredite par un autre constat. Par … quelle magie ?!

Trois fois trop d'appendices pour être toi, un poil trop grand, les cheveux eux aussi trop courts. Et ce regard rougeoyant qui s'est relevé des enfants autour pour te dévisager…

Non, ces détails en moins, tu aurais pu croire que… que ce type était toi. Lui aussi a les cheveux gris.
Lui aussi arbore un sourire charmeur qui caresse les gens comme si chacun était unique.
Lui aussi a … a… ton fluff. C'est… aussi un goupil. Morde !

Mais par quel magie un tel miroir tridimensionnel peut-il bien exister ?! La vraie différence qui t'assure qu'il existe bel et bien en dehors de toi, outre le comportement des enfants autour de lui, c'est son odeur qui diffère en tous points de la tienne.

L'instinct est plus fort que toi. Tu t'avances à grandes enjambées pour couvrir la distance qui vous sépare, avant de renifler un grand coup comme chez les tiens. Tu ne t'avances pas plus, mais tu te retiens très fort. Parce que si tu n'avais pas été à Portalia, tu aurais commis l'erreur que tu as eue envers Yvana, à savoir renifler à moins de dix centimètres de son visage, comme seuls les goupils Séléniens peuvent le faire. Mais tu sais désormais qu'il est coutume de se retenir.

Pour autant, le constat n'en est pas moins effarant.

… Morde. C'est vraiment un Croc.

Ton sourire, Yoka ! Ton sourire. Tu es perturbé, mais le sourire prévaut !

Unique. Forgé pour lui.

« Voilà qui … est cocace. Il semblerait que je ne sois plus le seul renard époustouflant du voisinage. Alternativement, si ma vue est trompée par un quelconque miroir, la magie de son embellissement est remarquable. »

C'est le moment que Rayan choisit pour s'avancer et jeter un œil entre toi et le joli goupil. Son regard s'est crispé, il semble à la fois calculer ce qu'il se passe et te jauger.

« Il est de ta famille ? »

Ça, petit bout, on aimerait sacrément bien le savoir.

Mais c'est impossible.

C'est tout bonnement impossible.

Notre famille n'existe plus, petit bout. Tu es plus de notre famille que personne sur ces terres, qu'on le  veuille ou non.

Mais, goupilou, ton sourire darde désormais cet être avec curiosité. Si quelqu'un a la réponse, c'est bien derrière ces yeux de feu qu'elle se dissimule encore.

Et le silence d'un kage Croc embellit toujours plus son sourire lorsqu'il arrache par sa seule patience la réponse de son interlocuteur.

Alors, beau reflet, qui es-tu ?

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Yuan Xing
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descriptionDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan) EmptyRe: Derrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan)

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Yuan feat Yoka .


Un coeur fondant sous un pelage affriolant





"Cueille le jour" voilà une expression qui collait bien au patron du Vif Argent et accessoirement membre de la faction des Aventuriers enfin.. quand il le voulait. C'est bien le défaut principal de Yuan : il fait ce qu'il veut quand il en a envie. Et aujourd'hui il avait envie d'aller voir les adorables frimousses de l'orphelinat, il avait réellement besoin d'une pause avec toute cette clientèle. Signalant son absence à ses subordonnés il leur faisait confiance néanmoins il leur fit savoir qu'ils pouvaient l'appeler si besoin. On ne sait jamais ! Ça peut aller d'un soucis de comptabilité, comme d'un client ou une cliente trop proche du personnel, la fourchette est étendue si l'on puis dire. Joyeusement le kitsune prit ses sacs remplis de jouets, d'habits, et de quelques monnaie en guise de don, il sait que Lizbeth en fera bon usage. À vrai dire le Croc ne connaissait pas la protectrice des lieux depuis très longtemps mais il est certain que c'est quelqu'un de bienveillant et juste, ça se sent tout simplement. Après quelques minutes de trajet le bel argentin vêtu d'un kimono et de sandales fut triomphalement accueilli par une armée de bambins, Yuan adorait les enfants, non pas dans le sens culinaire ou autre chose.

Il a souvent rêvé d'être père de famille, d'élever un bout de chou et lui montrer le chemin de la vie..seulement son mode de vie actuel ne conviendra pas à un bambin. Il est..comment dire..légèrement instable, non pas dans le sens financier ou matériel non ! Yuan mène un train de vie tout à fait respectable, c'est plutôt le fait que celui-ci soit volage, un coup vous trouverez un bel homme à son bras la semaine suivante ce sera une demoiselle ou un autre jouvenceau. Yuan se lassé vite de ses conquêtes. Oh il a pensé à être père célibataire mais est-ce que ce serait vraiment bien pour le futur chérubin ? Aucune idée et il ne voulait pas rendre malheureux un pauvre bambin en tentant l'expérience.

En attendant il préférait leur rendre visite de temps en temps, apporter son soutien à l'orphelinat autant en tâches ménagères qu'en monnaie.
Les adorables bout de chou se pressaient autour de lui réclamant câlins, histoires, jeux et bien sûr des bons petits plats pour le goûter ! Les filous savaient à sui s'adresser mais comment leur résister ? Quelles adorables canailles ! Yuan leur raconta avec grand plaisir quelques histoires donnant à chacun quelques câlins, si ce qu'il faisait pour ces petits pouvait leur éviter son enfance misérable alors il s'investira encore et encore. Mais une fragrance ainsi qu'une voix vint titiller les sens de l'épéiste en plein milieu de son récit..une odeur typique des Crocs mélangée à un soupçon de cannelle et de noisette,voilà une bien agréable fragrance. Mais surtout ce fut le nom qui interpella notre conteur, "Elim" ?

Qu'est ce donc que ces simagrées ? L'on devait le confondre avec quelqu'un d'autre. Heureusement les enfants éclaircissent la situation en expliquant à Yuan que son interlocuteur n'est ni plus ni moins que Yoka Nogi ou plus simplement juste Yoka, apparemment cette personne était bien connue des enfants puisqu'il était proche de ceux-ci et particulièrement d'un certain "Rayan"..Le fameux absentéiste. Oui Yuan avait senti la présence sans difficulté d'un autre être vivant juvénile. Tout en élégance le kitsune se redressa, expliquant gentiment aux enfants qu'il poursuivra l'histoire plus tard, leur donnant à chacun une boîte de macarons personnalisée avec une peluche et un jouet.

Les bambins ravis enlaçaient chaleureusement leur bienfaiteur les pupilles brillant de reconnaissance puis allant jouer avec leurs cadeaux.
Enfin le goupil argenté déposera ses cristaux de sang sur le minois de celui qui l'avait interpellé, oooh on dirait bien un jeune Croc en apparence en tout cas..Le physique est souvent ..trompeur dirons nous; après tout notre casanova poilus sous ses traits de jeune damoisel était âgé de quelques centaines d'années, l'âge est futile de là où il venait. Esquissant un rictus il délivra un rire franc.


- Uhuhu eh bien je ne sais pas qui est cet "Elim" mais visiblement..il semblerait que ce soit quelqu'un de fort agréable pour que vous affichez un tel sourire à mon égard. Je me présente Yuan Xing, humble patron du Vif Argent et Aventurier à mes heures perdues, je veux aider cet ophelinat et ces braves petits à trouver le bonheur ainsi qu'une famille. Yoka c'est cela ? Allons mon jeune ami détendez-vous je ne mord pas. Si vous continuez à me fixer ainsi je pourrais bien croire que vous m'effeuillez du regard, je risquerai de prendre froid voyez-vous ?

Le regard rougeoyant taquin fit place à la douceur lorsque le bel homme s'adressa à l'accompagnant juvénile du fameux Yoka, un sourire chaleureux sur la lippe de Yuan


- C'est donc toi Rayan ? Tes camarades de l'orphelinat m'ont parlé de toi quelques fois. Je suis ravi de faire ta connaissance. Alors comme ça tu as la bougeote ? Tu feras peut être un bon Aventurier qui sait !

Ne voulant pas embarrasser le bambin Yuan s'était tenu à une distance raisonnable puis s'adressa à son jeune confrère, qui l'avait reniflé un bon coup. Ce qui amusait beaucoup le casanova poilu qui sourit doucement.


- Quant à humer mon odeur, je pense qu'il serait plus pratique de vous approcher non ? Je ne vais pas vous mordre pour si peu, j'ai bien eu connaissance des coutumes des Séléniens. Bien que cela remonte à l'époque où je devais à peine avoir l'âge des petits anges ici présents. Doux dieux..nous ressemblons fortement oui à quelques légers détails..quelle belle coïncidence.

La dextre de Yuan adressa une caresse fugace sur le cuir chevelu de Yoka, appuyant les paroles suivantes.


- Vous me flattez d'ordinaire je prends volontiers les éloges. Il est vrai que je suis magnifique. Cependant je ne les accepte pas quand c'est au prix d'une rétrogradation. Vous êtes un joli brin de renard l'ami, j'ai l'oeil pour ça. vous verrez vous vous épanouirez plus encore au fil des années.

Hm. Voilà que le jeunot semblait foutrement perturbé. Y avait pas de quoi en chier une galette si ? Ils étaient presque des sosies et donc ? C'est plus amusant que angoissant non ? Yuan ignorait tout de l'histoire de celui qui semblait être son cadet aussi le nouveau sourire qui semblait s'être forgé en vitesse sur la lippe de celui-ci intriguait l'argentin. Celui-ci effleura le menton de Yoka avec son éventail ne voulant pas le blesser avec ses mains griffues.


- Mon jeune ami pourquoi une telle tension ? Restez naturel voyons, bien que votre sourire soit charmant ne vous forcez pas à être enjoué si vous ne l'êtes pas réellement. Quelque chose vous tracasse ?

Enfin le petit Rayan creva plus ou moins l'abcès. Bien qu'appartenant à la même catégorie il n'est jamais certain que deux renards soient de la même généalogie. Cependant au vu de la ressemblance quasi parfaite..la question se posait. Yuan avait vaguement le souvenir de l'arbre généalogique de sa famille, ils avaient des branches en commun avec plusieurs clans, un potentiel lien de parenté est tout à fait envisageable.

- Ma foi..les liens peuvent parfois être complexes..mais ça n'est pas impossible. Mon clan à tissé plusieurs liens de sang avec d'autres clans notamment les Séléniens d'ailleurs.

Yuan ne réalisait sans doute pas la bombe qu'il venait de jeter en toute simplicité. Calmement, le Casanova poilu agitait lentement son éventail, ses prunelles plantées dans celle du petit Kage Croc avec un doux sourire.



Dialogue de Yuan
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Dialogue interlocuteur


codage par Laxy Dunbar.
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Yoka
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descriptionDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan) EmptyRe: Derrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan)

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Ton sourire se crispe légèrement lorsqu’il dit ne pas connaître Elim. Non pas parce qu’il ne ne connaît pas, ce qui est logique, mais parce qu’il parle du fait que ce dernier soit “fort agréable” et d’un “tel” sourire à son égard. Réfléchis, goupilou… Tu ressentirais quelque chose pour le Tonnerre lupin ?

Ouais, non. Si tu ressens quoi que ce soit pour le loup, c’est sans aucune commune mesure avec ne serait-ce qu’Iridial, sans même parler de Sirius. Nan nan, il se méprend, ce … Yuan Xin. Elim, c’est chasse gardée par Yvana, toi ton terrain se trouve ailleurs.

Tu peux reprendre ton sourire, celui qui serait désormais unique et réservé pour ce toi alternatif qu’est le soyeux rougeoyant.

Atta. Il dit qu’il vient du Vif Argent ? LE Vif Argent ? Il n’y a pas deux établissements à ce nom-là, si ? Ce n’est pas l’endroit le plus réputé ni le plus connu, mais tu sais ce dont il retourne. Un bar dont la consommation flirte avec le frivole, sans toutefois le dépasser… du moins à ta mémoire. Tu y as déjà mis les pieds, une fois. Plutôt sympa, même si tu n’es pas du genre à payer pour que les gens te tournent autour. Tu préfères quand les gens le font d’eux-même, c’est plus intéressant.

“Hahaha !”

Tu as jeté un œil à Rayan. Morde, ce type est aussi dragueur que toi, mais non, pas devant Rayan, tout de même.

Ouais… mais en même temps, si Rayan ne te découvre pas tel que tu es toi, serait-il juste d’aller au bout de la démarche d’adoption ? N’est-ce pas là l’occasion de montrer au petit qui tu es vraiment ? Mh…

“Je vous ai pris pour un autre, en effet, monsieur Xin. Et si ma joie de le croiser n’est plus, cela n’en demeure pas moins une joie d’une égale ampleur de vous rencontrer, vous. Votre aide est plus que bienvenue. Et oui, je vois que les petits vous ont parlé de moi.”

Ton sourire devient de plus en plus amusé. Se risque-t-on à hausser un sourcil complice malgré les incertitudes sur sa nature alors qu’il mentionne son intention de ne pas mordre ? Allez, oui. On va le faire.

“Alors, voilà bien une phrase sur laquelle je ne vous crois pas. Si vous n’avez ne serait-ce que la moitié de ma propension, ou même celle de Rayan sur ce point, vous pouvez mordre, et même vous le faites quotidiennement. La morsure est une défense, une attaque et même parfois un moyen de communication à ne pas négliger. Me tromperai-je ?”

On a souri de toutes nos dents, pour l’occasion. Sous le sourire, les Crocs.

Quant à l’effeuiller, c’est un peu osé, comme propos. Tentant, hein ? Ouais, très tentant.  Mais osé. Bien trop pour l’occasion. On détourne le regard pour contempler Rayan à qui il s’est adressé juste après toi. Le garçon a jeté un regard étonné au vulpidé, avant de te dévisager puis de froncer légèrement les sourcils. Toujours les mêmes difficultés d’attachement, ce petit. Tu sens qu’il va se renfermer, c’est une constante dans cette situation. Il est déjà en train de jeter un regard sombre, et tu sais que c’est autant vis à vis de cet inconnu qu’à cause de ta façon à toi de réagir.

“Rayan a en effet des capacités qui pourraient bien lui ouvrir de nombreuses portes, plus tard. Ça a été une joie incommensurable de le rencontrer, et une joie sans cesse renouvelée de le côtoyer, même quand il vient me voir sans demander l’avis de sa tutrice légale.”

T’as dit ça en posant une main sécurisante sur l’épaule du petit. Il est temps qu’il comprenne que, même si tu vis ta vie, interagis avec d’autres, voire même te montrer joueur avec un tiers, cela ne retire rien à ta relation amicale avec ce dernier. Amicale… paternelle? Avoue, stupide Yoka, t’ose pas mettre le mot dessus, ça te taraude trop.

Ce Yuan ne s’approche pas plus, ce qui est sage concernant ton protégé. Ton sourire s’étant adouci, tu reprends :

“Désolé pour l’effeuillage, j’ai tendance à plus de retenue sur ce terrain-là dans de telles circonstances. Il est possible que j’aie encore cherché à impressionner ce petit, malgré moi, pour tâcher de demeurer à la hauteur de l’estime qu’il m’accorde. Ceci étant, j’espère ne pas vous avoir donné froid.”

Garde tout de même le “Parce que sinon, je serais contraint de faire ce qui est en mon pouvoir pour y remédier” qui a failli te jaillir des lèvres. Ça, tu le conserves pour les soirées, pas pour ici. Et… même, maintenant tu le conserves pour une personne un peu plus particulière, quand bien même la tentation reste grande de l’envoyer pour jouer.

À la place, souris juste. Toujours.


C’est à ce moment qu’il parle de le sentir. Qu’il t’autorise à le faire. T’y invite, même. Cela serait amusant, et a même commencé à t’arracher un sourire complice. Cela dit, un mot a fait tâche.

“Sélénien”.

Sélénien. Il a dit le mot de trop. Le mot qui, en lieu et place, t’a fait te figer sur place. Rayan, collé à toi, l’a senti, et te regarde avec surprise avant d’émettre un regard de nouveau inquiet en direction de votre interlocuteur. Pendant ce temps, le vulpin te renvoie ton compliment à travers un autre, caressant ton égo. Si tu n’étais pas sur le qui-vive, avec ta crispation dissimulée derrière un sourire, tu lui aurais alors répondu avec plus de miel, plus de douceur, peut-être même plus de tendresse. Après tout, c’est un Croc, donc par définition, un ami. Et même de la famille, au sens large du terme. Alors, si en plus il se montre agréable, techniquement rien ne t’empêche de te montrer sous ton jour le plus favorable. Vous êtes deux à aimer jouer. Alors, rien ne t’en empêche…

À ce mot près : Sélénien.

Ah, voilà qu’il capte la tension. Diantre. Et le revoilà qui mentionne encore les Séléniens. Chaque fois qu’il le fait, cela sonne à tes oreilles comme une cloche vibrante, le glas de la douleur et de l’ignorance. Le gong qui résonne dans ton crâne du doute affreux se mêlant à l’effarement d’une situation qui attise colère, violence, pleurs, cris lancinants, effroi, désespoir… et mort.

Quel Croc parle des siens en public, alors que ces derniers siècles et depuis l’histoire de Sif ces derniers dissimulent à la fois leurs villages et leurs clans aux yeux des peau-nues ? Quel Croc mentionne les Séléniens avec douceur et sourire, comme s’il ne s’était rien passé depuis des années, comme s’il revenait de leur village dans la candeur et la bonne humeur pour partager les souvenirs tout juste vécus ? Quel Croc enfin éclaire les humains concernant l’existence des liens de sang, ces pactes solennels qui ne s’offrent qu’entre plus dignes hybrides des plaines et des montagnes ?

… Le doute t’assaille. Il en sait trop sur les Crocs, mais il n’agit pas en Croc.
Il ressemble trop à un Croc, mais aucun de ceux que tu connais.
Il n’est que trop Croc, à l’exception de ces nombreuses choses qui font que tu te méfies à son égard.

On se tourne vers Rayan, en tentant de conserver un visage encourageant envers le petit, le temps de tirer au clair cette situation.

“Rayan. Je mentirais si je tentais de te cacher ma façon d’être au quotidien, que ce soit en matière de frivolité comme en matière de coutumes. Pour en savoir plus sur les gens, il m’arrive d’avoir à les renifler. Ne t’inquiète pas, c’est normal. Tu n’es pas obligé de rester si tu ne le veux pas. Sache que j’aurai à te parler à l’occasion, mais d’autres priorités prévalent, dont celle pour moi de comprendre qui est réellement notre ami ici-présent.”

Et on relève le visage vers le rubis au fluff gris sans attendre la réponse du petit, avant de s’avancer avec un sourire un poil plus carnassier. Non, goupilou. Il faut te montrer plus doux. Tu fais certes bien de garder tes mains en poche pour le cas où il te faudrait bondir en arrière, puis planter tes pics dans le sol en urgence. Mais le danger n’est pas encore avéré.
Pas encore.

“Quelque chose me tracasse, en effet, joli goupil aux merveilleux yeux de sang. Je me retenais pour les enfants, mais votre odeur pourrait en effet répondre à mon tracas, si je prends la peine de dépasser cette menthe fraîche agréable qui émane de votre personne et vient plaire à mes pupilles. Je vous préviens juste que vous pourriez préférer que je vous aie effeuillé en comparaison de ce que votre odeur pourra révéler de vous et vous mettre, métaphoriquement parlant, à nu.”

Allez, avance-toi à cinq centimètres de son visage. Tu sais à l’odeur déjà que Rayan est resté, même si tu ignores sa réaction. Tant pis. Chaque chose en son temps. Plus tard, les explications.

Tes mains se crispent dans tes poches, mais ton sourire grandit. On inspire un grand coup. Chaque relent de cette personne doit finir encastré dans ta mémoire, afin que tu puisses le suivre les yeux fermés, comprendre ce qu’il est et ce qu’il vit. Que ses mensonges se révèlent à travers le prisme de ses odeurs.

Pour le Vif Argent, il ne ment pas. Du moins il possède tous les relents du quartier sud, de nombreuses senteurs de gens qui ne peuvent que s’y être rendus, et même les fragrances de l’une de ses hôtesses en particulier. Elle avait une odeur très liée à son parfum de fleur d’oranger dont elle s'aspergeait de toute évidence. C’est cohérent.

Pour les Crocs, tu ne t’es pas trompé. Il sent les Crocs, c’est indéniable. Mais, derrière ses relents, il y a une note changée, une note que tu sais avoir disparue chez les jeunes générations dont tu fais partie. Une note unique, dont les spécialistes ont pu te révéler qu’elle n’avait lieu que chez les gens plus âgés, chez les anciens. Au moins quatre cent ans, donc.

Mais où a-t-il vécu tout ce temps pour ignorer le sort des tiens ?!

Là encore, ce sont les odeurs qui répondent pour toi. Il a l’odeur des Crocs, mais elle semble à la fois terriblement vieille, ternie par la ville. Il n’a de toute évidence jamais vécu dans les Plaines de Glace, ni même dans les Montagnes de Givre. Il sait, mais il ne sait pas. Un semi-Croc ? Il ne t’appartient pas d’en juger. Mais il est un étrange Croc dans tous les cas. Est-ce que cela doit jeter un doute ? Est-ce qu’il ne faut rien lui dire sur les vérités que tu connais et qu’il ignore ? Le doute t’assaille déjà.

Enfin, la troisième inspiration se fait les yeux fermés. Après tout, tu n’as pas senti d’arme à portée autre que son katana soigneusement rangé pour le moment. Cette dernière salve d’odeurs, tu la destines à une autre recherche : Ce qui parmi ses relents révèle ce qu’il est, lui, dans son comportement et ses pratiques du quotidien.

Il sent. Il sent l’alcool fréquent, pas plus ni moins que toi sans doute. Il sent les odeurs proximales, celles qui témoignent qu’à moins de s’être aspergé de plusieurs parfums différents de nombreux mois auparavant, et ce jusque sur ses orteils, il doit multiplier les relations courtes. C’en a même perturbé tes premières recherches sur certains points, même si l’odeur de l'hôtesse du quartier sud est elle bien plus forte et prégnante, fort heureusement, malgré une relation de toute évidence moins charnelle et plus professionnelle. Il sent son katana, avec une touche qui laisse penser qu’il a déjà été en contact avec des objets eux-même en contact avec le froid. Il sent les enfants qu’il a serrés dans ses bras, tu reconnaîtrais même certains de ceux que tu as aidés pour la pièce de théâtre. Parmi eux, Pomme, Morgan, Marina, et bien d’autres encore. En outre, il sent une créature dont tu es presque sûr qu’il s’agisse d’un chat. Enfin, il sent … sans doute la transpiration actuelle. Il accepte peut-être que tu le sentes, peut-être même l’apprécie-t-il. Mais il n’en demeure pas moins qu’il transpire légèrement, et que cela pourrait être dû au stress de la situation.

C’est enfin le moment de s’écarter, de rouvrir les yeux et de sourire de nouveau.

”Merci pour votre coopération, joli goupil. Je vois enfin d’où votre ramage se raccorde à votre pelage. Nous allons cependant avoir à discuter, cher Croc. En privé, j’entends.”

Tu te tournes vers Rayan. Ce dernier semble avoir peu voire pas compris tout de ce qu’il vient de se passer.
”Désolé, Rayan. Tu vas devoir patienter un peu. Promis, je t’expliquerai l’essentiel, ce n’est pas un secret que je compte te cacher de toute façon. En revanche, je choisirai mon moment pour cela. Pourras-tu me laisser avec ce Yuan une petite heure ?”

Le gamin te regarde avec un regard fermé. Tu vois son attention errer du côté de Yuan. Il ne lui fait pas confiance. Puis revenir de ton côté. Oui, Rayan, on t’expliquera, c’est sûr. T’es trop impliqué pour que l’on ne le fasse pas. Juste : pas maintenant. Quand on aura vu Elizabeth. Ce que tu ignores d’ailleurs encore.

Il finit par envoyer un regard noir avant de lancer en retour :
“Tu reviens ?”

Oh que oui. On a besoin de ces papiers pour réfléchir, puis de te parler pour acter les choses. Bien sûr qu’on revient. On va pas adopter Yuan, quand bien même il est très joli et presque des tiens techniquement. Même si tu ne sais pas qu’on va tâcher de t’adopter, hein.

”Oui, Rayan. Je parle à ce… peut-être membre trèèèèès lointain de ma famille. Puis je vais aider Lizbeth avec quelques papiers, comme je le lui ai promis. Puis je reviens passer un peu de temps avec toi. En attendant, tiens.”

On lui tend un pic sorti d’une poche. Il sait ce que c’est. Il sait ce qu’il peut en faire. Son regard s’éclaire. Parce qu’il sait aussi que tu ne te sépares pas de tels pics.

Il s’éloigne, au moment où ton regard revient vers la créature qui vous observe.

”N’ayant pas l’intention de vous enfermer dans des toilettes en vue de trouver un endroit privé qui convienne, je vous propose à défaut, cher Soyeux aux yeux de rubis, que nous allions marcher un peu dans un endroit tranquille.”

Tu n’attends pas qu’il te suive pour faire demi-tour et te diriger de nouveau vers la sortie. De toute façon, s’il fuit à toutes jambes, tu sais ce que tu feras. Parce que tu as l’Œil pour ces choses-là. Et que ce n’est pas une estafilade qui t’empêchera de lui mettre le grappin dessus, d’autant plus maintenant que tu connaîs son odeur.

Oh, tâche juste de ne pas marquer trop ton état à travers tes trois appendices caudaux. Comme Elim, cet être là sait probablement lire. Pour s'assurer que non, un coup d'œil fugace en arrivant à la porte s'impose. Ne serait-ce que pour s'assurer qu'il n'a pas essayé de décrypter tes intentions via ce triple mouvement soyeux.
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Yuan Xing
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descriptionDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan) EmptyRe: Derrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan)

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Yuan feat Yoka .


Un coeur fondant sous un pelage affriolant




Taquin, joueur, charmeur, voici les 3 adjectifs que l’on employait pour décrire le patron du Vif Argent, sa boutade d’ailleurs avait fait mouche, son cadet semblait crispé, diantre les jeunes étaient donc si prudes de nos jours ? Mmmh non il semblerait plutôt que le jeune vulpin ait prit ce calembour au premier degré, toujours est-il que l’interlocuteur du casanova aux yeux rubis se reprit vite. La complicité entre Crocs n’est point une légende, Yuan ne se priva point d'offrir un rictus complice révélant quelques canines.

-L’on dit que l’imitation est la plus belle des flatteries, ainsi je considérerai cette méprise comme compliment, vous me voyez tout aussi enchanté de cette rencontre orchestrée par le destin bien que je sois athée et que je ne crois point à la destinée. Ma foi je peux les comprendre, vous êtes plutôt marquant très cher.

Un doux rire s’éleva de la gorge de Yuan quand à la remarque du traqueur de l’Ordre, agitant élégamment son éventail; la conversation était fort plaisante, son interlocuteur présentait de nombreux points communs avec sa personne.

-Un moyen ma foi fort pratique pour un usage multiple, cependant je ne voulais pas marquer votre teint bien que cela soit tentant j’en conviens. Mais il semblerait que je m’égare dans mes propos, il serait fort inconvenant de souiller l'ouïe de notre jeune ami ici présent ~

Deux sourires tout autant sincères que charmeurs, rencontrer un confrère Croc était toujours agréable, après tout c’est une grande famille. Le sieur volage se délectait de cette conversation et des réactions de son cadet, l’étincelle de tentation ne lui échappant point, mais il aura la délicatesse de ne pas la relever, surtout que la bienséance est de mise, si il n’est pas trop tard pour ça. Observateur qu’il est, le vulpin n’insista pas avec le jeune garçon, après tout il est un parfait inconnu, rester à distance est plus sage.

-Comme c’est adorable, je vous souhaite de pouvoir l’adopter, vous formez déjà un duo familial à mes yeux. Surtout qu’il me semble que Dame Lizbeth vous a accordé sa confiance, n’est-il pas ? Vous feriez un bon parent.Uhuhu ne vous excusez point très cher, je possède tout de même un minimum de bonnes manières, ce jeune garçon à bien le temps avant d’entendre de telles expériences. Point de tracas, votre sourire donne du baume au coeur, je m’en contenterai.

Hélas ! L’être soyeux fut gauche et comprit rapidement son erreur suite à la réaction de Yoka, le charme était rompu. Terminé la légèreté, place à l’épée de Damoclès, laissant le temps nécessaire à son confrère cadet pour briser le silence et expliquer la suite des évènements à son protégé. Par ailleurs le vulpin revint rapidement à son aîné.

-Je vois, cela est fâcheux, humez donc à votre guise mon cher, vous savez sans vouloir choquer votre protégé, être dévoilé fais partie intégrale de mon quotidien, analysez et sentez tout votre saoul, c’est bien la moindre des choses que je puisse vous offrir dans l’immédiat.

Ah Yoka Yoka..si il savait, notre Don Juan aux yeux rubis était comment dit-on…”domestiqué” en quelque sorte, n’ayant jamais connu la vie en tribu, les plaines glacées en dehors des expéditions d’aventurier.Laissant le vulpin sentir, Yuan n’avait rien à se reprocher, il était plutôt même amusé d’être analysé, bien que cela soit un brin perturbant. Il culpabilisait d’avoir blessé son confrère, car oui il avait été terriblement grossier en mentionnant les Séléniens. Le patron du Vif Argent était bien loin de se douter que Yoka avait son identité complète et ses derniers agissements, l’odeur de fleur d’oranger agaça le tenancier, diantre la courtisane en avait bien trop mit, aussi soupira-t-il.

-Je ne possède pas la capacité de lire vos pensées, mais je compatis, les fragrances de mes visites ne vous écorchent pas le museau j’espère ? Il faut absolument que je prenne une douche, elle m’a fichu du parfum de partout en voulant me présenter un échantillon. Hmm ? Votre analyse fut rapide, quelle efficacité, c’est la moindre des choses voyons. Vous n’imaginez pas le temps que je passe à entretenir cette fourrure, des HEURES DE BROSSAGE. Je ne vois pas d’inconvénient à cela, en revanche votre protégé n’a pas l’air du même avis.

Le vulpin laissait volontiers le futur père gérer son protégé et fournir l’explication à cet entretien privé. Oh ? Yoka aurait-il eu connaissance de son véritable âge ? Cela expliquerait son trouble et cette volonté de garder pour le moment du moins, la discussion confidentielle. Un regard sur le pic, le soyeux ne connaît point le fonctionnement mais n’est pas sot pour autant, un outil pour que le petiot soit protégé, c’est attentionné . Accompagnant son confrère, il avait remarqué les appendices remuer, tiens donc, le renardeau serait troublé, mais pas par son charme, non il l’aurait senti. C’est en rapport avec les Séléniens, et probablement..les informations récoltées grâce à son odeur.

-Crevons l’abcès, vous êtes troublé mon jeune ami, je suis bien navrée croyez moi d’avoir mentionner un sujet sensible, je vous prie d’excuser mon manque de connaissance sur notre Peuple. La vie citadine s’accompagne visiblement d’effets secondaires indésirables. Bien que je fête mon cinquième centenaire cette année, il me reste tant de choses à apprendre. Que souhaitez-vous me demander ? Je suis tout ouïe


Dialogue de Yuan
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descriptionDerrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan) EmptyRe: Derrière les plus beaux sourires se trouvent les Crocs (Feat Yuan)

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Marquant, c’est le cas de le dire, il ne croit pas si bien deviner. Tu le sais, goupilou, au sens figuré comme au sens propre, les gens ne t’oublient pas. C’est un peu ta marque de fabrique, même si ta véritable fierté c’est ton sourire.

Quant à souiller l’ouïe de … ton futur rejeton, cela n’aura plus lieu, maintenant qu’il est parti jouer avec ses camarades. Heureusement que le petit était suffisamment éloigné quand cet étrange Croc a balancé les révélations concernant l'adoption. Pour peu, tu l’aurais tué si Rayan avait dû l’apprendre de cette façon. Surtout que rien n’est encore prêt, tout peut encore l’empêcher. Tu préfères largement attendre que tout soit bon côté Lizbeth pour aller parler au petit. Et que tu t’y es même pas encore fait toi-même.

C’est le moment de sourire toujours plus malgré le désarroi.

« J’ignore ce qui vous fait croire que je ferais un bon parent, mais merci, je suppose. Quant à mon sourire, je vous l’offre bien volontiers, je reconnais qu’il a vocation à adoucir les cœurs et réchauffer les âmes, savoir qu’il le fait effectivement fait resplendir ma journée, joli Croc. »

C’est bien la première chose que tu offres à chacun : un sourire unique.

Lorsqu’il te propose en réponse à ta remarque de le humer davantage, tu inspires un grand coup pour t’assurer d’une chose.

Mh… Oui : Rayan n’est peut-être plus à portée d’oreilles, mais un léger décalage pourrait le rendre visible. Et la dernière chose que tu veux actuellement, c’est qu’il t’aie vu ENCORE inspecter ce beau goupil sans trop de gêne.

Aussi, la décision est prise : d’un mouvement leste, tu amènes délicatement ce congénère à se retourner, et tu le pousses tendrement mais fermement vers la porte.

« Alors, si je compte bien -encore- souscrire avec grand plaisir à votre proposition, cher ami, cela va attendre que nous soyons effectivement dans un lieu plus… euh… ensoleillé. »

Tu ne sais pas trop quoi penser de cette situation. Tout comme les Crocs, n’opposer aucune résistance au reniflage semble bien faire partie de ses habitudes. Il sent le Croc, c’est sûr. En un sens, c’est un Croc. Mais… ça reste étrange. Vivement que ce soit clarifié.

Pendant que vous sortez hors du bâtiment et que tu avances à grands pas pour t’éloigner de l’orphelinat en quête d’un endroit plus tranquille, tu l’entends compatir et penser que ses odeurs t’écorchent le museau. Tu as beau être contrarié - avoue-le, tu es contrarié goupilou - il ne peut qu’être loin de la vérité.

« Voyons, très cher. Vous adoreriez pouvoir lire dans mes pensées, je m’en doute. Par ailleurs, rien ne m’écorche moins le museau que la qualité de votre parfum, et je ne parle pas de l’échantillon de fleur d’oranger déjà fort agréable mais de votre véritable odeur qui est à tomber. Dans ce monde odorant que nous connaissons bien, c’est un plaisir rare. »

Haha, Rayan, pas du même avis là-dessus ? Franchement ?

« Normal qu’il ne le soit pas. Vous … devez l’intimider. Et le fait que vous m'intriguez doit le perturber. »

C’est le moment d’envoyer ton sourire cajoleur.

« Félicitation d'ailleurs, vous êtes la première personne à me perturber en sa présence. Je ne sais pas ce qu’il en déduira, mais tant pis, je verrai plus tard. »

C’est bon, on s’est assez éloigné pour que tu te retournes d’un coup, un immense sourire indéchiffrable sur la commissure des lèvres.

Tu as nonchalamment les mains dans tes poches, mais tu sais ce qu’il en retourne. Au moindre signe étrange de danger, tu activeras le Couloir d’Invisibilité. Mais pour ça, il faut encore préparer une chose. Une … toute petite chose.

Tu ricanes intérieurement, parce que comme d’habitude, il va falloir sortir le grand jeu. En sortant les mains des poches, tu prends bien garde à lâcher verticalement dans ton dos la petite aiguille de ta main gauche, qui doit s’enfoncer dans le sol, même un peu, sans un bruit.

Et pour couvrir le peu qui pourrait s’entendre, là est le spectacle : il faut accaparer l’attention.

« Alors voyons, monsieur Xin. Allons au fond des choses. Vous connaissez les Crocs, vous en êtes un vous-même. Vous n’avez pas menti pour le Vif-Argent, et vous semblez bien conservé pour quelqu’un qui sent de nombreuses vieilles odeurs, sans pour autant travailler dans des boutiques d’antiquités. »

Au moins, le premier pic est planté, bravo mon renard. C’est le moment de jouer le clou du spectacle : on a repéré le petit morceau de bois qui se trouve derrière ce joli vulpidé, tu t’es même arrêté ici pour cela. Toute la difficulté, c’est de venir planter ton dernier pic sans le lui faire remarquer.
Et là encore, en quelques années, tu as raffiné ta technique, goupilou.

C’est le moment de s’approcher dans le but de renifler au niveau du cou de cet être, à quelques centimètres à peine. Et, pendant que tu parles, tu plantes ton dernier pic avec douceur dans un creux du bois. Même pas besoin de forcer, tant que ça tient, donc tout est fait pour éviter le bruit, que de toute façon tu masques du son sourd de ton propre poing. Et puis, tu souris, goupilou, d’un sourire apte à attirer l’attention visuelle de n’importe qui sur tes lèvres et non sur le faux kabedon que tu prétends générer. Quant à l’attention sonore, c’est ta voix de stentor qui la conserve focalisée tandis que tu inspires une nouvelle fois…

« En plus, vous sentez le Croc, sans les montagnes. La seule chose qui ne colle pas à mon peuple, c’est votre propension à… dilapider les secrets de nos contrées sans la moindre retenue. Ça, et le fait que personne ne m’ait jamais parlé de qui que ce soit d’autre qui aurait votre niveau de… euh… multi-caudalité. »

C’est bon, les pics sont plantés. Si ce type fait ne serait-ce que mine d’attaquer, il n’aura pas le temps de dire “Croc” que déjà tu seras invisible et inaudible. Quant à inodore, moins pour un Croc, mais cela brouillera quand même, en ce que c’est un sens qui ne donne que rarement une localisation plus précise que le mètre.

Tu te recules alors jusqu’à te trouver à plutôt trente centimètres de lui, dans l’objectif que :
D’un, il voit mieux ton sourire, distrayant, accaparant. Envoûtant.
Et de deux, qu’il se sente plus libre de parler et moins menacé.
Enfin, moins menacé. À cette distance, tu vois tout de la prunelle carmin de ses yeux, et lui perçoit d’autant plus la force de conviction derrière tes yeux aux couleurs de lune qu’une pointe de doré vient parfaire.

« Je vous écoute donc, mon beau renard. Qu’est-ce que vous êtes ? Que savez-vous des miens ? Et qu’est-ce qu’évoque le Secret Croc, pour vous ? »

Tu le remarques d’autant plus, il a de très beaux yeux. Mais la question n’est pas là. La question, goupilou, c’est ce que tes propres yeux arriveront à lui faire cracher, comme vérité.

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Yuan feat Yoka


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L’audition du protégé du goupilou, ainsi que son innocence seront préservées puisque celui-ci s’est éloigné pour rejoindre ses camarades. D’ailleurs notre Don Juan cru remarquer l’ombre d’une certaine contrariété sur le minois de son cadet, mais bien vite le sourire revint plus vite que la lumière sur le faciès du goupilou.

« J’ignore ce qui vous fait croire que je ferais un bon parent, mais merci, je suppose. Quant à mon sourire, je vous l’offre bien volontiers, je reconnais qu’il a vocation à adoucir les cœurs et réchauffer les âmes, savoir qu’il le fait effectivement fait resplendir ma journée, joli Croc. »

-La façon dont vous vous comportiez et observiez ce bourgeon sans doute, l’on aurait dit qu’il était la prunelle de vos yeux, et puis vous savez à quel point les enfants peuvent être bavards. Vous m’en voyez honoré et enchanté mon jeune ami, je pourrais mettre ma main à couper que vous avez un succès phénoménal, par Sif merci vous n’exercez point en Cabaret.

Agitant élégamment son éventail rougeâtre l’hybride rendit le sourire, après tout la politesse est de mise, de plus le jeu de charme n’était point déplaisant, ça enrichira son répertoire. Laissant son jeune compère prendre l’inspiration qu’il lui fallait, le bel homme se laissa entraîner docilement dans un lieu à l’abri du regard innocent des chérubins de l’Orphelinat. Marchant tranquillement aux côtés du curieux, les neuf appendices caudaux fluffy à souhait ondulant paresseusement.

« Alors, si je compte bien -encore- souscrire avec grand plaisir à votre proposition, cher ami, cela va attendre que nous soyons effectivement dans un lieu plus… euh… ensoleillé. »

-Notre chère directrice risquerait de nous créer un second orifice si nous nous comportons ainsi devant ses protégés, de plus nous ne voudrions point être privés de visite, que vous êtes attendrissant à choisir ainsi vos mots.

Si Yoka était soucieux de ce que pouvait bien être le Don Juan surtout à propos de son savoir, le principal concerné lui n’était préoccupé que de son apparence et fragrance.

« Voyons, très cher. Vous adoreriez pouvoir lire dans mes pensées, je m’en doute. Par ailleurs, rien ne m’écorche moins le museau que la qualité de votre parfum, et je ne parle pas de l’échantillon de fleur d’oranger déjà fort agréable mais de votre véritable odeur qui est à tomber. Dans ce monde odorant que nous connaissons bien, c’est un plaisir rare. »

-Qui ne le voudrait pas ? Ce serait aussi pratique mais également un fardeau, chaque habileté présente ses avantages et ses inconvénients. Je pourrais presque croire que vous êtes mon reflet très cher, tant vos paroles sont aussi exquises que du miel à mon ouïe. Permettez que je vous remercie de votre honnêteté, cela étant je vous retourne le compliment, votre fragrance de fruits secs et de cannelle enchantent mon odorat. Vous pourriez bien m’inspirer pour mon carnet de recettes automnales.

« Normal qu’il ne le soit pas. Vous … devez l’intimider. Et le fait que vous m'intriguez doit le perturber. ». « Félicitation d'ailleurs, vous êtes la première personne à me perturber en sa présence. Je ne sais pas ce qu’il en déduira, mais tant pis, je verrai plus tard. »

-Ma foi les coutumes Crocs ne sont pas vraiment connues, on ne peut pas lui en vouloir. Aaah la curiosité enfantine, ne vous tracassez point je ne risquerai point d’éloigner une future famille. Oh n’avez vous donc point été intrigué avant notre rencontre par quelques autres créatures ? Ne me dites pas que c’est la première fois que vous voyez neuf queues ?

Un sourire mi amusé mi taquin du côté de notre gentleman soyeux, les appendices caudaux en nombre sont une chose on ne peut plus banale pour lui, l’un de ses géniteurs venant de Gandéron, univers où le nombre de ces fameux appendices caudaux comptent, Yuan eut entendu plus d’une fois les péripéties et les histoires de ce monde étant alors renardeau. Ayant également voyagé dans les Plaines de Glace pour le commerce de denrées, le soyeux eut l’occasion de rencontrer différents types de Crocs, et puis Portalia est une vaste cité où l'on y rencontre toute sorte de personnages. D’ailleurs le soyeux remarqua qu’ils s’étaient bien éloignés du lieu de leur rencontre, fort bien, attentif à son interlocuteur qui soit Yuan n’est point tout-puissant et ne se doute donc pas du stratagème des aiguilles de son confrère touffu, cependant il se doute que cette distance par rapport à l’orphelinat ne sera pas uniquement pour humer davantage, de plus un Croc ne demande pas ce genre de chose pour rien, ajoutez cela à la réaction de Yoka. Mais le Casanova n’était point soucieux outre mesure, il n’avait rien à se reprocher, sauf si avoir eu la moitié de Portalia dans ses draps était un crime.

« Alors voyons, monsieur Xin. Allons au fond des choses. Vous connaissez les Crocs, vous en êtes un vous-même. Vous n’avez pas menti pour le Vif-Argent, et vous semblez bien conservé pour quelqu’un qui sent de nombreuses vieilles odeurs, sans pour autant travailler dans des boutiques d’antiquités. »

-Très cher vous savez ô combien j’apprécie cette délicieuse voix qui est vôtre mais je me permets une légère correction, mon nom s’écrit et se prononce “XING” tel l’onomatopée d’une sonnette qui fait “DING” un détail je vous l’accorde insignifiant mais malgré tout j’y tiens. Ne me tentez point avec de telles formulations je pourrais faire des calembours plus que douteux. L’entretien mon jeune ami l’entretien est le secret, si vous saviez combien de temps j’y passe ! Quand à mon âge voyez vous, il semblerait que ce soit héréditaire de posséder une longévité conséquente sans pour autant être rabougri, nous vieillissons lentement, en toute honnêteté à l’échelle de mes géniteurs je ne suis encore qu’un tout jeune adulte ~. Comment donc..je sens le vieux ? Enfin oui je suis techniquement “vieux”, 500 ans ça me fait un joli demi millénaire.

Nullement préoccupé de son âge, l’aîné Croc était plutôt intrigué de la suite, ses oreilles argentées pointant vers l’avant, curiosité qui se transforma en amusement lorsque le Kage se rapprocha de la personne du vulpin aux cristaux rubis. La manœuvre aura été exécutée avec succès, l'argentin n’a rien remarqué à propos des pics, cependant il n’est point débutant à rougir pour quelques attentions. Ainsi lorsque son cadet le fit reculer contre son mur, créant ainsi ce face à face et une proximité réduite avec ce kabedon, le vulpin compati pour son camarade qui se hissait sur la pointe des pieds pour le humer. Aussi s’accroupit-il légèrement puis attrapa Yoka par les jambes et se redressa, tenant le Kage par l’arrière des cuisses, enfin le Don Juan inversa les positions, Yoka était donc dos au mur, le buste contre celui de l'intéressé, privé de ses jambes, à plusieurs centimètres du sol, le numéro de charme cela dit eu plut au Casanova demi millénaire. Le vulpin soyeux prit soin de garder le contact visuel, et d’offrir un sourire exquis à celui qui lui avait fait bénéficié de cette sympathique prestation

« En plus, vous sentez le Croc, sans les montagnes. La seule chose qui ne colle pas à mon peuple, c’est votre propension à… dilapider les secrets de nos contrées sans la moindre retenue. Ça, et le fait que personne ne m’ait jamais parlé de qui que ce soit d’autre qui aurait votre niveau de… euh… multi-caudalité. »

« Je vous écoute donc, mon beau renard. Qu’est-ce que vous êtes ? Que savez-vous des miens ? Et qu’est-ce qu’évoque le Secret Croc, pour vous ? »


- Vous savez quand nous parlions de pousser la discussion je pensais plutôt à un café, vous me voyez agréablement surpris, cependant je ne pouvais vous laisser prendre le risque d’avoir un torticolis, il est bien plus agréable de discuter face à face vous ne trouvez pas ? Quand à vos questions, il est plutôt logique que je sente le Croc j’en suis un, à moitié du moins, l’un de mes parents est originaire de Gandéron une autre planète où vivent des vulpins tels que nous, la multi-caudalité est paraît-il important là-bas, je suppose qu’elle y est commune.

Mon second parent est né ici dans cet univers. Je n’ai jamais grandi dans les montagnes et ai vécu un quotidien ahem dont j’ai à rougir, les quartiers Nord comme vous le savez probablement ne sont point comment dirais-je épanouissant, j'ai volé et bien d’autres choses. Quant aux secrets de vos contrées ma foi, les langues sont bien pendues dans les villages Crocs que je visitais lors de ma tournée commerciale de denrées, peut-être vous ai-je croisé qui sait, j’avais les cheveux longs jusqu’à l’arrière train. Vous n’avez donc jamais vu plusieurs appendices caudaux ? Voilà qui est curieux. Ce qui m’intrigue ce sont vos yeux, ils sont aussi envoûtant que le clair de lune, mais je suis presque sûr de les avoir déjà vu quelque part avant que je vous rencontre, il y a quelques années il me semble. Je ne pourrais jamais oublier de si jolies nuances






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