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Bronze
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Isaya Kersey
Identité
Âge : 26 ans.Sexe : Femme.
Race : Humaine.
Groupe : Civil.
Rang : Or.
Alignement : Neutre bon.
Physique
Taille : 1,77m.
Poids : 63kg.
Particularité Physique : Cheveux blancs.
Mental
Mon Histoire
Sous l’eau, dans les profondeurs, vivait un peuple à la détermination de fer… Sous l’eau, sur un plateau océanique, niché sur une paroie rocheuse, évoluait un peuple qui se tuait au travail… Là, toutes les ressources étaient précieuses, calculées et distribuées. Là, dans cet abîme, de merveilleuses bêtes de métal étaient conçues, pour le travail des mineurs, pour l’exploration des fonds marins, pour le combat, pour envoyer des délégations à la surface... Là était née la belle Isaya.
Ses parents étaient morts depuis de nombreuses années et les souvenirs qu’elle avait d’eux étaient peu nombreux. Lorsqu’elle s’arrêtait un moment pour y penser, une certaine forme de tristesse l’envahissait, et elle pensait à ce qui aurait pu être mais ne serait jamais. Elle se rappelait la douce voix de sa mère. Elle avait le souvenir d’une chanson que cette dernière lui chantait tous les soirs pour l’endormir… «Quand le monde entier est noir comme la nuit ; là où elle vit, une lumière brille…». Parfois, elle se surprenait à la fredonner. Elle se souvenait du rire de son père et de sa présence réconfortante. Elle avait le souvenir de l’avoir maintes fois regardé travailler. Ses souvenirs et un collier, voilà tout ce qu’il lui restait de ses parents, morts alors qu’elle avait quatre ans. Un bête accident dans la salle des machines, et c’est ainsi que la vie prenait une autre tournure.
Une pauvre gamine de quatre ans qui ne versa aucune larme, qui ne comprenait pas, qui refusait de croire que ses parents ne reviendraient pas. Elle passa par le déni, la colère… et quelques temps plus tard, elle les pleura finalement. Ils étaient morts et leurs corps avaient rejoint les abysses.
Une femme hybride l’avait recueilli par la suite, autrement elle ne sait pas ce qui serait advenu d’elle. Mili était son prénom. Quand Isaya était jeune, elle l’appelait tantôt Mimi, tantôt Lili. Cette femme hybride araignée s’occupa d’elle comme si Isaya était de sa propre chaire. L’hybride devint rapidement son point d’ancrage, sa seconde famille. Isaya se rappelait que, lorsqu’elle était jeune, elle adorait s’amuser avec les toiles de sa mère adoptive, et trouvait même amusant lorsque cette dernière la suspendait dans les airs!
Trois années après avoir adopté Isaya, Mili adopta un second enfant; cet enfant s’appelait Aurélien. D’abord heureuse de pouvoir partager avec ce nouvel ami de son âge, Isaya changea vite d’avis. Il semblait en effet qu’Aurélien faisait tout pour la contrarié… et inversement. Leurs jeux et leurs conversations se transformaient souvent en petite bagarre. À ce jeune âge, Isaya regrettait égoistement que Mili ait adopté le garçon. À cet âge, elle n’entrevoyait aucun avenir en compagnie du garçon des rues. Elle oubliait trop facilement que si Mili ne l’avait pas adoptée, elle serait elle-même devenue une fille des rues, ou bien elle serait morte.
Au début de l’adolescence, Isaya décida qu’elle n’en avait rien à foutre d’Aurélien; il pouvait aller embêter quelqu’un d’autre, car Isaya avait des choses plus intéressantes à faire. Elle se connaissait en effet un grand intérêt pour la mécanique et elle semblait avoir un don unique, un instinct, pour ça. Un don qu’elle peaufina et entretint avec le passage des années. Mili l’aida en ce sens. En effet, la semi-araignée possédait un atelier de réparation spécialisée... La rumeur voulait que même les hauts gradés de l’Épave venait lui rendre visite. Nourrice fut le rôle de Mili, puis professeur et finalement amie. Cette dernière possédait un grand atelier, dans lequel Isaya avait autrefois aimé évoluer, entourée de Mécha partiellement démontés et de piles de pièces. Mais quand Isaya fut suffisamment outillée, elle quitta l’atelier de sa mère adoptive et travailla de son côté. Depuis, ses visites à l’atelier de Mili se faisait plutôt rare. Ce n’était pas qu’Isaya n’aimait pas Mili. C’était plutôt qu’Isaya était une femme indépendante et qu’elle passait la majeure partie de son temps à travailler.
La vie dans les souterrains et à l’usine était dure, mais quand on travaillait tout aussi dur il y avait moyen de bien s’en sortir. Au passage à l’âge adulte, Isaya devint une mécanicienne à la réputation grandissante. Elle se spécialisa dans l’entretien et la réparation des machines utiliser par les mineurs et les explorateurs. Sa réputation était double, sans qu’elle ne le sache : bonne pour bidouiller et bonne au lit. Cependant, personne ne réussissait à capturer son intérêt bien longtemps. Et une seule personne réussissait à la mettre dans tous ses états, positivement et négativement à la fois : Aurélien. Cet homme-là n’était pas le plus doué des explorateurs; il maltraitait souvent son Pieds Lourds, ce qui fâchait immanquablement Isaya. …Parfois, elle se demandait pourquoi elle revenait sans cesse partager son lit. Peut-être parce qu’il lui avait promis de l’amener à la surface avec lui. Ouais, ce devait être ça, car aucun autre explorateur n’était assez fou pour accepter. Et elle travaillait fort pour réaliser ce rêve, travaillait avec rigueur. Et elle travaillait fort pour qu’Aurélien n’oublie pas sa promesse faite il y a plusieurs année de cela; la promesse de l’amener à la surface, de partir ensemble pour découvrir un autre monde, de laisser leur vie derrière eux pour goûter à une nouvelle vie.
Dans son temps libre, Isaya travaillait sur son propre modèle de machine, à quatre jambes, ceux qu’on surnommait les Marcheurs. Aux étals des ferrailleurs, Isaya était connue. Elle aimait d’ailleurs bien le niveau du marché, l’ambiance qui s’en dégageait, les différents étals, les immenses marmites de nouilles à base d’algues qu’elle aimait particulièrement accompagnées d’un peu de poisson.
Mais aucun plat de nouille ne pourrait la retenir sous l’eau. Ni même l’amour que certains lui portaient. Un jour, le Mécha d’Aurélien sera prêt. Un jour, l’homme lui annoncera être préparé pour le grand voyage. Ce jour-là sera sans l’ombre d’un doute le plus excitant de toute sa vie. …Et même les taquineries d’Aurélien ne saurait gâcher ce moment.
Ses parents étaient morts depuis de nombreuses années et les souvenirs qu’elle avait d’eux étaient peu nombreux. Lorsqu’elle s’arrêtait un moment pour y penser, une certaine forme de tristesse l’envahissait, et elle pensait à ce qui aurait pu être mais ne serait jamais. Elle se rappelait la douce voix de sa mère. Elle avait le souvenir d’une chanson que cette dernière lui chantait tous les soirs pour l’endormir… «Quand le monde entier est noir comme la nuit ; là où elle vit, une lumière brille…». Parfois, elle se surprenait à la fredonner. Elle se souvenait du rire de son père et de sa présence réconfortante. Elle avait le souvenir de l’avoir maintes fois regardé travailler. Ses souvenirs et un collier, voilà tout ce qu’il lui restait de ses parents, morts alors qu’elle avait quatre ans. Un bête accident dans la salle des machines, et c’est ainsi que la vie prenait une autre tournure.
Une pauvre gamine de quatre ans qui ne versa aucune larme, qui ne comprenait pas, qui refusait de croire que ses parents ne reviendraient pas. Elle passa par le déni, la colère… et quelques temps plus tard, elle les pleura finalement. Ils étaient morts et leurs corps avaient rejoint les abysses.
Une femme hybride l’avait recueilli par la suite, autrement elle ne sait pas ce qui serait advenu d’elle. Mili était son prénom. Quand Isaya était jeune, elle l’appelait tantôt Mimi, tantôt Lili. Cette femme hybride araignée s’occupa d’elle comme si Isaya était de sa propre chaire. L’hybride devint rapidement son point d’ancrage, sa seconde famille. Isaya se rappelait que, lorsqu’elle était jeune, elle adorait s’amuser avec les toiles de sa mère adoptive, et trouvait même amusant lorsque cette dernière la suspendait dans les airs!
Trois années après avoir adopté Isaya, Mili adopta un second enfant; cet enfant s’appelait Aurélien. D’abord heureuse de pouvoir partager avec ce nouvel ami de son âge, Isaya changea vite d’avis. Il semblait en effet qu’Aurélien faisait tout pour la contrarié… et inversement. Leurs jeux et leurs conversations se transformaient souvent en petite bagarre. À ce jeune âge, Isaya regrettait égoistement que Mili ait adopté le garçon. À cet âge, elle n’entrevoyait aucun avenir en compagnie du garçon des rues. Elle oubliait trop facilement que si Mili ne l’avait pas adoptée, elle serait elle-même devenue une fille des rues, ou bien elle serait morte.
Au début de l’adolescence, Isaya décida qu’elle n’en avait rien à foutre d’Aurélien; il pouvait aller embêter quelqu’un d’autre, car Isaya avait des choses plus intéressantes à faire. Elle se connaissait en effet un grand intérêt pour la mécanique et elle semblait avoir un don unique, un instinct, pour ça. Un don qu’elle peaufina et entretint avec le passage des années. Mili l’aida en ce sens. En effet, la semi-araignée possédait un atelier de réparation spécialisée... La rumeur voulait que même les hauts gradés de l’Épave venait lui rendre visite. Nourrice fut le rôle de Mili, puis professeur et finalement amie. Cette dernière possédait un grand atelier, dans lequel Isaya avait autrefois aimé évoluer, entourée de Mécha partiellement démontés et de piles de pièces. Mais quand Isaya fut suffisamment outillée, elle quitta l’atelier de sa mère adoptive et travailla de son côté. Depuis, ses visites à l’atelier de Mili se faisait plutôt rare. Ce n’était pas qu’Isaya n’aimait pas Mili. C’était plutôt qu’Isaya était une femme indépendante et qu’elle passait la majeure partie de son temps à travailler.
La vie dans les souterrains et à l’usine était dure, mais quand on travaillait tout aussi dur il y avait moyen de bien s’en sortir. Au passage à l’âge adulte, Isaya devint une mécanicienne à la réputation grandissante. Elle se spécialisa dans l’entretien et la réparation des machines utiliser par les mineurs et les explorateurs. Sa réputation était double, sans qu’elle ne le sache : bonne pour bidouiller et bonne au lit. Cependant, personne ne réussissait à capturer son intérêt bien longtemps. Et une seule personne réussissait à la mettre dans tous ses états, positivement et négativement à la fois : Aurélien. Cet homme-là n’était pas le plus doué des explorateurs; il maltraitait souvent son Pieds Lourds, ce qui fâchait immanquablement Isaya. …Parfois, elle se demandait pourquoi elle revenait sans cesse partager son lit. Peut-être parce qu’il lui avait promis de l’amener à la surface avec lui. Ouais, ce devait être ça, car aucun autre explorateur n’était assez fou pour accepter. Et elle travaillait fort pour réaliser ce rêve, travaillait avec rigueur. Et elle travaillait fort pour qu’Aurélien n’oublie pas sa promesse faite il y a plusieurs année de cela; la promesse de l’amener à la surface, de partir ensemble pour découvrir un autre monde, de laisser leur vie derrière eux pour goûter à une nouvelle vie.
Dans son temps libre, Isaya travaillait sur son propre modèle de machine, à quatre jambes, ceux qu’on surnommait les Marcheurs. Aux étals des ferrailleurs, Isaya était connue. Elle aimait d’ailleurs bien le niveau du marché, l’ambiance qui s’en dégageait, les différents étals, les immenses marmites de nouilles à base d’algues qu’elle aimait particulièrement accompagnées d’un peu de poisson.
Mais aucun plat de nouille ne pourrait la retenir sous l’eau. Ni même l’amour que certains lui portaient. Un jour, le Mécha d’Aurélien sera prêt. Un jour, l’homme lui annoncera être préparé pour le grand voyage. Ce jour-là sera sans l’ombre d’un doute le plus excitant de toute sa vie. …Et même les taquineries d’Aurélien ne saurait gâcher ce moment.
Informations Supplémentaires
Isaya est une femme d’apparence calme, qui se comporte sans gêne ni pruderie. Elle possède beaucoup d’assurance en elle-même, en ses capacités. Elle connait le regard lourd de sous-entendu que les mineurs et les explorateurs des fonds marins posent souvent sur elle. Elle n’hésite pas, avec ces gens-là et tous les autres, à se montrer franche et directe dans ses paroles et dans ses intentions. Elle aime profiter de la vie et de ses petits plaisirs. Elle connait bien les jeux d’adultes, ceux qui se partagent dans l’intimité, à l’abri des regards.
Quand il est question de son travail, Isaya peut s’enflammer rapidement. Certains disent qu’elle traite mieux les machines qu’elle répare ou construit, que ses propres comparses. Ce n’est pas faux, ce n’est pas non plus vrai. Elle traite les gens de la même façon qu’il la traite elle.
Elle a entendu divers rumeurs sur les surfaciens. Tantôt qu’ils voudraient les envahir, tantôt qu’ils voudraient marchander avec eux… Isaya désire une chose plus que toute autre : aller à la surface découvrir et ce qui s’y cache. Elle pense que la vie ne se résume pas à ce qu’elle connait sous l’eau et désire davantage.
Isaya n’est pas une femme nerveuse. Combattive, c’est une femme qui fait face aux difficultés la tête haute. Elle a le sourire facile. Rancunière, elle se souvient des torts qu’on lui a causé par le passé et pardonne difficilement. Elle s’est fait un petit réseau de connaissance dans l’épave et sait ainsi auprès de qui se procurer des produits de contrebande… notamment des cigarettes de tabac d’algue. Elle sait que ce genre de chose peut la mener à l’exil mais ne s’en inquiète pas. Ce n’est pas de l’insouciance, même si Isaya renvoi parfois cette image d’elle-même. C’est plutôt qu’Isaya n’aime pas qu’on lui dicte ses actes. Elle n’aime pas l’idée d’être soumis à une personne. En se sens, elle peut facilement se montrer obstinée. Elle se veut également indépendante… bien que son rêve d’atteindre la surface dépende en partie d’un ami.
Elle a de magnifiques yeux cyan. Possède des cheveux blancs courts, coupés carrés et deux mèches de cheveux plus longues.
Quand il est question de son travail, Isaya peut s’enflammer rapidement. Certains disent qu’elle traite mieux les machines qu’elle répare ou construit, que ses propres comparses. Ce n’est pas faux, ce n’est pas non plus vrai. Elle traite les gens de la même façon qu’il la traite elle.
Elle a entendu divers rumeurs sur les surfaciens. Tantôt qu’ils voudraient les envahir, tantôt qu’ils voudraient marchander avec eux… Isaya désire une chose plus que toute autre : aller à la surface découvrir et ce qui s’y cache. Elle pense que la vie ne se résume pas à ce qu’elle connait sous l’eau et désire davantage.
Isaya n’est pas une femme nerveuse. Combattive, c’est une femme qui fait face aux difficultés la tête haute. Elle a le sourire facile. Rancunière, elle se souvient des torts qu’on lui a causé par le passé et pardonne difficilement. Elle s’est fait un petit réseau de connaissance dans l’épave et sait ainsi auprès de qui se procurer des produits de contrebande… notamment des cigarettes de tabac d’algue. Elle sait que ce genre de chose peut la mener à l’exil mais ne s’en inquiète pas. Ce n’est pas de l’insouciance, même si Isaya renvoi parfois cette image d’elle-même. C’est plutôt qu’Isaya n’aime pas qu’on lui dicte ses actes. Elle n’aime pas l’idée d’être soumis à une personne. En se sens, elle peut facilement se montrer obstinée. Elle se veut également indépendante… bien que son rêve d’atteindre la surface dépende en partie d’un ami.
Elle a de magnifiques yeux cyan. Possède des cheveux blancs courts, coupés carrés et deux mèches de cheveux plus longues.
Un Petit Mot ?
Il est super génial! ...Non, attendez, ça fait quatre mots. Alors... Top!
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Sam 3 Déc - 23:05