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Bronze
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Eylohr
Identité
Âge : 521 ans sur son monde (31 sur Portalia).Sexe : masculin
Race : drow
Groupe : Dark Souls
Rang : Or
Alignement : chaotique mauvais
Physique
Taille : 1,90m
Poids : 100 kilos
Particularité Physique : son corps semble taillé dans un roc, ciselé par un burin alors que de nombreuses cicatrices parsèment ses membres, son visage et sa poitrine. Son teint pâle peut impressionner le quidam, mais l'on s'attardera surtout sur la définition de ses muscles volumineux.
Mental
Mon Histoire
Val’alazar ok’üral était un monde violent. Dans la longue des Elfes Sombres, il s’appelait « les rives sanglantes », là où le commun des mortels – et des autres immortels – nommaient ce monde « Mira ». Les Humains, peuple conquérant arrivé tardivement, avait trouvé sa place à force de combats contre les premières races : les Elfes et les Nains. Des tréfonds du monde, loin des yeux aiguisés des Elfes, des mires curieuses des Nains, et des prunelles crédules des mortels, grandissait et naissait un autre peuple, celui des Elfes Sombres.
Avant qu’ils ne percent la gangue, ce peuple brillait par sa violence, tant religieuse que sociétale. La loi du Talion prévalait sur toute autre forme de pensée et de justice. Reines et Rois de ce peuple s’élevaient sur les cadavres de leurs prédécesseurs, avant de s’effondrer dans l’ombre d’un corridor, une dague plantée entre les côtes. Leur venue au monde – du moins en surface – se fit avec l’éruption d’un immense volcan, celui-là même qui fut le berceau de leur peuple. Cataclysme de laves, de pierres ponces, de nuées ardentes, et de fumées toxiques, le monde entier manqua de vaciller.
Dès lors, les Elfes Sombres se mirent en quête d’asservir ce monde qui devait être le leur. Et cette guerre devait perdurer, jusqu’à-ce que le Sombre peuple soit vainqueur, ou décimé. Mais comment vaincre, alors que la loi du plus fort s’applique aussi bien dans qu’en dehors de cette société sombre et violente ? Comment vaincre le monde, et les races vivantes, lorsque l’ennemi se trouve à votre droite et à votre gauche ? Il faut être plus fort, plus puissant, plus violent, plus cruel, plus intrépide, que le plus légendaire des Sombre Elfe.
Bien des millénaires plus tard naquit Eylohr. Un Sombre Elfe typique, animé par la violence, mais aussi par une force plus destructrice encore : celle du chao. Entraîné dès son plus jeune âge, enrôlé à peine son adolescence terminée, il passa des siècles à se battre dans les rangs des armées Sombres, sous les ordres d’officiers, de généraux, tous animés par la volonté de s’illustrer afin de mourir dans le feu de la guerre, ou de devenir plus vaillant que son prédécesseur, plus puissant que son voisin, plus légendaire qu’aucun autre Sombre, des temps jadis, actuels, et futurs. Lui aussi n’échappait point à ces aspirations martiales primitives, mais là où ses congénères cherchaient l’honneur dans les combats et la légende vivante… Lui désirait seulement le chaos.
En son esprit, tout ne devait être que lave incandescente, flammes dévorantes, fumées ardentes. Il n’y avait nul autre intérêt en ce monde, que celui de le voir brûler. Pourquoi ? Comment ? Difficile de le savoir, lui-même ne savait point comment l’expliquer. Là où il exceller en revanche, c’était dans sa capacité à fédérer autour de lui. Très pragmatique, il réussissait à percevoir les forces et les faiblesses de ses ouailles et autres subordonnés, prenant le dessus sur eux, physiquement et psychologiquement, parvenant à les faire plier par la force ou le charisme, devenant au fil des siècles, une légende vivante, un modèle à suivre, car ses prouesses magistrales n’avaient d’égale que ses conquêtes militaires.
A forces de coups d’éclats, de massacres, et d’offensives implacables, Eylohr devint Roi de tous les Sombres, et mit à feu et à sang la moitié du monde, pulvérisant des cités entières, massacrant des peuplades parfois présentes depuis l’aube des temps. Sa cruauté n’avait d’égale que son appétence pour la mort, alors qu’il asseyait sa domination sur les Sombres et sur le reste du monde, à grands renforts d’esclavage, d’annihilation et de tortures.
Son règne fut le plus long de l’histoire des Sombres. Cent deux ans à siéger sur un trône construit avec les ossements des morts et des créatures sacrifiées. Un siècle de guerre constante, où Eylohr montrait son vrai visage au monde. D’une légende vivante, d’un guerrier exceptionnel, il en devint une menace pour le monde entier, une menace que même ses subordonnés et ses plus fidèles guerriers purent voir et mesurer. Les complots s’ourdirent les uns après les autres, échouant tous dans un premier temps…
Est-ce que cela l’attristait ? Cela était-il décevant ? Point le moins du monde, non. Tout ceci était le chaos ! Le chaos à l’état pur ! On se poignardait dans le dos tous les jours, devant témoins, ou dans le secret d’un vestibule trop sombre… Pour le plus grand plaisir du Roi.
Ce qu’il n’avait point prévu cependant, fut l’association des races mortelles et immortelles contre sa propre personne. Force était de constater que dans ce monde, les peuples réussissaient à s’entendre et à dépasser leurs aprioris, leurs rancœurs et leurs fiertés, dès lors qu’une menace suffisamment sombre planait au-dessus d’eux. Dans le secret, et profitant du chaos engendré par les complots et les massacres qui se déroulaient aux pieds d’Eylohr et de tous les Sombres, ils s’unirent. Joignant leurs forces, ils se relevèrent. Rejoignant la lumière, ils éclairèrent l’ombre qu’Eylohr faisait planer sur le monde depuis plus d’un siècle.
La Mère des Batailles eut alors lieu. L’Alliance de la Lumière reprit le combat, avançant sur les terres désolées par un siècle de pillage, de meurtre et de rapines. Les unes après les autres, ils reprirent leurs cités antiques, ou plutôt, les ruines qui en restaient. Eylohr n’apprit ces nouvelles que tardivement, mais lorsqu’il le fit, il ordonna la préparation de la plus spectaculaire armée de tous les temps.
Il exécuta lui-même ses généraux et ses officiers supérieurs. Sur un Hydre réduit en esclavage, il conduisit ses troupes lui-même, les exhortant à marcher jusqu’à une immense pleine désertique que la vie avait abandonné depuis longtemps. C’est là que le choc eut lieu.
Ses pouvoirs étaient devenus immenses, sa menace plus présente que jamais. Chevauchant son Hydre, Eylohr sema la mort sans aucune distinction, fauchant autant de soldats de l’Alliance de Lumière que ses propres Sombres. Les mages Sombres relevaient les morts, grâce à une nécromancie poussée à son paroxysme tandis que les mages de Lumière, eux, usaient des éléments du feu, de l’eau et de la terre, pour détruire les vagues successives de l’infanterie Sombre. Il mourrait plus d’âme chaque minute qu’en un siècle d’existence. Eylohr était en transe. Une transe mortelle, morbide, sanglante et horrible, alors que son sourire carnassier s’étendait à chaque vie qui s’éteignait sous ses yeux, à chaque âme qu’il damnait de sa lame.
Jusqu’à-ce qu’enfin, il fut mis à bas. Les forces de la Lumière se joignirent ensemble en un sortilège surpuissant et interdit depuis des millénaires. La trame magique se tordait sous les assauts magiques, dénaturée qu’elle était par l’accumulation de puissance. L’air se raréfia, le soleil ce fit éclatant. Le monde disparut soudainement dans une distorsion spatiale surnaturelle et ô combien mortelle, et la force des éléments, ainsi comprimée, rassemblée et maîtrisée, se déchaîna sur Eylohr… Qui fut alors défait.
Son corps disparut dans une explosion semblable à celle d’un immense volcan. De grandes aurores boréales naquirent dans le ciel, aux reflets bleutés, alors que là où il se tenait se trouvait une silhouette luminescente éclatante… Qui se volatilisa en une nuée de particules, tels des vers luisants, avant de disparaître pour de bon.
Eylohr n’était plus, mais était-ce là l’œuvre du sortilège surpuissant et interdit ?
Le portail l’avait en réalité engloutit. Nul ne savait pourquoi, ni comment, du moins pas sur Val’alazar ok’üral. La dernière chose que tous virent d’Eylohr sur ce monde, fut cette énorme explosion bleutée et luminescente, telle celle d’un astre cosmique, obligeant le monde à baisser le regard et fermer les yeux. Lorsqu’ils purent enfin les rouvrir, lorsque la lumière s’estompa et que le tonnerre disparut au loin, Eylohr et l’Hydre n’étaient plus. Il n’y avait plus ni ossements ni armures, ni traces, ni sang, ni même empreintes de pas. Le Roi Sombre et sa monture furent comme… Annihilés.
En réalité, ils ne furent point détruits, non. Était-ce la conjonction cosmique ? La chance ? Ou le destin ? Car ce fut à cet instant précis qu’Eylohr, sur son Hydre, alors que la mort allait le frapper pour l’envoyer au trépas, qu’une force invisible et bien trop forte vint le saisir et l’amener sur… Portalia : il avait été invoqué.
Eylohr n’y comprit rien. Son corps avait changé, ses pouvoirs aussi. D’un Roi sanguinaire, thaumaturge surpuissant, il devint une âme parmi tant d’autre, invoquée pour le but d’une entité plus grande et plus forte que lui. Il devait détruire le Chaos, défaire le chaos… Comment cela pouvait-il donc se faire, lui qui avait épousé le chaos et l’avait semé durant des siècles ?
Il fut donc évident qu’Eylohr ne serait point de ceux-là. A peine eut-il été invoqué, qu’il s’éloigna du chemin tracé par la force qui l’avait invoqué. Il avait semé le chaos en son monde, il le sèmerait ici, et peut-être qu’un jour, il obtiendrait la puissance nécessaire pour dominer ce monde… Ou retourner dans le sien.
Car voilà plus de trente ans qu’il foule les terres de Portalia… Et la puissance lui tend les bras.
Avant qu’ils ne percent la gangue, ce peuple brillait par sa violence, tant religieuse que sociétale. La loi du Talion prévalait sur toute autre forme de pensée et de justice. Reines et Rois de ce peuple s’élevaient sur les cadavres de leurs prédécesseurs, avant de s’effondrer dans l’ombre d’un corridor, une dague plantée entre les côtes. Leur venue au monde – du moins en surface – se fit avec l’éruption d’un immense volcan, celui-là même qui fut le berceau de leur peuple. Cataclysme de laves, de pierres ponces, de nuées ardentes, et de fumées toxiques, le monde entier manqua de vaciller.
Dès lors, les Elfes Sombres se mirent en quête d’asservir ce monde qui devait être le leur. Et cette guerre devait perdurer, jusqu’à-ce que le Sombre peuple soit vainqueur, ou décimé. Mais comment vaincre, alors que la loi du plus fort s’applique aussi bien dans qu’en dehors de cette société sombre et violente ? Comment vaincre le monde, et les races vivantes, lorsque l’ennemi se trouve à votre droite et à votre gauche ? Il faut être plus fort, plus puissant, plus violent, plus cruel, plus intrépide, que le plus légendaire des Sombre Elfe.
Bien des millénaires plus tard naquit Eylohr. Un Sombre Elfe typique, animé par la violence, mais aussi par une force plus destructrice encore : celle du chao. Entraîné dès son plus jeune âge, enrôlé à peine son adolescence terminée, il passa des siècles à se battre dans les rangs des armées Sombres, sous les ordres d’officiers, de généraux, tous animés par la volonté de s’illustrer afin de mourir dans le feu de la guerre, ou de devenir plus vaillant que son prédécesseur, plus puissant que son voisin, plus légendaire qu’aucun autre Sombre, des temps jadis, actuels, et futurs. Lui aussi n’échappait point à ces aspirations martiales primitives, mais là où ses congénères cherchaient l’honneur dans les combats et la légende vivante… Lui désirait seulement le chaos.
En son esprit, tout ne devait être que lave incandescente, flammes dévorantes, fumées ardentes. Il n’y avait nul autre intérêt en ce monde, que celui de le voir brûler. Pourquoi ? Comment ? Difficile de le savoir, lui-même ne savait point comment l’expliquer. Là où il exceller en revanche, c’était dans sa capacité à fédérer autour de lui. Très pragmatique, il réussissait à percevoir les forces et les faiblesses de ses ouailles et autres subordonnés, prenant le dessus sur eux, physiquement et psychologiquement, parvenant à les faire plier par la force ou le charisme, devenant au fil des siècles, une légende vivante, un modèle à suivre, car ses prouesses magistrales n’avaient d’égale que ses conquêtes militaires.
A forces de coups d’éclats, de massacres, et d’offensives implacables, Eylohr devint Roi de tous les Sombres, et mit à feu et à sang la moitié du monde, pulvérisant des cités entières, massacrant des peuplades parfois présentes depuis l’aube des temps. Sa cruauté n’avait d’égale que son appétence pour la mort, alors qu’il asseyait sa domination sur les Sombres et sur le reste du monde, à grands renforts d’esclavage, d’annihilation et de tortures.
Son règne fut le plus long de l’histoire des Sombres. Cent deux ans à siéger sur un trône construit avec les ossements des morts et des créatures sacrifiées. Un siècle de guerre constante, où Eylohr montrait son vrai visage au monde. D’une légende vivante, d’un guerrier exceptionnel, il en devint une menace pour le monde entier, une menace que même ses subordonnés et ses plus fidèles guerriers purent voir et mesurer. Les complots s’ourdirent les uns après les autres, échouant tous dans un premier temps…
Est-ce que cela l’attristait ? Cela était-il décevant ? Point le moins du monde, non. Tout ceci était le chaos ! Le chaos à l’état pur ! On se poignardait dans le dos tous les jours, devant témoins, ou dans le secret d’un vestibule trop sombre… Pour le plus grand plaisir du Roi.
Ce qu’il n’avait point prévu cependant, fut l’association des races mortelles et immortelles contre sa propre personne. Force était de constater que dans ce monde, les peuples réussissaient à s’entendre et à dépasser leurs aprioris, leurs rancœurs et leurs fiertés, dès lors qu’une menace suffisamment sombre planait au-dessus d’eux. Dans le secret, et profitant du chaos engendré par les complots et les massacres qui se déroulaient aux pieds d’Eylohr et de tous les Sombres, ils s’unirent. Joignant leurs forces, ils se relevèrent. Rejoignant la lumière, ils éclairèrent l’ombre qu’Eylohr faisait planer sur le monde depuis plus d’un siècle.
La Mère des Batailles eut alors lieu. L’Alliance de la Lumière reprit le combat, avançant sur les terres désolées par un siècle de pillage, de meurtre et de rapines. Les unes après les autres, ils reprirent leurs cités antiques, ou plutôt, les ruines qui en restaient. Eylohr n’apprit ces nouvelles que tardivement, mais lorsqu’il le fit, il ordonna la préparation de la plus spectaculaire armée de tous les temps.
Il exécuta lui-même ses généraux et ses officiers supérieurs. Sur un Hydre réduit en esclavage, il conduisit ses troupes lui-même, les exhortant à marcher jusqu’à une immense pleine désertique que la vie avait abandonné depuis longtemps. C’est là que le choc eut lieu.
Ses pouvoirs étaient devenus immenses, sa menace plus présente que jamais. Chevauchant son Hydre, Eylohr sema la mort sans aucune distinction, fauchant autant de soldats de l’Alliance de Lumière que ses propres Sombres. Les mages Sombres relevaient les morts, grâce à une nécromancie poussée à son paroxysme tandis que les mages de Lumière, eux, usaient des éléments du feu, de l’eau et de la terre, pour détruire les vagues successives de l’infanterie Sombre. Il mourrait plus d’âme chaque minute qu’en un siècle d’existence. Eylohr était en transe. Une transe mortelle, morbide, sanglante et horrible, alors que son sourire carnassier s’étendait à chaque vie qui s’éteignait sous ses yeux, à chaque âme qu’il damnait de sa lame.
Jusqu’à-ce qu’enfin, il fut mis à bas. Les forces de la Lumière se joignirent ensemble en un sortilège surpuissant et interdit depuis des millénaires. La trame magique se tordait sous les assauts magiques, dénaturée qu’elle était par l’accumulation de puissance. L’air se raréfia, le soleil ce fit éclatant. Le monde disparut soudainement dans une distorsion spatiale surnaturelle et ô combien mortelle, et la force des éléments, ainsi comprimée, rassemblée et maîtrisée, se déchaîna sur Eylohr… Qui fut alors défait.
Son corps disparut dans une explosion semblable à celle d’un immense volcan. De grandes aurores boréales naquirent dans le ciel, aux reflets bleutés, alors que là où il se tenait se trouvait une silhouette luminescente éclatante… Qui se volatilisa en une nuée de particules, tels des vers luisants, avant de disparaître pour de bon.
Eylohr n’était plus, mais était-ce là l’œuvre du sortilège surpuissant et interdit ?
Le portail l’avait en réalité engloutit. Nul ne savait pourquoi, ni comment, du moins pas sur Val’alazar ok’üral. La dernière chose que tous virent d’Eylohr sur ce monde, fut cette énorme explosion bleutée et luminescente, telle celle d’un astre cosmique, obligeant le monde à baisser le regard et fermer les yeux. Lorsqu’ils purent enfin les rouvrir, lorsque la lumière s’estompa et que le tonnerre disparut au loin, Eylohr et l’Hydre n’étaient plus. Il n’y avait plus ni ossements ni armures, ni traces, ni sang, ni même empreintes de pas. Le Roi Sombre et sa monture furent comme… Annihilés.
En réalité, ils ne furent point détruits, non. Était-ce la conjonction cosmique ? La chance ? Ou le destin ? Car ce fut à cet instant précis qu’Eylohr, sur son Hydre, alors que la mort allait le frapper pour l’envoyer au trépas, qu’une force invisible et bien trop forte vint le saisir et l’amener sur… Portalia : il avait été invoqué.
"Elu, vous allez découvrir un monde de créatures et de magies.
Le Chaos l'a envahi et vous vous devez de lui reprendre.
Pour cela, vous devrez combattre et terrasser moultes créatures.
Au bout de ce chemin, se trouve 7 rois que vous devrez terrasser afin que le chaos reconnaisse sa défaite."
Le Chaos l'a envahi et vous vous devez de lui reprendre.
Pour cela, vous devrez combattre et terrasser moultes créatures.
Au bout de ce chemin, se trouve 7 rois que vous devrez terrasser afin que le chaos reconnaisse sa défaite."
Eylohr n’y comprit rien. Son corps avait changé, ses pouvoirs aussi. D’un Roi sanguinaire, thaumaturge surpuissant, il devint une âme parmi tant d’autre, invoquée pour le but d’une entité plus grande et plus forte que lui. Il devait détruire le Chaos, défaire le chaos… Comment cela pouvait-il donc se faire, lui qui avait épousé le chaos et l’avait semé durant des siècles ?
Il fut donc évident qu’Eylohr ne serait point de ceux-là. A peine eut-il été invoqué, qu’il s’éloigna du chemin tracé par la force qui l’avait invoqué. Il avait semé le chaos en son monde, il le sèmerait ici, et peut-être qu’un jour, il obtiendrait la puissance nécessaire pour dominer ce monde… Ou retourner dans le sien.
Car voilà plus de trente ans qu’il foule les terres de Portalia… Et la puissance lui tend les bras.
Informations Supplémentaires
Eylohr représente quelque peu l’archétype du guerrier d’exception, sanguinaire, implacable et corps-à-corps. Sa taille est plutôt grande en comparaison à la majorité des créatures de ce monde. Ses muscles sont saillants, résultat de deux vies – si l’on peut en parler ainsi – de guerres constantes, de combats, et de culte du corps. Ses bras son imposants, son abdomen ciselé, ses veines apparentes, et sa force n’a d’égale que son endurance aux combats.
Son esprit, lui, est secoué de pensées impures. Chaque créature, chaque être vivant, n’est qu’une esclave en devenir, ou une future victime. N’étant plus Roi Sombre, il dû apprendre à œuvrer avec les autres, les utilisant pour son propre compte, les manipulant, acceptant leurs misérables existences, avant de les envoyer à la mort… Ou de les exterminer lui-même.
Au combat, c’est une machine infernale. Les coups pleuvent, les attaques s’enchaînent, et il peut encaisser bien plus de douleur et de dégâts que la plupart des invoqués.
Son esprit, lui, est secoué de pensées impures. Chaque créature, chaque être vivant, n’est qu’une esclave en devenir, ou une future victime. N’étant plus Roi Sombre, il dû apprendre à œuvrer avec les autres, les utilisant pour son propre compte, les manipulant, acceptant leurs misérables existences, avant de les envoyer à la mort… Ou de les exterminer lui-même.
Au combat, c’est une machine infernale. Les coups pleuvent, les attaques s’enchaînent, et il peut encaisser bien plus de douleur et de dégâts que la plupart des invoqués.
Un Petit Mot ?
IRL, je vie dans le Grand-Est, en Lorraine plus particulièrement. Je suis sapeur-pompier volontaire depuis 11 ans, mais j'ai décidé de quitter l'incendie pour faire valoir mon diplôme d'infirmier, chez les sapeurs-pompiers. A côté, je suis infirmier aux urgences de Nancy. Je fais du RP depuis maintenant 4/5 ans, je vais adopter un chat incessamment sous peu... Et quand j'ai le temps, je suis une mitraillette à RP.
Dernière édition par Eylohr le Jeu 13 Jan - 15:20, édité 1 fois
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Mer 12 Jan - 15:54