I / La chute d’un nouveau territoire…

Je m’appelle Ryuuseï, mes amis et proches m’appellent Ryu. Je suis né dans un village situé à la bordure du grand désert, non loin d’une petite Oasis. Oui je suis blanc comme un cul, mais étant un albinos j’imagines que je n’ai pas bien le choix. Je suis né comme ça donc je fais avec. Mais c’est vrai que dans un pays où le soleil tape comme une masse à longueur de journée on peut se demander ce que je fais là. Après tout, la majorité des gens que je connais sont plutôt du style basané niveau peau. Enfin bon, finalement on s’en fout on n’est pas là pour parler d’une maladie que je ne peux de toute façon pas contrôler.

J’avais une famille aimante et adorable dans laquelle je me sentais bien et dans laquelle je pouvais m’épanouir. Ce n’était pas forcément évident pour moi de sortir en revanche. Les gens me regardaient bizarrement dû à mon albinisme et ce n’était pas toujours évident pour un enfant de supporter les regards des autres. J’étais différent et les gens ne cherchaient pas à comprendre. J’étais la bête de foire du village. Donc je restais principalement avec mes parents. On vivait une petite vie tranquille et on ne s’inquiétait pas des bêtes démoniaques.

Oui, je faisais partie d’un des villages qui résistait encore et toujours aux créatures démoniaques (non rien avoir avec les gaulois ~). On subissait des attaques de temps à autres mais on y survivait tant bien que mal. On avait un Rang Or qui nous protégeait. Malheureusement, un Rang Or c’est loin d’être suffisant dans cette région, mais nous pauvres ignorants, on ne le sut que bien trop tard.

Je jouais un matin avec ma mère quand on entendit des cris stridents. Le protocole de sécurité était que l’on s’enferme à double tour le temps que ça passe. Excepté que plus le temps s’allongeait et plus les cris s’intensifiaient. Ils devenaient de plus en plus stridents et de plus en plus horrifiés. Ma mère sortit me demandant de rester cacher dans mon coin et à peine eut-elle passer la porte qu’elle fut coupée en deux comme une vulgaire brindille dévorée par une créature démoniaque. J’écarquillais les yeux à cette vision d’horreur et mis mes mains sur ma bouche pour éviter de me faire repérer. Mes larmes ne cessaient de couler sur mon visage tandis que je m’étais même pisser dessus tellement j’avais peur. Je devais avoir dans les huit ou neuf ans donc faut me pardonner pour cette petite fuite, mais c’était compliqué fasse aux évènements qui se produisaient devant mes yeux.

Une créature entra dans l’habitacle de la maison. Je la laissais vaquer à sa fouille tremblant de tout mon être. Elle mit quelques minutes dégageant tous les meubles un peu n’importe comment et elle finit part sortir. Mais je pris dans l’œil gauche un débris volant d’un meuble qui avait fini en morceaux sous la poigne de la créature. J’eus le réflexe de me mordre le poing pour éviter de hurler à la mort tellement je souffrais. Je tremblais et pleurais à moitié du sang à cause du débris tout de même assez gros qui venait certainement de me crever l’œil. Je n’en savais rien n’étant pas spécialiste. Mais je doutais tout de même que cela puisse se guérir comme ça et que je puisse revoir normalement à nouveau. Je me mordis le poing et m’ôtait le débris de l’œil me mordant jusqu’au sang. Je me fis une sorte de bandage avec un bout de ma chemise et laissait comme ça. De toute façon c’était le cadet de mes soucis pour le moment. Je décidais de rester dans mon petit coin où on ne pouvait pas me voir et y attendait des heures durant. J’eus l’impression que mes sens étaient décuplés en attendant les moindres sons qui pourraient me dire que j’étais en danger. J’apprendrais plus tard que j’avais subis l’éveil à ce moment-là…

Ce n’est que lorsque je commençais à dépérir face au manque d’eau et de nourriture que je décidais de bouger. Il n’y avait plus de bruit depuis un moment. Je pris le temps de sortir prudemment de ma maison ne voyant plus une trace du corps de ma mère, sûrement avaler par une quelconque bête démoniaque en chemin. Je prends le temps de regarder le spectacle macabre des restes de mon village. Des corps partout en phase de décomposition des maisons brûlées ou défoncée comme la mienne.

Mes larmes coulent de nouveau tandis que je frictionne mes bras en avançant à petits pas restant prudent au cas où une bête serait encore là dans les parages. J’essaye d’aller voir dans les autres maisons si je ne pourrais pas avoir de quoi manger mais rien. Je ne trouvais rien qui pouvait m’aider à subvenir à mes besoins. Surtout que à peine j’entrais dans certaines maisons que l’odeur me faisait régurgiter au seuil de la porte. Je n’avais rien bouffer depuis je ne sais combien de temps, et en plus je vomissais top. J’allais tenir longtemps comme ça. Je finis par quitter le village de toute façon je n’avais aucune autre solution. Je ne pouvais pas rester dans mon village alors qu’il n’y avait plus rien. Je ne voulais pas non plus sortir de celui-ci, mais il fallait bien que j’essaye de trouver de la nourriture, ou de l’eau…J’étais partagé, mais de toute façon quitte à mourir que ce soit à cause d’une créature démoniaque, ou de manque de nourriture et d’eau autant essayer de se bouger le cul quand même…C’était tipar pour essayer de trouver une autre Oasis dans le style. Celle du village ayant été asséchée durant l’attaque récente…

II / Une source d’Espoir ?

J’ai marché dans une destination que je ne savais pas où c’était. Je n’avais aucune connaissance de la géographie. J’avais vécu qu’avec mes parents et ce n’était pas forcément la chose sur laquelle ils s’étaient concentrés pour mon éducation. Bref, je divaguais dans le sable, sans eau ni nourriture durant je ne sais combien de temps. Cela me paraissait être une éternité, mais j’étais tellement fatigué et tellement amoindri qu’un rien me paraissait énorme. Alors qu’au final je n’avais pas fait énormément de km, un voir deux maximums donc j’étais vraiment très peu loin de mon village pour finir.

Dans mon état de décrépitude, je finis par voir une oasis non loin, ou du moins c’est ce que je pensais. C’était certainement, une illusion, ou un mirage, mais qu’importe j’étais bien trop axé sur le fait que je pourrais peut-être bientôt boire de l’eau que je ne me posais pas trop de questions. Mon cerveau pas assez en état de toute manière. J’avais beau avoir eu un regain d’énergie pour arriver à cette oasis, plus j’avançais plus j‘avais l’impression que l’Oasis reculais et semblait toujours à la même place. Je sentais mes paupières de plus en plus lourdes et je finis par tomber finissant telle une loque sur le sable la moitié de la face dans le sable brûlant. Mais j’étais tellement fatigué entre la sous nutrition et la chaleur que forcément à un moment mon corps ne tient juste plus. Je suis trop jeune, mon corps n’est pas assez fort pour tenir longtemps.

Il me semble entendre du bruit venant vers moi, mais je n’ai aucune idée de ce que c’est. Je suis trop éreinté. Je n’arrive même plus à ouvrir mon œil valide, seuls les sons me parviennent. Il me semble entendre des grognements plus ou moins loin, puis des geignements. Des bruits de métal peut-être ? J’essayais d’ouvrir un œil, mais la seule chose que je vis en l’ouvrant fut une ombre avant que je ne m’évanouisse complètement.

III / Un Nouvel Idéal

Je pensais que j’étais mort. J’aurais dû mourir. Je ne méritais pas de vivre alors que tout mon village était décimé. Je n’avais plus de but, plus de liens avec quiconque, j’étais seul et inutile. J’ouvre l’œil et ne sait pas où je me trouve. Juste qu’il semble que je sois bel et bien vivant. Mon bandage sur l’œil avait été changé et je ne sentais plus de gène ou de douleur particulière comme si on l’avait soigné. Je me redressais difficilement encore bien faible et me regardait autour de moi. J’étais dans une sorte de hutte faite de peau et d’os de bête ? En tout cas, c’était plutôt cosy et il y faisait chaud sans que ce ne soit trop. Je devais avouer que c’était mieux que mon ancienne maison.

Je me disais que tout ça aurait pu être un rêve mais ça n’était pas le cas. Je me recroquevillais sur moi-même entourant mes jambes de mes bras et pleurant mes parents et mon village…Durant je ne sais combien de temps je restais comme ça avant qu’un homme assez imposant entre dans la tente. Je ne faisais pas attention à lui, n‘en avait même cure, ayant surtout besoin d’évacuer toute ma tristesse et ce sentiment d’impuissance de n’avoir rien pu faire d’autres que de me cacher pour survivre.

L’homme se déplaça et s’assis à côté de moi. Il se rapprocha de moi et mis une main sur mon épaule la frottant doucement. Il essayait de me consoler ? Je ne le connaissais pas, comment pouvait-il me comprendre ? Je continue comme ça encore plusieurs minutes avant que mes larmes ne coulent plus tellement j’avais pleuré. Mes yeux étaient rouges et gonflés. Je restais las et blasé ne sachant plus quoi penser ni ce que je pouvais faire. Qu’allais-je devenir ? Je n’avais plus rien, plus de ligne directrice à suivre. Je n’étais qu’un enfant de huit ans qui avait besoin de savoir où aller, et comment continuer à vivre. J’avais été tellement enfermer dans une bulle à cause de ma différence dû à mon albinisme qu’une fois ma bulle éclatée je savais plus quoi faire.

L’homme fut patient. Il attendit que je sois calmé pour finalement parler. Il m’expliqua le pourquoi j’étais là. Qu’il s’agissait de l’Oasis des réfugiés et que durant l’une de ses sorties pour combattre des créatures démoniaques il m’avait trouvé et ramené. Mon œil avait été guéri ou en tout cas de nombreux onguent de plantes ont été appliqué dessus afin qu’il puisse cicatriser sans plus de soucis ou infection à défaut de pouvoir me rendre mon œil. Je l’écoutais attentivement, cet homme me paraissant la chose la plus normal de ces derniers jours.

L’Oasis des réfugiés ? C’est où en plein désert ?

En effet, jeune homme. C’est un lieu caché que seuls ceux en étant digne et pouvant tout abandonner peuvent résider.

Ayant tout perdu, ça me convient je n’ai pas d’autres endroits où aller de toute façon…

C’est ce que j’ai cru comprendre vu ton état.

Je lui racontais mon histoire, ce que j’avais vu, ce qu’il s’était passé. Il me fit savoir qu’il me comprenait. Et il me proposa de me prendre sous son aile. Il m’expliqua qu’il m’apprendrait à me défendre et qu’en échange je devrais vivre selon certains préceptes de vivre qu’il me cita. Je l’écoutais attentif et me dit que ça me convenait. Je voyais un nouveau futur possible pour moi. Un cadre dans lequel je pourrais évoluer sereinement. Je me laissais tout de même quelques jours pour prendre ma décision mais je finis par lui faire savoir que j’étais d’accord pour être son élève.

Il m’enseigna énormément de choses et m’en fit découvrir d’autant plus. Ma bulle avait éclaté après tout donc il était temps que je découvre le monde. J’appris à combattre à l’épée et d’autres armes, mais il se révéla surtout que le katana était l’arme qui me seyait le mieux. J’avais développé une certaine agilité avec l’entraînement de mon mentor. Il finit par me dire l’histoire du groupe auquel il appartenait. Les Noctis et leurs préceptes. Il me conta tout ce qu’il savait sur son groupe comme son mentor l’avait fait avant. Il m’expliqua les valeurs et le but des Noctis. Je me sentais appartenir à quelque chose de grand, à une nouvelle famille qui m’acceptait comme j’étais et qui n’avait que faire que je sois albinos ou bien autre chose. Du moment que je suivais les valeurs des Noctis j’étais accepté.

Mon maître me fit également savoir que la chute de mon village m’avait provoqué mon éveil. Que j’avais une essence verte et donc le pourquoi j’étais plus axé agile et rapidité dans l’exécution de mes mouvements plutôt que dans la force ou la magie. J’étais assez content finalement, trouvant que cela me correspondait plutôt bien. On ne fit cependant rien, pour augmenter la puissance de mon essence durant plusieurs années me laissant surtout apprendre à manier les armes, à m’inculquer les principes fondamentaux des Noctis, et d’autres valeurs humaines comme le savoir-vivre, le savoir-être, etc...

On me préparait pour une mission de grande envergure, mais je n’avais encore pas idée de ce que c’était à ce stade-là.

IV / L’infiltration du Cartel des dragons

Mon mentor Boromir, me fit savoir qu’une mission m’avait été assigné. Je me devais de me rendre à Tokyo-3 puis d’infiltrer le Cartel des Dragons. Il s’agissait ni plus ni moins d’anciens Yakuzas. Ils vivaient selon un code d’honneur et leurs valeurs était proche des Noctis. Au départ je me demandais pourquoi ne pas juste créer des liens avec eux plutôt que de jouer la taupe, mais quand on y pense c’était assez normal. Cela n’aurait pas respecter plusieurs principes. Le fait de ne pas parler des Noctis aurait été bafouer, et ne jamais se dévoiler également. Je laissais Boromir me dire que c’était simplement pour avoir un œil sur le Cartel. Que je n’étais pas le seul membre qui était infiltré mais en avoir par ci par là serait un plus.

J’avais prouvé en tant qu’apprentis de Boromir que j’étais fiable et un digne représentant des Noctis et cette mission d’infiltration était pour moi une façon pour me faire confiance, un test qu’il me fallait réussir. Je n’avais pas d’idée particulière de comment je devais m’infiltrer. Je devais trouver moi-même la façon de procéder. J’étais lâcher dans la nature et devrait m’en sortir seul. C’était bien la première fois que j’agissais de mon propre chef pour accomplir un objectif et j’étais obstiné donc autant dire que j’allais donner tout ce que j’avais. Je me rendis donc en Tokyo-3. Mon mentor et quelques autres personnes firent partie du voyage chacun ayant ses propres objectifs mais pour affronter la faune hostile en groupe c’était toujours mieux.

Une fois en Tokyo-3 je devais m’infiltrer dans le Cartel. Apparemment d’après mes ordres, ce serait intéressant que je privilégie surtout le clan Ah-Jin celui qui prenait en charge les divertissements comme les ligues de Motorball et les combats d’arènes. Je m’informais quelques jours sur eux afin de voir comment m’y prendre pour les rejoindre de manière correcte et sans griller ma couverture d’infiltré. Le mieux était de suivre leur code d’honneur à eux de toute manière.

Je réussis à me procurer une entrée pour un combat d’arène et trouvait un petit groupe de petit frère. J’allais rapidement jusqu’à eux et me présentait leur disant que je voulais intégrer leur groupe du cartel. Ils me rirent au nez trouvant la corne de mon bandeau stupide. Je défiais sans attendre celui qui se moquait de moi. On allait dehors et on se retrouvait dans une petite ruelle sombre. Un premier duel s’engagea entre moi et lui j’avais beau être rapide il était axé sur la force et plus fort que moi. J’esquivais la majorité des coups mais ma rapidité diminua face à chaque coup que je pris car sa force était amplifiée dû à son essence sûrement où à une capacité. Je réussi à lui entailler la joue et un bras mais ce fut rapidement plié. J’avais beau m’être entrainé mon essence n’avait pas encore augmenté en puissance, donc je n’étais encore qu’une brindille qui finit au sol comme une loque. Pourtant je me relevais et je défiais le suivant. Je fis en sorte de faire ça pour les quatre gars face à moi. Plus ça allait plus je me fatiguais pourtant je ne renonçais à aucun moment et me pris une raclée des quatre.

Un homme arriva dans la rue et vit la scène il demande un rapide topo de la situation tandis que je devais en être au deuxième défi contre le troisième gars du cartel. Je suis obstiné comme on dit et tant que j’ai un souffle de vie je ne renonce pas. L’homme finit par écarter ses pairs et venir à ma rencontre tandis que j’étais en train de me relever difficilement tremblant de tous mes membres.

Pourquoi continues tu à te battre ? Tu défis mes hommes un à un alors que tu sais très bien le résultat final, pourtant tu continues. Pourquoi ?

Tant que j’aurais un souffle de vie je me battrais pour mon honneur. Vos hommes se sont moqués de la corne associée à mon cache-œil. C’est un objet qui m’est cher et je ne permettrais à personne de s’en moquer et je préfère mourir en essayant de redorer son blason et le mien plutôt que d’abandonner dis-je le regardant avec détermination.

Mon état était clairement déplorable, mais peu importait. Il fallait que ce soit le plus crédible possible pour que je fasse parti de ce cartel. Et si je devais me faire passer à tabac une cinquantaine de fois eh bien qu’à cela ne tienne j’étais prêt à en payer le prix. Il me regarda et sans prévenir me mit un coup de poing dans l’estomac qui me fit perdre le souffle. Je cherchais désespérément de l’air mais m’accrochais à son poing. L’homme souriait doucement.

Bienvenu dans le cartel gamin. Tu as quoi une vingtaine d’années ? C’est quoi ton nom ?

J’ai 23 ans, monsieur, je m’appelle Ryuuseï Ichimonji.

Très bien, Petit frère Ryuuseï, tu es maintenant membre de l’Ah-Jin. Tachibana. Je te laisse le soin de lui apprendre ce qu’est le cartel, nos principes tout ça. Si jamais je le vois faire quoique ce soit de mal je t’en tiendrais pour responsable. Tu te dois de bien le former.

Tous semblèrent en admiration face à l’homme. Je ne savais pas qui c’était mais apparemment c’était lui le plus gradé dans le groupe. Et il venait de m’adouber du rang de petit-frère donc je faisais officiellement parti du cartel. Ça y est j’avais mon billet d’entrée. Les autres semblaient me regarder d’un autre œil. Bon on ne peut pas dire qu’ils me respectent encore je pense, mais ils se foutaient déjà plus de moi c’était un premier pas.

Tachibana me montra donc les fils du métier. Cela faisait un an que j’étais au Cartel à présent et on venait de m’assigner une nouvelle tâche. J’étais à présent considéré comme un chasseur du cartel afin de ramener des créatures pour les combats d’arènes. Plus qu’à trouver une escouade quoi.

Ryuusei ? C’est un gars bien celui-ci ! Un de mes amis du Cartel. Il est vraiment quelqu’un de loyal et fidèle. Franchement, c’est quelqu’un de très courageux avec qui ça fait plaisir de faire équipe. Vous allez me dire mais à quoi peut bien ressembler un gars comme ça ?

Eh bien pour commencer, il a des cheveux courts blancs. Ouais il me semble que c’est un albinos carrément. Il a les caractéristiques en tout cas. Beau gosse ? Je ne saurais dire je suis un mec et hétérosexuel qui plus est donc les hommes ce n’est pas trop ma came. Mais je pense pouvoir dire qu’il n’est quand même pas dégueu à regarder.

A côté de ça il est plutôt grand sans non plus être une grande perche. Il fait dans les uns mètre quatre-vingts je pense. Il dépasse la moyenne pour les hommes quoi. Ensuite, il a un corps plutôt musclé. C’est le mec qui aime s’entraîner. Pour lui c’est important d’être un esprit sain dans un corps sain.

Pour ce qui est des habits la majorité du temps il aura une sorte d’armure légère mode samouraï plutôt stylé. Ce qui est le plus spécifique chez lui c’est qu’il est borgne. Et qu’il a choisit un bandeau assez particulier. En effet, en plus de lui cacher son œil inactif, il donne l’impression qu’il a une corne au niveau de la tête. Bref, ça lui donne un peu un côté démon, ou Oni comme on dit dans le milieu, et il semble s’en accommoder très clairement. Il semble trouver que cela donne un certain côté original et peut-être impressionnant pour certaines personnes.

Voilà en gros physiquement à quoi ressemble notre homme si jamais vous avez envie de le rencontrer. Il ne mord pas, en tout cas, pas sans raison. C’est une personne vraiment persévérante après tout il s’entraine déjà chaque matin au katana. Ensuite, c’est un bon allié quand vous partez en chasse, il sait être prudent. Après il peut prendre des risques mais ça dépend vraiment de s’il voit que c’est oui ou non intéressant de le faire. S’il voit qu’il y a plus de chances que ça foire il ne se lancera pas.

Après il reste courageux et ne reculera pas devant l’ennemi. Il se bat jusqu’au bout avec ses alliés afin que tous rentrent sains et saufs..

Mouahahahaha, faisant partie des fondateurs ben je le trouve trop classe wesh ! Le meilleur des forums de tous les temps °O°. J’en fais trop c’est ça ? Bref, moral de l’histoire j’adore ce fow et je vous aime vous aussi !