Invité
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Bronze
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Catshire Maxwell
Identité
Âge : 28 ansSexe : Masculin
Race : Humain
Groupe : Église
Rang : Bronze ou Argent
Alignement : Neutre
Physique
Taille : 1m75
Poids : 86kg
Particularité Physique : Traces de coups de fouets multiples dans le dos, sur les bras et les jambes, cicatrices dans le dos, marque au fer rouge dans le dos, à l'omoplate droite, prenant la forme d'une fleur de lotus.
Mental
Mon Histoire
De quoi parler ? Disons d'abord que je ne suis pas un natif. Je viens d'un monde horrible où les monstres ont esclavagés les humains. J'ai vécu caché avec ma famille, comme pleins d'autres. Difficile de se sustenter, difficile de vivre tout simplement., mais nous étions en sécurité. Je n'ai pas eu la joyeuse enfance, on m'a appris à manier le sabre, à me battre, à me défendre, pour vivre un peu plus longtemps. Tuer des monstres dès mon plus jeune âge, avoir ce sang bouillant sur ma peau, sur mes vêtements. Tout le monde qui en attend tant de toi. Alors que toi, tu veux juste vivre heureux et en paix. Incarner l'espoir chez les siens est on ne peut plus fatiguant. La moindre erreur et les gens vous regardent comme si vous étiez la pire des raclures.
J'ai regardé mon pays souffrir pendant si longtemps et je me suis battu pour leur liberté, au point de devenir moi-même un monstre. Pendant des années entière, j'ai couru, j'ai tranché, j'ai hurlé à m'en brûler les poumons, j'ai tué pour le bien de mon peuple, pour sa sécurité, et Dieu seul sait ô combien je suis épuisé de cette guerre éternelle. La vie paisible que j'ai offert à certains, moi je ne l'aurai jamais, jamais je ne pourrai me marier, fonder une famille, vivre vieux, ma destinée est de mourir l'arme à la main pour le bien d'autrui. J'ai laissé mes tourments derrière moi pour avancer sur ce chemin pavé de sang. Je ne pouvais même me permettre une pause pour souffler, pour boire, pour manger, je me devais de me battre, sans relâche.
Et un jour, j'ai failli, j'ai échoué, j'ai perdu. Capturé comme bien d'autres, je suis allé rejoindre les miens dans les mines, fouetté à chaque jour pour mon dur labeur. Je tenais à peine debout, mais à ce moment-là, je n'ai rien regretté. À mes jours perdus, je pouvais m'arrêter et boire un verre d'eau, manger une mie de pain, je pouvais dormir. J'étais heureux dans mon grand malheur. Je n'étais plus le héros d'antan, je n'étais qu'un simple humain tentant de survivre comme tant d'autres, et j'étais comblé de mon grand désarroi. Les coups, les marques, la douleur était suffisante et me rappelait sans cesse que j'étais vivant, présent. J'admirais ces gens souffrir, je comprenais leur souffrance, mais j'étais heureux pour ma part. Les années passèrent à miner, à extraire, récolter des minerais, mais je n'étais plus autant fatigué et l'appel des armes revenait en mémoire. Armé d'une pioche, j'ai mené les miens à la rébellion. Armé d'un sabre, j'ai recommencé à tuer, je suis revenu à la charge.
Mais ce n'est qu'un jour, comme un autre, sur le champ de bataille, que s'ouvrit à moi ce trou béant qui m'englouti et m'emmena ici, à Portalia. J'étais rendu si loin de chez moi, dans cet autre monde, mais une nouvelle vie s'offrait à moi. Le choix de ne plus tuer, ici, tout le monde était heureux. J'ai pris la décision d'intégrer l'Église, me permettant d'accueillir d'autres âmes perdues comme je l'étais. Ici, je pourrai accueillir tous mes frères et sœurs qui voudront aspirer à la paix. Je pourrai leur offrir l’accalmie et la tranquillité d'esprit. Accompagnés de mes confrères et consœurs, je saurai établir une ère de paix et ainsi, aussi, me reposer de mes longues années passées à me battre sans relâche. Ai-je atteint le Paradis que mes parents m'avaient tant parlé durant mon enfance ?
J'ai regardé mon pays souffrir pendant si longtemps et je me suis battu pour leur liberté, au point de devenir moi-même un monstre. Pendant des années entière, j'ai couru, j'ai tranché, j'ai hurlé à m'en brûler les poumons, j'ai tué pour le bien de mon peuple, pour sa sécurité, et Dieu seul sait ô combien je suis épuisé de cette guerre éternelle. La vie paisible que j'ai offert à certains, moi je ne l'aurai jamais, jamais je ne pourrai me marier, fonder une famille, vivre vieux, ma destinée est de mourir l'arme à la main pour le bien d'autrui. J'ai laissé mes tourments derrière moi pour avancer sur ce chemin pavé de sang. Je ne pouvais même me permettre une pause pour souffler, pour boire, pour manger, je me devais de me battre, sans relâche.
Et un jour, j'ai failli, j'ai échoué, j'ai perdu. Capturé comme bien d'autres, je suis allé rejoindre les miens dans les mines, fouetté à chaque jour pour mon dur labeur. Je tenais à peine debout, mais à ce moment-là, je n'ai rien regretté. À mes jours perdus, je pouvais m'arrêter et boire un verre d'eau, manger une mie de pain, je pouvais dormir. J'étais heureux dans mon grand malheur. Je n'étais plus le héros d'antan, je n'étais qu'un simple humain tentant de survivre comme tant d'autres, et j'étais comblé de mon grand désarroi. Les coups, les marques, la douleur était suffisante et me rappelait sans cesse que j'étais vivant, présent. J'admirais ces gens souffrir, je comprenais leur souffrance, mais j'étais heureux pour ma part. Les années passèrent à miner, à extraire, récolter des minerais, mais je n'étais plus autant fatigué et l'appel des armes revenait en mémoire. Armé d'une pioche, j'ai mené les miens à la rébellion. Armé d'un sabre, j'ai recommencé à tuer, je suis revenu à la charge.
Mais ce n'est qu'un jour, comme un autre, sur le champ de bataille, que s'ouvrit à moi ce trou béant qui m'englouti et m'emmena ici, à Portalia. J'étais rendu si loin de chez moi, dans cet autre monde, mais une nouvelle vie s'offrait à moi. Le choix de ne plus tuer, ici, tout le monde était heureux. J'ai pris la décision d'intégrer l'Église, me permettant d'accueillir d'autres âmes perdues comme je l'étais. Ici, je pourrai accueillir tous mes frères et sœurs qui voudront aspirer à la paix. Je pourrai leur offrir l’accalmie et la tranquillité d'esprit. Accompagnés de mes confrères et consœurs, je saurai établir une ère de paix et ainsi, aussi, me reposer de mes longues années passées à me battre sans relâche. Ai-je atteint le Paradis que mes parents m'avaient tant parlé durant mon enfance ?
Informations Supplémentaires
De ce qu'on peut voir tu visage de Max, il a des traits adoucis, quelques rides sur son visage lui donne un air plus vieux que son âge véritable, les cernes sous ses yeux indiquent de la fatigue constante de sa personne, à se demander s'il dort ou non. Il porte en permanence un sabre blanc dont la lame semble usée, utilisée à travers les âges. Son haori rose porté sous son armure de samouraï, dont on peut distinguer les traces d'un sang séché dont personne ne peut savoir d'à qui il appartiendrait.
Un Petit Mot ?
On finit sur quelque chose de bien chelou. On casse le 4ème voir le 5ème mur et c'est le joueur qui parle cette fois. C'est toujours sympa de faire un peu connaissance et d'un peu avoir votre avis sur notre petit bébé.
Dernière édition par Maxwell Catshire le Sam 1 Jan - 0:09, édité 2 fois
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Ven 31 Déc - 17:22