J’étais là, dans ma belle robe blanche, le regard vide fasse à cet administrateur de « la Guilde ». Il me parlait mais, il ne faisait à ce moment-là, à mon sens, qu’articuler une suite de phonèmes élaborés se suivant inlassablement. Je me moquais tellement, de ce qu’il pouvait bien être en train de dire, bien que j’eusse quand même compris, qu’il voulait que je lui dise : d’où je venais, quel était mon nom, qu’est-ce que j’étais… Je n’avais absolument, aucune envie, de lui parler. Je voulais juste, qu’on me laisse seule. D’ailleurs, comment aurai-je pu commencer ? Quoi lui dire ? Il était une fois ? Il avait peut-être l’impression, que je m’intéressais à ce qu’il disait parce que je regardais vers lui, mais en fait, je ne regardais rien, ou plutôt à travers lui. J’étais moi-même, en pleine et tumultueuse introspection. Que m’était-il arriver ? Cela me semble si étrange et invraisemblable, je voulais toujours croire que c’était une mauvaise farce, un coup monté, une horrible manipulation de laquelle on viendrait me délivrer, mais... Ma réalité, n’était qu’une illusion, une cruelle illusion à mes dépends. Tout, à pourtant bien débuter quelques part…
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Le 21 Septembre 1975, est né une jolie petite fille brune que l’on prénomma Michelle, dans un hôpital de Londres. Elle aura une enfance sans trop de difficulté, malgré le divorce de ses parents à ses 9 ans : un père, trop accaparé par sa carrière de reporter, George WINGER. La petite Michelle n’en semble pas vraiment affectée, car en effet, au vu de l'importance que père apportait à sa carrière, sa présence au sein du foyer était presque anecdotique. Sa mère en revanche, Kelly, essayait d’être toujours là pour elle, pas que celle-ci n'était pas occuper : elle était infirmière urgentiste… Mais essayait toujours de trouver du temps pour sa fille, en la poussant à toujours faire de son mieux, que ce soit humainement ou scolairement.

A son entrée au collège, elle reçut un magnifique pendentif, fabriquer à la République Titan, monter d’une pierre extrêmement rare, de la part de son père. Il semble qu’il culpabilisait quand même, de les avoir quittés. Un jour cependant, la maladie est venue frapper à la porte de Kelly, Alzheimer. Comme ça, sans aucun signe avant-coureur – croyait-on - mais Michelle avait trouvé sa voie, elle voulait être médecin, mais était aussi attiré par la recherche. Parti chez son père, celui-ci lui fit connaître ses propres relations, de grands médecins qui l'aiguillèrent dans ses études, elle-même ne cessant de travailler et, passant au lycée avec 1 an d'avance. Pourtant, il y avait bien quelque chose, qui changeait, se réveillait lentement à l’intérieur d’elle, mais quoi ? « Prépa zéro » dès la terminale, PACES réussit non sans difficulté, elle travaillera encore 6 ans.

Pendant ces 6 ans, ses sujets de recherche sont principalement des personnes de la République Titan, présentant des particularités génétiques atypique. L'un d'eux, un certains Jack TRAVIS, officier de police, à bien voulu être son correspondant et lui servir de sujet d’étude principal. La jeune femme travaillant sur d’autres cas, s’était déjà fait ses petits classement, dont Mr.TRAVIS faisait partie. Classement qui indiquait, qu’il était de la catégorie des « Cérébraux », et simultanément de la classe des « Mnémoniques » et « Analystes », cela particulièrement parce qu’il avait développé une forme spéciale d'hypermnésie, qu’elle a elle-même nommé "Hypermnésie Titan". Celle-ci lui permet de se souvenir de tout ce qu'il veut, en y accédant à volonté, sans rester prisonnier de ses souvenirs passés, comme dans la forme commune d’hypermnésie. Un cas intéressant, dans le fait qu’elle pensait que ce pouvait être une clé, pour trouver une solution à la maladie d'Alzheimer. Mais, elle n'aura pas le temps d'en parler à sa mère, qui périt dans l'incendie de la maison de repos où elle avait été admise, quelques jours avant ses 21 ans – Et pourtant… J’ai, toujours, l’impression… Que cette douleur et la mienne.

Au final, elle déménagea carrément à la République Titan à la « Nouvelle Eburica ». Quelques jours après, accompagnant Jack au « C.H.U Espoir » dans la « Tour : Fraternité », toujours dans un but de recherche. La tour fût ce jour-là, victime d’une prise d’otage, par des terroristes évolutionnistes. La plupart des employés du bâtiment, se sont retrouver coincer au sommet de l’édifice, Jack et le leader du groupe de criminel se faisant face ! Le terroriste laissa alors échapper de sa main une grenade qui, en explosant, déséquilibra Michelle se tenant plus loin et, la fit basculer dans le vide ! Prise de panique, comme aux portes de la mort, elle hurlait tout en chutant inexorablement vers le sol – Pourtant… J’aurai juré, l’avoir vécu, et ça semble si, si réel quand j’y pense.


Au bout d'un moment, Michelle avait les yeux fermés, crispée, tétanisée, se protégeant comme elle le pouvait ses bras devant son visage. Elle entendait une voix, lui demandant d'ouvrir les yeux, une voix comme celle de Jack, claire et rassurante, mais aussi chaque fois plus insistante sur le fait qu'il n'y avait plus rien à craindre. Le cœur battant à une rythme fou, encore toute tremblante, ouvrant lentement les yeux… Elle était suspendue entre ciel et terre et, de nouveau prise de panique elle hurla et chuta encore... Mais se suspendit de nouveau dans le vide, Jack devant elle, la tirant lentement vers lui tout en lui parlant. Des gènes d’une espèce différente, qui viennent en fait de son père, l’instinct de survie : Elle venait de découvrir qu'elle faisait elle-même parti, de ces gens sur lesquels elle faisait des recherches. Commença alors, une longue étude dévier sur elle-même, avec l'aide du Capitaine TRAVIS et, de son père George – Pourtant… Je me souviens bien, de ce jour ou il l’a emmené au Village de « Brann », connaître les autres « Elfes » comme elle… Comme moi - Arriva plus tard une nouvelle connaissance, Jennifer THUNDER, suivi d’une suite d’évènements aboutissant à la formation d’un trio improbable et officieux de « vigilant », vers 2001. Comment avait-elle pu se laisser entraîner là-dedans se demandait-elle, chaque fois qu’ils se mettaient en danger ; Pour d’autres gens, certes, mais quand même. Pourtant, chaque fois elle en découvrait plus sur elle et sur ses pouvoirs « d’elfes modernes », loin de toutes les fables et fadaises magiques mirobolantes – Elle n’avait d’ailleurs même pas les oreilles pointus - mais aussi sur ses amis, ses motivations profondes et surtout… Elle se sentait tellement vivante.

Concilier une vie de « super-héroïne », d’étudiante et ses recherches, par toujours facile. Il y a vraiment des moments, ou il fallait faire des choix difficiles. Croyez-le ou non, est venu un temps ou leur petit trio, fût officialiser grâce au travail en amont du Capitaine TRAVIS, et de la Présidente Helen SLATER : "l'Alliance Titan" était né – J’ai, tellement… Elle, Elle a tellement pleuré de joie, ce jour-là. Puis, tellement de nouveaux évènements se sont ensuite enchaîner, aussi vite même que Jennifer pouvait courir dont : une chasse aux aliens l'année suivante et, cette déterminante rencontre avec… Gron’diak GROM, de son nom civil : Tj CHROME. L’apparition des Kaïjus, montrant et confirmant leur existence, en réponse à une autre invasion d’aliens, en 2006 : celle des Detalliens…

Il semble, qu’il n’est fallu qu’un tir, la détonation l’ayant désorienté pendant qu’elle volait, s’abîmant plus loin dans la ville assiéger et, quand on se mit à sa recherche… J’étais là. J’étais là, juste sous les décombres. Je ne savais juste pas, ce qui m’était arriver, une amnésie rétrograde qui avait effacé les dernières 24h… A cause de mon caractère – que, je croyais être le mien… - ma convalescence ne dura que très peu de temps. J’avais tout de même, par moment, du mal à me souvenirs de certaines choses, surtout de souvenirs. Soit, je ne m’en rappelais pas, ou alors presqu’à moitié. Une séquelle que j’ai pourtant jugée, sans importance, puisqu’il ne m’empêchait pas d’être qui je suis – ou, qui, je croyais être. Je ne me sentais pourtant, paradoxalement, pas moi-même mais ne dis rien à mon entourage, ou même à l’homme pour lequel je ressentais de plus en plus d’affection, de sentiments… En fait, je tombais lentement mais, inéluctablement amoureuse, ne voulant pas le reconnaître. Alors est arrivé dans notre vie, et surtout la mienne « i15 » acronyme de « Itération 15 ». Quel nom pour une enfant, même créé en laboratoire et, qui n’avait rien demander. Je l’avais donc nommé : Callisto, et m’en sentais tellement proche. Pour cause…

Le but de sa création, était celui du « soldat parfait » capable de remplacer voir, à terme de nous éliminer si besoin, moi et mes amis. Cela, en combinant mon ADN – Comment avaient-ils pu se le procurer m’étais-je demandé… – et celui de l’espèce alien, dont faisait partie Tj, les Titanis. Ils voulaient un « super soldat », ils ont eu une « super-adolescente » - les caprices de Dame nature, c’est elle qui décide, et pas autrement. Callisto avait été créer illégalement, considéré comme une sorte de clone. Sa nature dénoncer, par celui-là même qui l’avait créé, par pure vengeance : Les clones étant une violation de la bioéthique, ils devaient être détruit. Je me souviendrai toujours de ses mots au grand tribunal « Laissez-moi vivre s'il vous plait, laissez-moi vivre pour de vraie... J'vous en supplie... », des paroles si simples, mais qui m’avais tellement retourné. Nous nous sommes battus pour elle, JE me suis battu ! Après tout, biologiquement, c’était ma fille ! Qu’aurai-je dû faire ? L’abandonner ? Je, je me sentais, si proche d’elle. Après avoir eût gain de cause – Et si nous n’avions pas eût gain de cause ? Peu importe, je me serai enfuit avec elle… - à la condition d’une surveillance perpétuelle de ses faits et gestes, comme pour son « Père », nous allions… Une famille, former une famille. Une chose, un concept, que je n’avais jamais envisagé. Trop accaparé, moi-même, au départ par mes recherches – comme George, et son travail de Reporter… - ne serait-ce même que d’espérer, alors que… Tj, me demanda de l’épouser.

J’étais une mère, une chercheuse reconnue, une « super-héroïne », la directrice-adjointe d’une académie qui avait pour but, d’apprendre à ceux qui le souhaitait d’utiliser leur pouvoir pour le bien de notre monde, et j’allais sous peu, devenir l’épouse de l’homme que j’aimais. Je patientai donc, nerveusement, comme toute future mariée qui se respecte, plus qu’une heure avant de devenir Madame Michelle Sophia CHROME et, c’est là que je l’ai vue. Elle, se tenant là devant moi. J’aurai pu croire à mon reflet dans le miroir, mais ma robe ne s’y reflétait pas, ni même mon maquillage ou ma coiffure non, juste mon visage. Tuméfier par la tristesse, un air si désolé… Si je ne n’arrivais à me souvenir de certaines choses de mon passé, c’est que ce n’était pas le mien. J’ai tellement, voulu croire, que c’était une mauvaise farce de Jen, ou pire encore une attaque le jour même de mon mariage, juste pour me gâcher mon bonheur ! Ou peut-être, que cela n’était qu’une vaste simulation de vie virtuelle, comme l’avait pour ma pauvre Callisto ? Une simulation à laquelle on cruellement mettre fin !

Hélas, ce n’était rien de tout ça. Ce chère Jack, avait suivi derrière, et ils m’expliquèrent ce qu’il se passait. Remplacer par moi, en 2006, elle avait été retenue – voilà, d’où venait l’ADN maternelle de Callisto, mais… Elle restait, ma fille, non ? - Je n’avais, que 9 ans. Je, je n’étais, rien de plus qu’une illusion : un clone, un vrai. Je ne pouvais pourtant pas y croire ! Non, c’était un impossible et pourtant… Jack, mon meilleur ami, pourquoi as-tu fait cela ? Il s’approcha l’air grave, devant ma légitime incrédulité, avec un objet à la main - Je pense, que c’est une des choses, qui m’a fait le plus souffrir – il me tendit cette tablette, que je n’avais absolument AUCUNE envie de prendre en main ! Pourtant, c’était le seul moyen, désespéré certes, de prouver que j’étais bien moi ! Sur cette tablette s’affichait : mes signes vitaux, mon état émotionnel… Mon matricule. J’étais, la 6e itération, noter « i06 », que pouvais-je en dire, alors que ce salaud que je croyais mon meilleur ami et allié, retournait le couteau dans la plaie en faisant apparaître mon « numéro de série » sur mon torse – il était bien-sûr bioluminescent, au cas où il ne serait pas assez visible.

Que pouvais faire de plus ? Non, la question qui me taraudait alors l’esprit était : qu’allait-il faire de moi à présent ? Qu’est-ce que, j’allais devenir ? Allaient-ils se battre pour moi, comme je l’avais fait pour, Callisto ? Pour quelle raison ? Je lui avais pris, 9 longues années de sa vie ! Certes malgré-moi, mais… Et à cet instant précis, est-ce que j’allais juste disparaître dans son ombre, et elle épousé l’homme que… 9 années, 9 ANNÉES !... C’est là, qu’est apparu, ce qui allait être la solution, en quelques sorte. Juste, derrière elle… D’aucun aurait pu dire, que j’aurai pu me battre, contre elle et contre Jack ! PERSONNE, n'en aurait rien SU ! Sauf moi, et c’était bien là le problème, parce que… J’ÉTAIS ELLE ! J’étais elle. Il fallait, que justice soit faite – Et pour moi ?... – il fallait que, que les choses, rentre dans l’ordre…
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Un des hommes près de moi, un jeune homme, alors que je me tenais toujours face à cet administrateur, me tendit un mouchoir. Il semblait, que mes glandes lacrymatoires n’était pas encore tarit, c’était peut-être bien les seules choses qui m’appartenaient, personnellement – Et ma robe certes, puisque c’est MOI qui l’ai choisi… Avec les goûts de Michelle. Toutefois, en ayant ce geste de gentleman, il me dit que j’avais l’air d’une princesse, et que belle comme je l’étais, je devais sûrement l’être – Si seulement… - son petit compliment, me fit quand même sourire. L’homme en face de moi, reprenant « l’êtes-vous ? ». Je ne savais pas, je ne savais plus, ni qui, ni quoi… Pourtant, il fallait lui donner un nom pour son « registre d’arrivée » : « i6 » laissais-je échapper de mes lèvres, comme si c’était la dernière chose que je dirai de ma vie. Pourtant, il répéta « Izy ? », le jeune gentleman reprenant « Princesse… Izy ? ». Son supérieur le reprit, lui demandant de me laisser répondre, même si je le sentais tout aussi impatient.

Princesse Izy. Je n’étais rien. Je n’étais plus rien, plus personne et, je n’avais au final, jamais été ce que j’avais cru être mais, là, à cet instant, me voilà : Princesse, la Princesse Izy. Je pouvais être « moi » ? Non, j’étais Michelle. Cela restera toujours, profondément ancré en moi, malgré moi. Je me dis alors, que cela aurait pu être pire – on se raccroche et, se rassure, comme on peut – Michelle aurait pu être une dangereuse criminelle, voir une prostituée, voir encore plus dégradant… Mais, j’avais cela en moi, cette volonté de faire, le bien, ce qui est juste et… Je serai toujours Michelle Sophia WINGER, au fonds de moi, que je le veuille ou non. Je répondis alors, à la question tant attendue sur mon identité :

- Pardonnez-moi. C’est exact, je… Je me nomme – fais-je bien ? – Izy, Izy K-Kelly… Georgia, Michelle, WINGER.

Ils me regardèrent alors d’un air tous simplement ahuri, mais c’était bien l’apanage des gens de la noblesse, voire de lignée royale, d’avoir des noms à rallonge. Quelqu’un pourrait-il dire que je mens ? Personne, car… Tout compte fait, chacune de ses personnes me constitue et, je n’ai pas confirmé que j’étais une princesse, à eux de voir. Pour moi, je serai toujours Michelle, celle de ce monde ci.

Normalement, je suis brune, de longs cheveux noirs et des yeux bleus intense comme Michelle. Etant arriver à Portalia avec… Ma tablette, prise d’une violente colère, de rage même je dirai, en arrivant dans la maison qu’on m’a assigné. Je l’ai violemment jeté contre un mur et, ça ne m’a pas fait du bien. Un black-out instantané, duquel je me suis réveillé, changer.

Depuis mon arrivée à Portalia, j’ai obtenu plusieurs titres : Celui me tenant le plus étant celui de Docteur, Docteur WINGER. Certes, pas forcément en tant que médecin à proprement dire, mais principalement au vu de mes… Des connaissances, que je tiens de Michelle.
D’ailleurs, je n’ai jamais rien dis, à personne de mon histoire ou même, de ma nature. Je me contente de dire que « je suis une sorte de Princesse elfe d’un multivers alambiqué », cela calme généralement la plupart des quidams, pour les autres je leur parle de physique quantique : théorie des cordes, pont d’einstein-rosen… Ce genre de chose. Du coup, je sais quand ils suivent ou non, quand je leur parle du « chat de Schrödinger », car certains m’ont demandé si c’était de la même race que « Polenchat » - au moins auront-il rebondit sur une thèse racial - je sais alors, à leur réponse, que je peux souffler ou juste augmenter la pression pour que, eux, me laisse de l’air.

Puis, il y a mon fameux titre de « Princesse » qui me suis depuis le jour où je suis arrivé, et que j’utilise surtout pour les enfants de l’Orphelinat. Je passe ma robe – ma chère robe, tu auras au moins eu cette utilité… - et me coiffe convenablement, et je pars leur raconter des histoires, leur en lire, les prendre sur mes genoux – Pauvre robe, comme tu en as vu avec ces petits frippons… - c’est mon petit plaisir. D’ailleurs en tant que Princesse, je ne manque jamais de mes présenté ainsi « Princesse Izy Kelly Georgia Michelle de la maison WINGER » car il semble, culturellement parlant, que les Homo Ligan Igneus d’antan, ce présentait ainsi en tant que Maison. Présentation que j’ai fais aussi à ces braves gens de la maison de repos de la guilde. Divers âges et mondes, représentant une mine connaissance absolument pharamineuse… Même si je trouve que quelques-uns d’entre eux, ont les mains quelques peu baladeuse, ce qui ne change donc pas d’un monde à l’autre, hélas.

D’ailleurs la Princesse que je suis – pas… - préfèrera l’extérieur plutôt que les petits espaces fermer, pleines de personnes, type : auberges ou tavernes. Il faut dire aussi, que mes petites promenades avec ombrelle, et… Les vieilles petites manières londonienne et autres, dont j’ai hérité de Michelle. J’adore porter des vêtements près du corps – Et ça, c’est encore elle… - mais ce qui vient de moi, c’est bien le fait que mes habits soit très souvent blanc et or – Surtout parce que j’essaie de moins ressembler à Michelle, et de me trouver moi…. Ce qui m’a intéressé aussi, en refaisant ma garde-robe dans les boutiques de Portalia, c’est surtout les différentes textures. Des habits qui sont toujours accompagnés, soit de gants longs, soit de mitaines longues. ce qui n’aide pas ce titre de Princesse à s’estomper, sans parler des enfants qui me croise dans les rues de Portalia, et ne peuvent s’empêcher de m’interpeler « Princesse Izy ! » ou... « Zizi ». Oui, ce sont ceux du plus jeune âge qui m’ont donné ce magnifique sobriquet, malgré-eux – et malgré-moi… - Zizi, au-lieu de Izy, c’était pourtant facile Izy !

Michelle, que je présente souvent comme « ma sœur jumelle du royaume d’où je viens », avais toujours soif d'apprendre plus, sur tous ce qui l’entourent – vous devinez que je suis pareil - d’où que la demeure que l’on m’a donnée, ressemble plus à un laboratoire qu’à une maison. Ma chambre est une bibliothèque, ma salle de bain aussi d’ailleurs, et mon salon est une salle d’expérimentation tapisser par endroit de nombres de feuille de calculs et équations… Ne parlons pas de ma cuisine, qui tiens plus d’un laboratoire de chimie, qu’à un lieu ou d’art culinaire – même si je ne me débrouille pas trop mal dans ce fameux art. D'ailleurs niveau « art », je poursuis ma pratique martial du Wing Chun, sur mannequin de bois et au bâton, et de la musique avec du violon, du luth, et de la harpe que je commence que je commence à découvrir - mais ça va, c'est une histoire de corde à pincé, comme une une luth ou guitare, mais à la vertical. Elle était discrète aussi – point ou je le suis moins, depuis mon arrivé à Portalia, mais je ne sais pas si je fois vraiment en être fière… - Elle n’aimait pas se faire remarquer – et moi non plus pour le coup, et ça ne changera pas. Ensuite, je n’aime pas que les gens que je ne connais pas, me touche à tort et à travers… Je suis très tactile moi-même, en tout bien tout honneur, bien entendu, il s’agit de rester correct et respectueuse. En fait, je suis plutôt très tactile avec les objets, d’ailleurs maman… Enfin, la mère de Michelle, lui disait souvent étant petite, d’arrêter de toucher à tout chez les gens.

Répétition #°3, parce que c’est kiffant de casser des murs… J’ai toujours 32 ans, mais et-demi ! Je dessine toujours mes avatars, comme vous le voyez avec Izy, parce que chercher le « bon avatars » pendant un temps infini… Vous connaissez la chanson. Donc oui, j’aime dessiner, écouter des BO de Jeux vidéo ou films – Non, toujours pas de "métal", jamais… JAMAIS ! Et ça ne changera jamais - et je kiff toujours autant cette phrase de notre chère Sergent Rex bien aimée "Je préfère vous prévenir, nous sommes un forum TOUT PUBLIC. Nous sommes ici pour vivre des aventures et non pas pour faire des galipettes. " après le couplet sur l’humour beauf, ou en-dessous de la ceinture vous connaissez. Sinon, je trouve que le design épuré du forum est toujours aussi attrayant, et que le bleu lui va tout aussi bien que le vert, et le contenu toujours aussi intéressant et prometteur, en vous renouvelant mon souhait de longue vie et prospérité.