Rp flashback Yuan et Melik : du vilain petit canard au cygne

« - ♫ Pièce de viande, c'est un nom que j'aime
Pièce de viande, c'est un nom composé ♫

-Hé !

- ♫ Pièce de viande, c'est un nom que j'aime
Pièce de viande, c'est un nom composé ♫ »

Fredonna en rythme un étrange chef cuisto et son second. Cet homme, du moins cet orc, c’était Mélik. Le boug était connu dans tout Portal pour de nombreuses choses, mais c’était surtout sa gentillesse légendaire et ses talents de cuisinier qui faisaient sa réputation. Le duo était en train de préparer une pièce de Basilic pour le service du soir. Il s’agissait d’une viande difficile à cuisiner, même si depuis l’invention de la flamme purificatrice de monstre par le dit-orc cuisiner du monstre devenait un peu plus aisé. Mélik était d’une sérénité absolue même la scène qui s’offrait aux yeux pouvait donner l’impression inverse. En effet, on pouvait voir le chef déchiqueter une pièce de viande avec une hachette, le tout avec un large sourire. Viel, le second de Mélik, s’occupait de son côté de la brunoise de légumes et de la sauce qui allait accompagner le basilic. Tout était réglé comme une horloge et le service se passa sans encombre. Alors que le service touchait à sa fin, quelque chose interpella le chef orc

« -HUM… »

La légende n’eut pas le temps de réagir que le second Viel s’empressa de se diriger vers la réserve du restaurant, pour se retrouver nez-à-nez avec un jeune homme qui devait avoir à tout casser seize ans, du moins physiquement. Le cuisinier s’approcha du voleur tout en lançant à Mélik

« -Regardez moi ce que j'ai débusqué dans la réserve, on avait un pique assiette. Surtout que c'est pas sa première fois, j'ai entendu des rumeurs comme quoi y aurait de plus en plus de vols ces derniers temps. Autant c'est lui le responsable. T’as rien à dire toi ?

Viel tapa derrière le crâne du jeune homme avant de tirer l’enfant hors de la réserve. La tape ne se voulait pas violente, c’était le genre de celle que l’on fait sur la main d’un enfant qui avait fait une bêtise. Le petit avoua sa faute, mais demanda immédiatement à sortir. Le second n’était pas de cet avis, mais Mélik étant le chef dans cette cuisine, il lui demanda son avis. L’orc se mit à éclater de rire. Si en temps normal la plupart des gens prendraient leurs jambes à leur cou en voyant un orc agir ainsi, Mélik n’entrait pas dans cette catégorie. Le chef cuisto tapa sur l’épaule de son second qui sortit directement de la cuisine, puis il se dirigea vers le pique-assiette avant de lui dire

« -Tu sais petit si tu as faim il suffisait de me demander, je t’aurais fait une bonne tambouille ! »

En effet, Mélik était connu comme un des bienfaiteurs de l’orphelina de la capitale. Les enfants l’adoraient pour sa personnalité et ses plats, mais mauvaises langues lui prêtaient une relation avec Elizabeth Delavigne, la directrice des lieux. D’autres mauvaises langues réfutaient cette thèse, puisqu’ils étaient certains que l’orc ne mangeait pas de ce pain là et qu’il préférait Tyson Rex. Le chef regarda le garçon qui n’avait pas l’air de savoir quoi répondre, le tout avec un large sourire faisant apparaître ses dents pointues. Un léger blanc s’installa avant que l’orc ne lance au voleur

« -T’as faim au moins ? Mélik laissa répondre le jeune homme avant de reprendre Par contre vu que t’as osé t’infiltrer ici, ne t’attends pas à ce que je te fasse à manger ! Oui tu m’as bien entendu, tu vas devoir mériter ce plat et le cuisiner. »

Incapable de réprimander sévèrement le jeune homme, Mélik partait du postulat que le faire travailler était une forme de punition en soit. Avec un peu de chance, l’orc se disait qu’il allait pouvoir développer une nouvelle passion chez le petit être et qu’il arrêterait sans doute de voler. L’orc se gratta le menton tout en fixant le garçon. Dans un autre contexte, on pourrait s’imaginer que Mélik était en train de réfléchir à la façon dont il allait cuisiner le voleur. Quoi qu’il en soit, l’orc lança à l’intrus

« -Alors mon petit qu’est-ce-qui te ferait plaisir ? Des Macarons foudroyants ou bien un Clafoutis au Curare… A moins que tu ne sois plus attiré par le Pudding à l’Arsenic ! une pause se fit sentir avant que le chef reprenne Ah oui non je sais ! Un Couscous ou un Tajine… Ou alors peut être un hamburger je sais que les enfants de l’orphelinat raffolent de ça ! »

Le chef de Familia continua d’énumérer des noms de plats, en attendant que le jeune homme lui dise ce qu’il voulait vraiment.

Quand tu racontes à Mélik l’histoire de tes parents, il ne peut s’empêcher de verser une larme de compassion. Non seulement il comprenait mieux tes intentions, mais il les trouvait nobles bien que la méthode laisser à désirer. Instinctivement, l’orc sortit des boites dans lesquelles il mit les restes d’un repas qu’il venait de servir. Une fois refermées, Mélik posa les boites sur le plan de travail avant de lancer à Yuan

« -C’est pas grande chose petit, mais quand on en aura fini tu rapporteras ça à tes parents, ça m’insupportait qu’ils leur arrivent malheur à cause d’un estomac vide… »

En tant qu’idéaliste et orc au grand cœur, Mélik ne supportait pas d’apprendre que des gens puissent mourir de faim alors que les gens du monde entier venaient se péter la panse à la Golden Street. Il contribuait à sa façon et après avoir jaugé le renardeau, il vit aucune once de vice ou de mensonges en lui. L’orc lui demanda ensuite s’il avait faim et au son que produisait l’estomac de Yuan, c’était le cas. Le compliment à l’égard de l’orc le fit violacer (rougir) et décida qu’il allait avoir à manger. Cependant, parce que rien n’est jamais simple avec Mélik, il proposa au renardeau de cuisiner son propre repas, car non seulement ça lui donnerait peut-être l’envie de devenir cuisto, mais parce qu’il était aujourd’hui d’une humeur joueuse. Le chef cuisto proposa tout une flopée de recette, mais il fût agréablement surpris quand Yuan lui demanda s’il pouvait cuisiner une recette de famille. Le petit avait donc une base en cuisine, ce qui intrigua Mélik qui lui lança

« -Intriguant petit ! Tu peux m’en dire plus sur cette recette pendant que je vais te chercher cette casserole et les ingrédients qu’il te faut ? »

Tu es surpris quand tu vois que Mélik accède à te demande et encore plus quand tu le vois jouer les commis de cuisine. La scène faisait rire l’orc car elle lui rappelait une période lointaine où il était aussi second de cuisine. A cette époque, le chef des Golden Wings était encore un jeune cuisto qui apprenait au côté de Garakh Gagnaire, un chef orc réputé dans toute la capitale. La cuisine n’était cependant pas à son paroxysme comme aujourd’hui et son talent n’était connu que d’une poignée de personnes dont Mélik, mais Garakh avait su déceler le potentiel de son poulain. Les années lui donnèrent raison, mais il ne fût malheureusement pas présent pour assister à l’avènement de son élève. Le chef orc ramena donc tout le nécessaire pour que Yuan puisse cuisiner avant de se mettre en retrait pour le voir exécuter sa recette. Pour un jeune rejeton, Mélik devait lui reconnaitre un certain talent pour manier le couteau et découper finement les ingrédients. L’orc prenait le soin de prendre des notes, car il était toujours intéressé par les nouvelles recettes de cuisine. Si avec le temps il avait une carte très large, il fallait lui reconnaitre qu’il était loin de tout connaître. Armé de son stylo et d’un bloc note, Mélik prenait des notes pendant que le renardeau préparait son plat familial. Le chef de la Golden Wings était confiant car l’odeur qui se dégageait de la cuisine donnait envie. Les étapes de la recette se déroulèrent sans accroc et au bout de longues minutes, Yuan déposa sur le plan de travail deux bols remplit d’ingrédients qui donnaient envie. Il proposa à Mélik d’y goûter bien que l’hésitation se sentait dans sa voix. L’orc n’allait pas refuser de gouter, car non seulement ça serait gâcher de la nourriture, puis cela faisait parti de sa punition. Il s’empara d’une cuillère à soupe et d’un des bols, avant de déguster dans un premier temps, puis de s’empiffrer du plat. Quand le renardeau demanda à son tour de gouter, Mélik qui avait la bouche pleine se contenta de lever le pouce en l’air pour lui indiquer qu’il pouvait manger. Le chef de la Golden Wings vida le bol en un temps record, avant de le déposer et de lancer au jeune homme

« -Bah dis donc ! Moi qui m’attendait à ce que tu me fasse un plat sans saveur, je dois avouer que tu m’as agréablement surpris répondit Mélik tout en lançant un clin d’œil au jeune homme avant de reprendre Je vois la passion en toi petit ! Tu as su sublimer des produits qui pris séparément n’ont pas beaucoup de valeurs, pour y ajouter l’amour que tu as pour la cuisine. »

Le chef de la Golden Wings te laisse finir ton plat avant de te tapoter l’épaule pour te féliciter, en retenant sa force pour ne pas te briser l’épaule. Mélik te regarde avec une certaine fierté et en essayant de te rassurer. L’orc étant perfectionniste, il avait cependant une suggestion à faire à son élève d’un jour

« -Si je peux juste me permettre petit… Enfin si tu le veux bien sûr ? Mélik fit une pause pour te laisser répondre avant de reprendre Ton plat est très bon c’est indéniable, mais il gagnerait sans doute en perfection en ajoutant un peu plus d’aromates et d’épices, mais je suppose que pour des humains c’est largement suffisant ! »

Mélik rigole avant d’aller chercher une épice qui ressemble à du piment et du poivre. L’orc s’empara du moulin à piment et ajoute une pincée à la poêle où se tenait les ingrédients. Une fois le tout mélangé, le chef de la Golden Wings invita le renardeau à gouter la version retouchée, attendant une réaction de sa part. Pendant ce temps-là, l’orc ajouta

« -Ais toujours du piment dans ta cuisine mon petit, c’est l’épice passe partout qui te permet de donner un coup de peps à n’importe quel plat, même les plus fades ! Bon là j’en ai pas mis beaucoup pour ne pas dénaturer ta recette, mais personnellement j’aurais jeté une poignée de poudre dans la casserole. »

Instinctivement tu regardes la main de Mélik et quand tu vois la taille de celle-ci, tu te dis que le chef orc doit aimer les plats particulièrement épicés. Le chef ne peut s’empêche de taper dans la poêle avec la cuillère, ce qui te donne encore plus de baume au cœur car tu te dis qu’il a dû particulièrement apprécier ta recette. Tu ne dois cependant pas te reposer sur tes lauriers, car Mélik est aujourd’hui de bonnes humeurs et qu’il veut encore te tester

« -T’es d’accord avec moi qu’un bon plat doit forcément s’accompagner d’un bon dessert ? Dis-moi ce que tu comptes faire et on va voir si tu te débrouilles aussi bien pour les desserts ! »

Mélik était joueur, mais il avait surtout encore faim. L’orc n’était pas contre le fait de prendre un congés pour que quelqu’un d’autre cuisine à sa place !

« -Les crocs ? tu me rajeunis pas petit, la dernière fois que je suis allé les voir j’étais encore un aventurier gourmet ! lâcha Mélik avec une pointe de nostalgie avant de reprendre Un cuisinier a toujours besoin de ses assistants, sans eux il n’est rien, je ne suis rien… »

Mélik avait l’apparence de l’orc imposant et fier mais il en était le parfait contrexemple., puisqu’on ne trouve pas plus humble que le chef cuisto dans la cité. Il était vrai que la cuisine était un art plutôt solitaire, mais cela jusqu’à atteindre un certain stade. En effet, la haute gastronomie entrait dans une autre catégorie, et l’orc avait compris que pour réussir il devait s’entourer des bonnes personnes, un peu comme son mentor l’avait fait avant lui. Une bonne partie de ses élèves avaient à présent une table concurrente à la sienne, mais cela ne le gênait en rien, mieux, cela le pousser à se transcender chaque jour. Le Chef de la Golden Wings joua les assistants pour toi qui avait l’air plus sûr de toi face au wok que face à l’orc, mais qui pouvait lui en vouloir. Le duo finit par déguster le fruit de leur labeur et tu fus gêné face aux compliments de Mélik. Ce dernier proposa de rajouter des aromates à ta préparation et tu avais réponse à tout car il proposa piment ou pâte à curry. Le curry n’était pas l’épice préférée de l’orc, mais pour une raison qu’il ignorait, elle faisait un malheur auprès des habitants de la capitale. Le duo se mit à engloutir la casserole, avant que tu permets de demander à Mélik s’il pouvait lui apprendre des choses. L’orc se mit à penser et à réfléchir à ton potentiel avant de te répondre

« -Je peux pas te promettre une place dans ma brigade mais j’ai rien contre le fait que tu viennes faire quelques extra dans les cuisiner pour venir renforcer la brigade. »

Bien que gentil, Mélik ne voulait pas accorder non plus l’accès de sa cuisine au premier inconnu venu. L’idée des extras, c’était de voir la motivation du gamin afin de savoir s’il voulait vraiment faire de la cuisine sa passion ou s’il était là juste pour flatter l’égo de l’orc, qui était habitué à ce genre de stratagème, mais qui marchait souvent. Le chef de la Golden Wings te propose ensuite de réaliser un dessert et tu as déjà ton idée. En plus, tu veux partager ta création avec la brigade de Mélik. Il ne prend même pas le temps de réfléchir qu’il te lance

« -Bien évidemment ! Te faire pardonner de quoi ? ajouta Mélik qui avait déjà oublié que tu t’étais faufilé dans son restaurant, avant de reprendre Chers membres de la brigade, ce jeune renardeau veut partager son savoir avec vous ! »

Là tu vois plusieurs personnes arriver, des serveurs et des commis. Tu te sens sans doute gêné, car tu voulais juste leur faire goûter ton plat et pas qu’ils assistent à la création. Mélik avait mal compris ou il l’a fait exprès, mais tu vois qu’il arbore un sourire plein de malice en te regardant (plein de dents quoi). Tandis que tu exécutes ta recette, l’orc se démène pour te ramener les ingrédients, ce qui interroge la plupart des membres du personnel de l’établissement. Les plus anciens rigolent car ils savent pertinemment que leur chef, malgré son statut, est un homme qui a toujours su rester simple. Il y en a d’autres qui étaient choqués de voir ce grand Chef étoilé servir de commis pour un gamin. Mais alors que l’un d’entre eux voulu interrompre le spectacle, Viel lança son regard le plus glacial au jeunot qui recula de plusieurs pas. Le second de Mélik ne put s’empêcher d’ajouter

« -C’est la volonté de Chef Mélik alors je vous prierais de la respecter ! »

Il n’était pas le second du chef orc pour rien, car il était l’un des rares cuisto qui le comprenait le mieux. Les deux ont eu une trajectoire assez similaire et les deux aimaient les plaisirs simples de la vie, quand d’autres se laissaient corrompre par l’argent et le pouvoir. La préparation suivit son cours, quand tu annonces à Mélik que tu as fini le plat. Tu lui sers un thé vert pour l’accompagner et tu vois de petites étincelles dans les yeux. En effet, le chef orc faisait parti de ses gens fans de thé, ce qui était trop rare pour le souligner, car les gens préféraient souvent parler des bières du Rex ou de tout autre alcool étrange. Tu trépignes d’impatience alors qu’il prend le temps de humer le thé, avant de contempler sous tous les angles la part de gâteau. L’orc dégaine ensuite sa cuillère, avant de couper un premier morceau de gâteau. Tu le vois mâcher, ça dure un moment, si bien que tu commences à stresser intérieurement. La cuillère fait un deuxième aller-retour, s’enchainant les uns après les autres. Tu n’as pas le temps de compter le nombre de fois qu’il s’est servi de son instrument, que tu vois son assiette vide. Avant même que tu ne puisses dire quoi que ce soit, il rend son verdict

« -Je me demandait bien comment t’allais pu me surprendre avec une recette assez basique petit, mais t’as mis des touches réconfortantes dans le plat qui m’ont rendu addict ! Je pense notamment au Yuzu et au Matcha. Ajouta Mélik avant de reprendre LES AMIS ! A votre tour de goûter et oubliez pas de laisser une part à notre chef d’un jour ! »

Là tu vois Viel et toute la clique former un cercle autour de toi et ta création, le second prenant même l’initiative de découper le gâteau en part égal en te donnant un morceau en premier. Chacun commença à déguster et à y aller de son petit commentaire, quand Mélik qui sirota son thé avec le petit doigt levé, demanda à Viel

« -Gwen dis moi t’en penses quoi du gamin ?

-Ce petit chapardeur ? C’est sûr et certain qu’il y a quelque chose à faire avec lui Chef ! Qui sait, peut être qu’il rejoindra la Golden Wings et qu’il te remplacera ahahahahah

-Me remplacer ? mouhahahaha»

Le chef de familia était un bourreau de travail, et il ne voyait personne lui prendre sa place, non pas qu’il manquait de prétendants, mais parce qu’il ne voulait pas quitter ce poste. Il avait amené les restaurateurs et les taverniers à la place qu’ils étaient avec l’aide des Moon n Cows qui les fournissaient. C’était une sorte d’échange donnant donnant où les deux partis étaient convaincu que cela renforcerait leur poids dans les décisions de la ville. C’est avec un sourire plein de dents, rigolant encore qu’il s’amène vers toi avant de te lancer

« -Si j’étais dénué d’amour propre je t’aurais sans doute volé ta recette pour la mettre sur ma carte, mais à la place je vais te faire un cadeau… Quand tu seras plus grand et prêt, tu vendras ce plat en plat signature et je viendrais personnellement le goûter dans ton établissement ! »

S’il y a une chose que Mélik avait toujours respecté en tant que chef de la familia Golden Wings, c’était l’importance qu’il avait à visiter l’ensemble des établissements des membres de sa familia. C’était un moyen pour lui de garder le contact, de prendre des nouvelles, mais surtout de montrer qu’il était là pour chacun de ses membres. Le goûter dura un petit moment, quand le chef orc rassembla ses hommes, tu es là aussi et il fait son speech

« -Pour le service de ce soir nous seront deux en cuisine avec Gwen, tandis que vous serez également deux en salle. Pour les autres je vous offre votre soirée ! ajouta l’orc avant de reprendre Vu que le service de ce soir devrait se dérouler sans accroc, je me dis que je pourrais en profiter pour jeter le petit renardeau dans le bain ahahaha »

Mélik arbore son plus large sourire et tu te dis qu’il va sans doute te manger. Tu te tournes vers Viel, qui a l’air de confirmer tes suspicions. A cet instant, tu te demandes à quelle sauce tu vas être mangé.