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descriptionRe: Ne frapper pas la messagère ! [Pv Emilia Reisalin](Terminé)Mar 18 Avr - 4:18
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Peu importe l'heure qui déchirait le ciel, la ville grouillait toujours d'âmes, certaines passaient simplement sur le chemin pour se rendre au travail, d'autre profitait de la journée pour arpenter les rues dans diverses raisons. Chacun avait une idée en tête et d'autre cherchait simplement quoi faire en cette journée qui tirait à la fin de son cycle de lumière. Pour ma part, j'étais souvent l'une qui n'avait aucun but précis et qui laissait simplement le courant lui montré un chemin. Mes journées allaient selon mes humeurs, versatile et non prévisible. Avoir des plans, n'étaient pas pour moi, aussitôt que j'avais une endroit pour dormir le soir, un peu de nourriture dans le ventre, des vêtements propres le reste de la journée je pouvais bien rester assise sur un mur à observer les gens et écouter les conversations. Ma présence était souvent invisible lorsque je n'ouvrais pas la bouche un large capuchon sur la tête pour dissimiler mes cheveux atypiques et hop je passais dans a masse.
La journée, était à l'image des autres, chaotique à souhait. Toutefois, la différence criante était que je m'étais fais une amie. Ma main dans la sienne, je déambulais dans les rues suivant sa silhouette qui fonçait dans les artères les plus sombres que je n'avais même pas encore eu la chance de fouiner. L'histoire du moment s'écrivait simplement devant mes yeux, je n'avais même pas à penser que les images inondaient l'espace. La silhouette gracieuse de la demoiselle blessé arrêta alors sa course devant une escalier qui semblait avoir vu bien des années. Si les murs de cette cité pouvait parlé je perdrais probablement ma vie à simplement écouter leur récit. Sur cette pensée, je me suis surprise à espérer un jour tomber sur une personne possédant le pouvoir de faire prendre vie à des objets inanimé. Un fantasme pour tout bon barde qui travaille fort pour sa réputation. Bon, cette personne se retrouverait probablement enfermé dans une cave que seule moi avait accès, mais ce détail resterait à jamais entre moi et mon sourire amusé qui flottait désormais sur mes lèvres en observant le lieu en hauteur. Les dires taquins de la jeune femme me fit rire, mon rire résonna entre les murs de cette ruelle qu'on traversait «Tu vas t'assurer que je ne chante plus pour des pervers? Et je ne pense pas que des gens souhaite me manger, cela serais dommage de perdre une si belle compteuse » dis-je sur un rire cristallin qui se joint à l'écho de nouveau.
Au pied de la vieille tour d'observation, nous étions déjà haut comparé au rue qui était bien plus loin. Le ciel inondé des ton d'orangés annonçait la fin de la journée que j'avais passé encore une fois à glandé et à profiter du ciel. Un soupire de satisfaction vu le jour sur mes lèvres profitant de cette brise sur ma peau murmurant doucement «Encore une belle journée à ne rien faire, elle est pas belle la vie» En bas, il y avait des gens qui couraient, des gens qui avait terriblement peur de la nuit, des ombres qui s'y cachait. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de perdre leur travail ou encore de simplement perdre le toit sur leur tête. Moi j'étais née avec rien, j'avais grandit avec peu et aujourd'hui si je me retrouverais de nouveau avec rien, j'arriverais quand même à passé la nuit. «Uhm intéressent! Les gens du coin semble beaucoup te connaître, je suis curieuse d'en apprendre plus sur l'attaque du chaos et ce que tu as fais pour aider le quartier»
Un bruit de métal brisé me fit détourner les yeux en direction de la demoiselle qui venait de s'adresser à moi. L'idée de passé la nuit en haut de cette tour et d'observer le ciel se remplir d'étoile était le comble de cette belle journée, un toit pour dormir, une chaleur pour lui tenir compagnie, un repas payer par un fou. Affichant un jolie sourire, je pris les devants cette fois, glissant mes doigts dans la main de la douce pour monter les marches qui hurlaient sur notre passage d'inconfort. Le grincement des vieilles planches menaçant de rompe sous nos pieds me fit accélérer légèrement la course jusqu'au sommeil.
Le niveau supérieur était étrangement plus solide, le petit toit qui ornait la tour manquait cruellement d’entretien plusieurs bardeaux étaient tombée laissant le ciel combler le vide. À l'horizon disparaissait doucement le soleil un bref coup d’œil pour choisir la meilleur emplacement pour installer de nouveau le pique-nique improviser «c'est vraiment une belle endroit! Tu as bien raison d'aimer ce lieu, ici on peu voir le ciel et la ville béant dans les derniers rayons du soleil» Une fois la table temporairement déposer avec la viande. Les baies et les autres victuailles déposé je pris place et tapota près de moi pour l'incité la jeune femme à venir prendre place. Le vent était un peu plus frais et je sentais mon corps frissonner sous ses caresses. La nuit serait fraîche et on pouvait déjà voir quelques étoiles venir nous salué.
La journée, était à l'image des autres, chaotique à souhait. Toutefois, la différence criante était que je m'étais fais une amie. Ma main dans la sienne, je déambulais dans les rues suivant sa silhouette qui fonçait dans les artères les plus sombres que je n'avais même pas encore eu la chance de fouiner. L'histoire du moment s'écrivait simplement devant mes yeux, je n'avais même pas à penser que les images inondaient l'espace. La silhouette gracieuse de la demoiselle blessé arrêta alors sa course devant une escalier qui semblait avoir vu bien des années. Si les murs de cette cité pouvait parlé je perdrais probablement ma vie à simplement écouter leur récit. Sur cette pensée, je me suis surprise à espérer un jour tomber sur une personne possédant le pouvoir de faire prendre vie à des objets inanimé. Un fantasme pour tout bon barde qui travaille fort pour sa réputation. Bon, cette personne se retrouverait probablement enfermé dans une cave que seule moi avait accès, mais ce détail resterait à jamais entre moi et mon sourire amusé qui flottait désormais sur mes lèvres en observant le lieu en hauteur. Les dires taquins de la jeune femme me fit rire, mon rire résonna entre les murs de cette ruelle qu'on traversait «Tu vas t'assurer que je ne chante plus pour des pervers? Et je ne pense pas que des gens souhaite me manger, cela serais dommage de perdre une si belle compteuse » dis-je sur un rire cristallin qui se joint à l'écho de nouveau.
Au pied de la vieille tour d'observation, nous étions déjà haut comparé au rue qui était bien plus loin. Le ciel inondé des ton d'orangés annonçait la fin de la journée que j'avais passé encore une fois à glandé et à profiter du ciel. Un soupire de satisfaction vu le jour sur mes lèvres profitant de cette brise sur ma peau murmurant doucement «Encore une belle journée à ne rien faire, elle est pas belle la vie» En bas, il y avait des gens qui couraient, des gens qui avait terriblement peur de la nuit, des ombres qui s'y cachait. Peur de ne pas être à la hauteur, peur de perdre leur travail ou encore de simplement perdre le toit sur leur tête. Moi j'étais née avec rien, j'avais grandit avec peu et aujourd'hui si je me retrouverais de nouveau avec rien, j'arriverais quand même à passé la nuit. «Uhm intéressent! Les gens du coin semble beaucoup te connaître, je suis curieuse d'en apprendre plus sur l'attaque du chaos et ce que tu as fais pour aider le quartier»
Un bruit de métal brisé me fit détourner les yeux en direction de la demoiselle qui venait de s'adresser à moi. L'idée de passé la nuit en haut de cette tour et d'observer le ciel se remplir d'étoile était le comble de cette belle journée, un toit pour dormir, une chaleur pour lui tenir compagnie, un repas payer par un fou. Affichant un jolie sourire, je pris les devants cette fois, glissant mes doigts dans la main de la douce pour monter les marches qui hurlaient sur notre passage d'inconfort. Le grincement des vieilles planches menaçant de rompe sous nos pieds me fit accélérer légèrement la course jusqu'au sommeil.
Le niveau supérieur était étrangement plus solide, le petit toit qui ornait la tour manquait cruellement d’entretien plusieurs bardeaux étaient tombée laissant le ciel combler le vide. À l'horizon disparaissait doucement le soleil un bref coup d’œil pour choisir la meilleur emplacement pour installer de nouveau le pique-nique improviser «c'est vraiment une belle endroit! Tu as bien raison d'aimer ce lieu, ici on peu voir le ciel et la ville béant dans les derniers rayons du soleil» Une fois la table temporairement déposer avec la viande. Les baies et les autres victuailles déposé je pris place et tapota près de moi pour l'incité la jeune femme à venir prendre place. Le vent était un peu plus frais et je sentais mon corps frissonner sous ses caresses. La nuit serait fraîche et on pouvait déjà voir quelques étoiles venir nous salué.
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Mar 18 Avr - 4:18