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Dit moi, ce que l’obscurité d’une nuit sans lune invoque chez toi et je te dirais le chemin à prendre. Car ici dans la rue une fois la nuit tombée, il y a des rues à éviter, des endroits peu fréquenté qui doivent rester secret, des organisations clandestines qui passent sous le silence des ténèbres. Puis, il y a les tavernes, tel des phares dans l’obscurité qui attire les mouches et les âmes en perdition. Bien des gens reste dans cette lumière, attendant le lever de jour, engourdissant leur sens pour oublier, oublier leur passé, leur douleur ou simplement pour vivre un moment éphémère de bonheur.
Bien des gens on l’esprit perdue, bien des gens on le cœur meurtrie et c’est la nuit que ces sentiments refont la plupart du temps surface. Les rues ici ne sont pas pour tout le monde, bien des gens se perdent dans les artères de Portalia et on ne les revoit jamais. Moi ce qui m’intéresse, c’est de savoir pourquoi une personne sort la nuit, pourquoi une personne quitte la protection d’un toit pour arpenter les rues et ruelles. Assise sur un tonneau qui avant détenait du rhum, à la simple odeur qui se dégage du bois, j’attends patiemment. Ce soir, je n’ai malheureusement trouvé aucune taverne qui avait besoin d’un barde, disons que dans ce métier si tu n’as pas de renom, il est dur de te produire. Les gens te lance rapidement des débris si tu n’arrives pas à comprendre l’essence de leur besoin. Enfin bref, comme toujours j’attends les petits regroupements pour faire une prestation, un peu de chant et de danse dans la rue pour prendre quelques pièces de satisfactions mais rester au même endroit est mortel et parfois même les patrons des tavernes sortent dehors pour me crier que j’empêche leur client d’entrée. En gros, je vide les économies de leur client potentiel qui consomme moins. Au finale c’était à eux de me permettre d’entrée non?
Le dos contre le mur de pierre, les fesses endolorie par le bois, j’observe la rue qui est étrangement silencieuse, la ruelle derrière moi est tout autant calme et le ciel semble dépourvu de la moindre lueur lunaire. Seul les étoiles perce les ténèbres de leur présence ce qui me fait sourire. J’aurais temps aimé passé la nuit près d’un feu, à chanter avec des amis en mangeant un repas improvisé, une bouteille de rhum entre les jambes le sourire collé aux lèvres. Mais ce temps est résolue, je suis seule et complètement livré à moi-même. Balançant la tête vers la gauche puis la droite, suivant un rythme imaginaire, le bouge doucement au gré de ma voix intérieur, mes deux mains doucement frappe sur le bois du tonneau qui résonne désormais dans l’écho du lieu. Je laisse alors sortir les paroles qui me trotte dans la tête, ma voix cristalline vibre au son du vent, elle est douce et chaude. «Je rente dans une salle plein de monde, Tout le monde me dévisage. Qu’est-ce que j’ai, qu’est-ce que j’ai fait de mal? Qu’est-ce que j’ai, qu’est-ce que j’ai fait de mal? Oh tu ne vois que ce que tu vois» Fermant les yeux un moment oubliant l’endroit je continue doucement, chantant pour moi cette fois ces paroles qui émergent de mon esprit, laissant chaque mots et chaque phrases m’immerger «Mais tu ne me connais pas, Qu’est-ce que j’ai, Qu’est-ce que j’ai fait encore? Qu’est-ce que j’ai, Qu’est-ce que j’ai fait encore?»
Dans la ruelle, deux personnes c’étaient arrêté de bougé, écoutant les paroles, appuyé dans l’obscurité un sourire aux lèvres, bien malgré eux leur corps suivait le rythme. «Il a dit, elle a dit, c’est fini, tu te crois plus malin, mais tu ne sais rien. Ouais tu ne sais rien» mes mains repris le rythme sur la bois qui craquait légèrement sous chaque impacte donnant un son différent à la mélodie «Tu ne sais rien du tout , tu ne sais pas comment je suis quand je suis seule» Ouvrant les yeux, les paroles devient alors des fredonnement arrêté par les applaudissements de deux hommes qui quittèrent l’obscurité ce qui me fit sursauté, et par la même occasion sauté en bas du baril de bois pour me tourner dans leur direction. «Tien on t’a fait peur, que fais-tu ici jolie dame et comme tu le dis, complètement seule?» J’eu un petit rire voyant on allait aboutir cette échange que j’avais trop souvent voulu évité et eue un petit sourire « Moi j’attends mon copain il devrait être l’a d’une seconde à l’autre » Reculant un peu, j’observais la rue complètement déserte, mais les acclamations venant d’une taverne non loin de ma position me fit espérer qu’une personne allait bientôt sortir et que j’aurais la chance de m’accroché à cette personne pour le faire passer ou non pour mon copain question de ne pas m’attirer encore des ennuis en cette belle soirée. Qui sait peut-être trouverais-je un être charitable qui c’était simplement perdue dans l’une des nombreuses rues. Néanmoins j’allais devoir certainement trouvé un plan si personne n’arrivait et je détestais courir avec mon violon sur le dos…
Bien des gens on l’esprit perdue, bien des gens on le cœur meurtrie et c’est la nuit que ces sentiments refont la plupart du temps surface. Les rues ici ne sont pas pour tout le monde, bien des gens se perdent dans les artères de Portalia et on ne les revoit jamais. Moi ce qui m’intéresse, c’est de savoir pourquoi une personne sort la nuit, pourquoi une personne quitte la protection d’un toit pour arpenter les rues et ruelles. Assise sur un tonneau qui avant détenait du rhum, à la simple odeur qui se dégage du bois, j’attends patiemment. Ce soir, je n’ai malheureusement trouvé aucune taverne qui avait besoin d’un barde, disons que dans ce métier si tu n’as pas de renom, il est dur de te produire. Les gens te lance rapidement des débris si tu n’arrives pas à comprendre l’essence de leur besoin. Enfin bref, comme toujours j’attends les petits regroupements pour faire une prestation, un peu de chant et de danse dans la rue pour prendre quelques pièces de satisfactions mais rester au même endroit est mortel et parfois même les patrons des tavernes sortent dehors pour me crier que j’empêche leur client d’entrée. En gros, je vide les économies de leur client potentiel qui consomme moins. Au finale c’était à eux de me permettre d’entrée non?
Le dos contre le mur de pierre, les fesses endolorie par le bois, j’observe la rue qui est étrangement silencieuse, la ruelle derrière moi est tout autant calme et le ciel semble dépourvu de la moindre lueur lunaire. Seul les étoiles perce les ténèbres de leur présence ce qui me fait sourire. J’aurais temps aimé passé la nuit près d’un feu, à chanter avec des amis en mangeant un repas improvisé, une bouteille de rhum entre les jambes le sourire collé aux lèvres. Mais ce temps est résolue, je suis seule et complètement livré à moi-même. Balançant la tête vers la gauche puis la droite, suivant un rythme imaginaire, le bouge doucement au gré de ma voix intérieur, mes deux mains doucement frappe sur le bois du tonneau qui résonne désormais dans l’écho du lieu. Je laisse alors sortir les paroles qui me trotte dans la tête, ma voix cristalline vibre au son du vent, elle est douce et chaude. «Je rente dans une salle plein de monde, Tout le monde me dévisage. Qu’est-ce que j’ai, qu’est-ce que j’ai fait de mal? Qu’est-ce que j’ai, qu’est-ce que j’ai fait de mal? Oh tu ne vois que ce que tu vois» Fermant les yeux un moment oubliant l’endroit je continue doucement, chantant pour moi cette fois ces paroles qui émergent de mon esprit, laissant chaque mots et chaque phrases m’immerger «Mais tu ne me connais pas, Qu’est-ce que j’ai, Qu’est-ce que j’ai fait encore? Qu’est-ce que j’ai, Qu’est-ce que j’ai fait encore?»
Dans la ruelle, deux personnes c’étaient arrêté de bougé, écoutant les paroles, appuyé dans l’obscurité un sourire aux lèvres, bien malgré eux leur corps suivait le rythme. «Il a dit, elle a dit, c’est fini, tu te crois plus malin, mais tu ne sais rien. Ouais tu ne sais rien» mes mains repris le rythme sur la bois qui craquait légèrement sous chaque impacte donnant un son différent à la mélodie «Tu ne sais rien du tout , tu ne sais pas comment je suis quand je suis seule» Ouvrant les yeux, les paroles devient alors des fredonnement arrêté par les applaudissements de deux hommes qui quittèrent l’obscurité ce qui me fit sursauté, et par la même occasion sauté en bas du baril de bois pour me tourner dans leur direction. «Tien on t’a fait peur, que fais-tu ici jolie dame et comme tu le dis, complètement seule?» J’eu un petit rire voyant on allait aboutir cette échange que j’avais trop souvent voulu évité et eue un petit sourire « Moi j’attends mon copain il devrait être l’a d’une seconde à l’autre » Reculant un peu, j’observais la rue complètement déserte, mais les acclamations venant d’une taverne non loin de ma position me fit espérer qu’une personne allait bientôt sortir et que j’aurais la chance de m’accroché à cette personne pour le faire passer ou non pour mon copain question de ne pas m’attirer encore des ennuis en cette belle soirée. Qui sait peut-être trouverais-je un être charitable qui c’était simplement perdue dans l’une des nombreuses rues. Néanmoins j’allais devoir certainement trouvé un plan si personne n’arrivait et je détestais courir avec mon violon sur le dos…
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Ven 3 Mar - 16:47