Blue Topaz
Lieutenant - La Guilde
Bronze
0 Pts
- Date d'inscription :
- 26/03/2021
- Gils :
- 14752
- Disponibilité Rp :
- dispo
- Messages :
- 280
- Métier :
- Membre de la guilde, garde/soldat
- Couleur d'Essence :
- Rouge
- Style d'Arme :
- Lance
- Rang :
- Or @@
- Puissance d'Essence :
- 9512
Blue Topaz
Identité
Âge : 25 ansSexe : Féminin
Race : Naga
Groupe: La guilde
Physique
Taille : 1m75 redressée, 4m39 au total
Poids : Très lourde mais que du muscle
Particularité Physique : I'm a snake
Mental
Mon Histoire
Petite description du monde de Topaz :
I)Le monde de Topaz
Le monde de Topaz n’est pas si différent de Portalia à ses yeux : il s'agit d'un monde remplie de magie et de nombreuses créatures, mais également d'un monde également austère, nécessitant de savoir se battre pour survivre.
Il n’en n’a pas toujours été ainsi, l’histoire de son monde est floue, mais tous les récits oraux s’accordent sur un fait : ce monde a connu un âge d’or, une époque de paix et de prospérité, un temps ou les multiples peuples cohabitaient, et vivaient dans d’immenses citées.
Les daemon et les daegons, étaient les gardiens de cette paix. Elles étaient les deux plus puissantes races de ce monde, presque immortel, et à ce jour encore considéré par certains comme des entités divines. Mais ces deux races ont fini par s’entretuer, la raison du conflit est inconnue, perdue avec le temps. Leur combat a ravagé le monde, réduisant les villes en cendre, faisant disparaître presque toute trace de cette ancienne civilisation.
Ce conflit a aussi changé l’écosystème à tout jamais, le sang extrêmement riche en mana de ces créatures a empoisonné la terre. Au point que le sol, mais aussi l’eau soit désormais imprégnée d’une grande quantité de mana. Le monde n’a pas dépéri, il ne s’est pas changé en un immense désert, la nature a trouvé le moyen de s’adapter au fils des décennies. Les plantes sont à présent riches en mana, mais faibles en nutriments. Les animaux herbivores ainsi que quelques races sont capables de digérer ce mana et de le transformer en nutriments. Quant aux autres créatures et peuples, ils doivent compter sur la chasse de ces herbivores pour survivre. Mais les animaux, à présent gorgés de magie, sont plus féroces et bien plus fort que dans les temps anciens. Ainsi, l’élevage et l’agriculture sont quasiment impossibles, la plupart des races doivent donc compter sur la chasse pour survivre. Mais un chasseur inattentif pourrait facilement se faire éventrer par un lapin à cornes.
C’est donc la loi du plus fort qui a primé durant le siècle suivant.
Les races qui ont survécu à ces changements sont celles qui ont pu évoluer, soit pour digérer le mana, pour consommer moins de nourriture, ou pour mieux chasser, les autres races qui n’ont pas été capables de s’adapter ne sont plus que de vieilles légendes.
II) Le refuge
L’absence de gardiens et le manque de nourriture ont provoqué de nombreux conflits parmi les races survivantes. Avec le temps ces peuples, affaiblis et fatigués des conflits, ont fini par s’isoler, se concentrant sur la survie de leur propre espèce. Ainsi, du temps de Topaz, la plupart des races vivent en petits clans nomades, ou dans des petits villages. Les interactions entre les différentes races se font un peu plus fréquentes, mais toujours avec beaucoup de prudence. Quelques petites villes ont réussi à se former, dans les lieux offrant une protection naturelle, par les races ayant le mieux réussi à prospérer.
« Le refuge » est une de ces villes, protégé d’un côté par des falaises et un océan, et de l’autre par une grande forêt. Il s’agissait à l’origine d’un petit campement crée par quelques personnes, bannit de leurs clans et n’ayant nul par où aller. Puis avec le temps, le refuge a accueilli de plus en plus de monde, les bannis, les faibles, les orphelins, les différents, ceux qui rejetaient les règles de leur clan. Le refuge a grandi, des murailles ont été construites, une organisation a été créé, jusqu’à devenir une sorte de figure d’autorité, une garde a été formée, protégeant les habitants, avec le temps elle commença aussi à venir en aide à d’autres clans, et à jouer le rôle de médiateur lors de conflits.
Le monde de Topaz n’est pas si différent de Portalia à ses yeux : il s'agit d'un monde remplie de magie et de nombreuses créatures, mais également d'un monde également austère, nécessitant de savoir se battre pour survivre.
Il n’en n’a pas toujours été ainsi, l’histoire de son monde est floue, mais tous les récits oraux s’accordent sur un fait : ce monde a connu un âge d’or, une époque de paix et de prospérité, un temps ou les multiples peuples cohabitaient, et vivaient dans d’immenses citées.
Les daemon et les daegons, étaient les gardiens de cette paix. Elles étaient les deux plus puissantes races de ce monde, presque immortel, et à ce jour encore considéré par certains comme des entités divines. Mais ces deux races ont fini par s’entretuer, la raison du conflit est inconnue, perdue avec le temps. Leur combat a ravagé le monde, réduisant les villes en cendre, faisant disparaître presque toute trace de cette ancienne civilisation.
Ce conflit a aussi changé l’écosystème à tout jamais, le sang extrêmement riche en mana de ces créatures a empoisonné la terre. Au point que le sol, mais aussi l’eau soit désormais imprégnée d’une grande quantité de mana. Le monde n’a pas dépéri, il ne s’est pas changé en un immense désert, la nature a trouvé le moyen de s’adapter au fils des décennies. Les plantes sont à présent riches en mana, mais faibles en nutriments. Les animaux herbivores ainsi que quelques races sont capables de digérer ce mana et de le transformer en nutriments. Quant aux autres créatures et peuples, ils doivent compter sur la chasse de ces herbivores pour survivre. Mais les animaux, à présent gorgés de magie, sont plus féroces et bien plus fort que dans les temps anciens. Ainsi, l’élevage et l’agriculture sont quasiment impossibles, la plupart des races doivent donc compter sur la chasse pour survivre. Mais un chasseur inattentif pourrait facilement se faire éventrer par un lapin à cornes.
C’est donc la loi du plus fort qui a primé durant le siècle suivant.
Les races qui ont survécu à ces changements sont celles qui ont pu évoluer, soit pour digérer le mana, pour consommer moins de nourriture, ou pour mieux chasser, les autres races qui n’ont pas été capables de s’adapter ne sont plus que de vieilles légendes.
II) Le refuge
L’absence de gardiens et le manque de nourriture ont provoqué de nombreux conflits parmi les races survivantes. Avec le temps ces peuples, affaiblis et fatigués des conflits, ont fini par s’isoler, se concentrant sur la survie de leur propre espèce. Ainsi, du temps de Topaz, la plupart des races vivent en petits clans nomades, ou dans des petits villages. Les interactions entre les différentes races se font un peu plus fréquentes, mais toujours avec beaucoup de prudence. Quelques petites villes ont réussi à se former, dans les lieux offrant une protection naturelle, par les races ayant le mieux réussi à prospérer.
« Le refuge » est une de ces villes, protégé d’un côté par des falaises et un océan, et de l’autre par une grande forêt. Il s’agissait à l’origine d’un petit campement crée par quelques personnes, bannit de leurs clans et n’ayant nul par où aller. Puis avec le temps, le refuge a accueilli de plus en plus de monde, les bannis, les faibles, les orphelins, les différents, ceux qui rejetaient les règles de leur clan. Le refuge a grandi, des murailles ont été construites, une organisation a été créé, jusqu’à devenir une sorte de figure d’autorité, une garde a été formée, protégeant les habitants, avec le temps elle commença aussi à venir en aide à d’autres clans, et à jouer le rôle de médiateur lors de conflits.
III) L’enfance
Ce fut un garde, lors de sa patrouille du matin, qui trouva un petit bébé abandonné devant le portail du refuge. Il n’y avait pas de lettre, pas de message, mais la personne qui avait déposé l’enfant devait s’en soucier puisque le nourrisson était emmitouflé dans plusieurs couvertures et à l’abri dans un petit panier en osier. Ce n’était pas la première fois que quelqu’un déposait un enfant au refuge, ils avaient l’habitude des orphelins, cependant le garde fut très surpris en voulant prendre l’enfant dans ses bras quant à la place de jambes, c’était une queue de serpent que l’enfant avait.
Les nagas, les hommes-serpents, vivaient en petits clans isolés dans des lieux chauds et humides, tels que les marécages. Ils étaient d’excellents chasseurs, mais étaient aussi très agressifs, chez eux, la force était importante et ils n’aimaient pas les étrangers, ni les faibles. Le bébé avait du sang de naga, ses écailles, ses yeux et son bas du corps de serpent en étaient la preuve, mais il était évident que l’enfant était de sang mêlé puisqu’il lui manquait beaucoup de caractéristiques de sa race. Les nagas de son monde étaient physiquement plus grands et larges que des humains, faisant jusqu'à 6m de long à l'âge adulte, ils avaient de longs crocs venimeux, des griffes acérés et ils étaient capables d’ouvrir en grand leur bouche pour engloutir de petites proies. Hors l’enfant n’avait rien de tout cela, elle avait une bouche et des mains « humaines » et de petits crocs ne produisant pas la moindre goutte de venin.
Comprenant qu’elle se serait fait tuer si elle avait été laissée dans un clan de naga, elle fut donc nommée Blue Topaz par la couleur de ses écailles et fut élevé parmi les autres orphelins. Le refuge lui offrit un toit, de la nourriture et autant d’éducation que ce monde pouvait offrir. Dans l’ensemble, elle avait grandi en sécurité et en parfaite santé, pour autant de sécurité que ce monde pouvait offrir, cependant étant l’une des seules hybrides de son genre, elle fut la cible d’attention et parfois de moqueries dans son enfance. Elle ignorait une partie de son origine, les oreilles pointues ne donnant pas beaucoup d’indications et n’ayant pas de traits propres à une autre race, elle aurait pu être moitié beaucoup de chose. Blue se focalisa donc sur ses origines de naga, elle eu une relation très compliqué avec ce qu’elle était et ce qu’elle devrait être.
Les nagas sont grands, intimidants et très puissants, elle fut moquée par les autres enfants pour n’être rien de cela. Les adultes l’avaient également averti qu’un naga pur-sang la tuerait sans hésitation et donc de ne pas essayer d’entrer en contact avec cette race. Ainsi dès un très jeune âge Blue associa le fait qu’elle n’était pas de pur-sang avec l’idée de faiblesse. Si elle ressemblait plus à un naga alors elle serait plus forte et plus intimidante et alors elle serait plus respectée et aurait plus de valeur aux yeux des autres. Mais les nagas sont aussi cruels, violents et impitoyables, et Topaz ne voulait être rien de cela. Le refuge valorisait l’idée de la solidarité et de l’entraide, de se serrer les coudes et de protéger les plus faibles face au monde impitoyable. Passant toute sa vie dans le refuge, Topaz avait adhéré à cette mentalité. Ainsi, son désir de devenir plus forte était aussi lié à l’idée de protéger Le Refuge et ses habitants.
Elle se mit donc à admirer certains adultes autour d’elle, notamment des personnes de la garde du refuge. Des créatures fortes, imposantes, intimidantes, les meilleurs chasseurs et guerriers tout ce qu’elle aimerait être. Elle les prit pour modèle, les idéalisa et commença à s’entrainer pour rejoindre la garde dès un jeune âge. Le trident était une arme de prédilection pour un naga, mais Topaz décida de plutôt manier une lance, une arme plus souvent utilisée par les membres de la garde. L'hybride fut entrainée dès un jeune âge pour devenir un bon petit soldat.
À l’adolescence, elle espérait qu’une poussée de croissance lui donnerait la carrure plus digne d’un naga, peut-être enfin du venin. Mais non, bien qu’elle était devenue une chasseuse habile, et que ses petites joues potelées d’enfant avaient disparues, Blue conserva son petit gabarit, enfin petit par rapport à un naga. Elle continua tout de même de s’entraîner sérieusement, et en devenant plus mature, commença doucement à accepter l’idée que peut-être qu’elle était bien comme elle était, peut-être qu’elle pouvait devenir forte à sa façon. Mais les insécurités ne disparaissent pas aussi aisément. Quand elle regarde dans le miroir, c’est parfois l’image de ce qu’elle devrait être qu’elle voit : une naga pur-sang, grande, imposante, confiante, narguant la petite hybride.
IV) Portalia
Blue était devenue une chasseuse aguerrie, suffisamment pour avoir le droit de chasser en forêt toute seule, tant qu’elle ne s’y enfonçait pas trop. Il s’agissait d’une journée de chasse comme une autre pour elle, la naga avait réussi à tuer un sanglier, une bonne prise, et était occupée à le vider de son sang avant de le rapporter au refuge. Et puis il était apparu, cet étrange portail, elle était familière avec la magie, mais c’était la première fois qu’elle voyait ce genre de chose. Pensant à une attaque, elle s’était mise en position défensive, lance pointée vers le portail, mais elle n’eut pas le temps de sortir un mot qu’elle fut aspirée dedans. Puis elle avait entendu ces étranges paroles et l’instant suivant elle n’était plus dans son monde.
C’est ainsi que la naga se retrouva au centre de Portalia, confuse, prête à se battre et couverte de sang de sanglier. Son arrivée ne provoqua pas le chaos, mais foutu bien la frousse à quelques âmes sensibles. Fort heureusement, un membre de la guilde la prit en charge rapidement et lui expliqua la situation. Blue se retrouva dans un environnement à la fois nouveau et familier en même temps. Il y avait, par exemple, de nombreuses créatures similaires à celles de son monde d’origine, soit avec quelques petites différences ou avec d’autres noms. Cette ville, Portalia, lui rappelait aussi Le refuge quelque part : petit bastion regroupant une multitude de race et les protégeant contre un monde austère.
Il lui parut donc naturel de rejoindre la guilde, lui rappelant son ancienne garde dans plusieurs aspects. Ainsi elle se fit rapidement une petite place dans ce nouveau monde tout en essayant de trouver ses repères. Blue doit donc se forger une nouvelle vie, reste à voir si ses démons l'ont suivit dans ce nouveau monde.
Informations Supplémentaires
Le bas du corps de Blue est une longue queue de serpent, mesurant environ 3m50 de long, avec des écailles bleu foncé, parsemée de zones d'écailles azure. Capable d'attraper et d'étrangler des proies de taille moyenne.
Le haut de son corps est musclé, avec des épaules larges et une peau cuivrée, des écailles parsèment son dos, ses épaules, le dessus de ses bras et le coté de ses yeux. Elle possède de longues oreilles pointues et des yeux de couleur gris-clairs avec des pupilles en fente, elle a de petits crocs et bien que sa langue ne soit pas bifide, elle est un peu plus longue que celle d'un humain. Ses cheveux sont bleu foncé et légérement frisés, court d'un coté et attaché en tresse de l'autre.
Elle a un tatouage, une ligne de pointillés sous ses yeux, un hommage discret aux peintures de guerre de son espèce.
Avec sa partie de serpent, il lui arrive de muer, une période assez désagréable pour elle. De plus, elle est assez sensible aux températures, détestant le froid et préférant les lieux chauds et humides. Elle peut facilement grimper aux arbres et nager, bien qu'elle ne soit pas une nageuse très rapide.
Blue se bat principalement avec un lance et porte une armure de plaque protégeant le côté gauche de son corps, celui exposé au combat. Il lui arrive de porter une sorte de manche couvrant le dessus de sa partie de serpent quand il fait froid. Sinon elle aime aussi attacher une lame ou des piques au bout de sa queue.
Le haut de son corps est musclé, avec des épaules larges et une peau cuivrée, des écailles parsèment son dos, ses épaules, le dessus de ses bras et le coté de ses yeux. Elle possède de longues oreilles pointues et des yeux de couleur gris-clairs avec des pupilles en fente, elle a de petits crocs et bien que sa langue ne soit pas bifide, elle est un peu plus longue que celle d'un humain. Ses cheveux sont bleu foncé et légérement frisés, court d'un coté et attaché en tresse de l'autre.
Elle a un tatouage, une ligne de pointillés sous ses yeux, un hommage discret aux peintures de guerre de son espèce.
Avec sa partie de serpent, il lui arrive de muer, une période assez désagréable pour elle. De plus, elle est assez sensible aux températures, détestant le froid et préférant les lieux chauds et humides. Elle peut facilement grimper aux arbres et nager, bien qu'elle ne soit pas une nageuse très rapide.
Blue se bat principalement avec un lance et porte une armure de plaque protégeant le côté gauche de son corps, celui exposé au combat. Il lui arrive de porter une sorte de manche couvrant le dessus de sa partie de serpent quand il fait froid. Sinon elle aime aussi attacher une lame ou des piques au bout de sa queue.
Un Petit Mot ?
snaaaaaaaaake
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Dim 2 Mai - 16:32