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Bronze
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Nous observions ce nouveau lieu avec grand intérêt. Ce dramaturge nous avait parlé tout du long et nous avions été captivé par son charisme et la facilité avec laquelle il parlait. Nous n’étions pas doué d’une aussi belle parole, c’était une réalité.
Vous pouvez nous appeler Aziraphale, car tel est le nom qu’Il nous a donné.
Le lieu était si grand, spacieux, avec une pointe de mystère qui rendait le lieu quasiment magique. Nous nous rappelions les explications qu’il nous avait fourni au cours de notre traversé. Il avait été Roi d’un royaume ayant perdu sa magie. Dans ce nouveau lieu que nous visitions, nous comprenions que nous y voyions les espoirs qu’il devait au fond de lui garder dans son coeur. Là où le sentiment d’ennui l’avait sans aucun doute envahit, ici, dans ce Cercle des Fées, nous y trouvions toute la curiosité qui avait mené cet homme à nous.
Nous avions été aussi curieux que lui. Et nous étions d’autant plus curieux à l’idée de savoir ce qu’il nous réservait. Il souhaitait savoir si nous étions “l’homme” qu’il lui fallait. Changer le monde, casser l’ennui et créer l’envie ; reproduire le désir logé dans chacun des êtres qui vivaient en ce monde. Leur donner vie, à leurs âmes et à leurs espoirs. Pourquoi pas ? Nous accueillons toujours, après tout, la nouveauté à bras ouvert.
Nous ne pourrions dire que nous connaissons ce que vous appelez l’ennui mais nous essayions régulièrement d’en comprendre le concept, pour mieux appréhender notre manière de le faire oublier aux personnes que nous côtoyons. Mais nous avons déjà remarqué que souvent, lorsque l’individu se retrouvait… paralysé par cet ennui qui semble vous avoir gagné, il semblait toujours vouloir s’en éloigner… Cet “ennui” semble être quelque chose qui repousse, qui déplaît… Nous trouvions ce concept intéressant mais peu propice à l’amusement… Alors nous l’avons toujours évité.
Le dramaturge nous montrait son antre avec grande joie. Était-ce une joie simulée ou réelle ? Là, le personnage nous présentait plus de mystère qui ne demandait qu’à être dévoilé. Sa grande euphorie nous paraissait semblable à certains de nos frères qui, sous couvert de vouloir toujours vendre leur bonne humeur, poussait l’artifice à son paroxysme. Nous nous étions alors éloignés de ces frères sans vérité pour trouver sur terre les humains qui nous embrassaient de leur authenticité.
Nous regardions le plafond de ce nouveau lieu, un instant, le regard perdu dans le vague. Cela nous faisait soudainement comprendre une chose. Nous nous étions éloignés de ces frères… nous avions donc fui nos frères… Avions-nous été ainsi gagné par cet “ennui” que semblait tant craindre notre Dramaturge ? Nous le regardions de tous nos yeux pour voir dans ce nouveau regard ce mélange que nous connaissions bien. Parce qu’à travers ses dernières paroles, il n’était pas compliqué pour nous de noter son malaise.
Nous n’avons jamais aucun malaise, et nous ne pensons pas grand-chose de ce lieu, mis à part qu’il semble vous convenir. Y êtes-vous à l’aise, vous ? Parce que nous avons des yeux, et nous voyions bien votre malaise lorsque nous sommes prêt de vous. Mais ne soyez pas dérangé par notre présence, car nous ne vous voulons que du bien…
Vous pouvez nous appeler Aziraphale, car tel est le nom qu’Il nous a donné.
Le lieu était si grand, spacieux, avec une pointe de mystère qui rendait le lieu quasiment magique. Nous nous rappelions les explications qu’il nous avait fourni au cours de notre traversé. Il avait été Roi d’un royaume ayant perdu sa magie. Dans ce nouveau lieu que nous visitions, nous comprenions que nous y voyions les espoirs qu’il devait au fond de lui garder dans son coeur. Là où le sentiment d’ennui l’avait sans aucun doute envahit, ici, dans ce Cercle des Fées, nous y trouvions toute la curiosité qui avait mené cet homme à nous.
Nous avions été aussi curieux que lui. Et nous étions d’autant plus curieux à l’idée de savoir ce qu’il nous réservait. Il souhaitait savoir si nous étions “l’homme” qu’il lui fallait. Changer le monde, casser l’ennui et créer l’envie ; reproduire le désir logé dans chacun des êtres qui vivaient en ce monde. Leur donner vie, à leurs âmes et à leurs espoirs. Pourquoi pas ? Nous accueillons toujours, après tout, la nouveauté à bras ouvert.
Nous ne pourrions dire que nous connaissons ce que vous appelez l’ennui mais nous essayions régulièrement d’en comprendre le concept, pour mieux appréhender notre manière de le faire oublier aux personnes que nous côtoyons. Mais nous avons déjà remarqué que souvent, lorsque l’individu se retrouvait… paralysé par cet ennui qui semble vous avoir gagné, il semblait toujours vouloir s’en éloigner… Cet “ennui” semble être quelque chose qui repousse, qui déplaît… Nous trouvions ce concept intéressant mais peu propice à l’amusement… Alors nous l’avons toujours évité.
Le dramaturge nous montrait son antre avec grande joie. Était-ce une joie simulée ou réelle ? Là, le personnage nous présentait plus de mystère qui ne demandait qu’à être dévoilé. Sa grande euphorie nous paraissait semblable à certains de nos frères qui, sous couvert de vouloir toujours vendre leur bonne humeur, poussait l’artifice à son paroxysme. Nous nous étions alors éloignés de ces frères sans vérité pour trouver sur terre les humains qui nous embrassaient de leur authenticité.
Nous regardions le plafond de ce nouveau lieu, un instant, le regard perdu dans le vague. Cela nous faisait soudainement comprendre une chose. Nous nous étions éloignés de ces frères… nous avions donc fui nos frères… Avions-nous été ainsi gagné par cet “ennui” que semblait tant craindre notre Dramaturge ? Nous le regardions de tous nos yeux pour voir dans ce nouveau regard ce mélange que nous connaissions bien. Parce qu’à travers ses dernières paroles, il n’était pas compliqué pour nous de noter son malaise.
Nous n’avons jamais aucun malaise, et nous ne pensons pas grand-chose de ce lieu, mis à part qu’il semble vous convenir. Y êtes-vous à l’aise, vous ? Parce que nous avons des yeux, et nous voyions bien votre malaise lorsque nous sommes prêt de vous. Mais ne soyez pas dérangé par notre présence, car nous ne vous voulons que du bien…
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Lun 19 Sep - 11:02