ARTWING Kilian


Identité

Âge : 41 ans
Sexe : Homme
Race : Lycan élémentaire
Groupe: Aventurier

Physique


Taille : 2m28
Poids : 130
Particularité Physique : Il a des crocs et des carnassières, ses yeux ambre brillent dans l'obscurité, ses oreilles son mobiles, sa peau est mate et sèche, "tatouer" de plusieurs dizaines de cicatrices sur le corps.

Mental





Mon Histoire


UN PEU DE CONTEXTE :
Eremendia, monde ou peu importe son espèce, l’on né avec la capacité de manipuler un des 8 éléments se faisant constituant d’Eremendia (Oui, il y a 8 éléments, vous ne saviez pas ?) : Ainsi sur une des grandes îles d’Eremendia, on fonctionnaient par rapport à un système proche du : Alpha et Bêta, dominant et soumis basique, si ce n’est que cette hiérarchie était basé sur la compatibilité et la dominance des éléments de chacun, par exemple – exemple non anodin à garder en tête – Ceux de la Terre était compatible avec ceux de la Foudre, mais la terre faisait partie des éléments soumis, et la foudre des dominant, alors aucune union entre eux n’était autorisé. Vous deveniez bien, que ce qui nous amène là, c’est que c’est ce qui c’est passer.

C’est donc une sorte de version de « Roméo & Juliette » version lycanthropes élémentaires, qui se produit. La jeune louve-garelle est électrisante, et le jeune loup-garou est terreux, c’est donc le coup de foudre, sauf pour les deux meutes. Comment leur pur et blanche loupiote pouvait ne serait-ce qu’un seul instant pensé, à se lié avec ce cul-terreux mal fini ! Maintenant, si vous connaissez l’histoire l’œuvre Shakespearienne, vous savez comment cela s’est fini…

Alors non ça ne s’est pas terminée exactement pareils, mais pour les deux jeunes gens la finalité à était la même. Ou plutôt, leur finalité, fut le début nos protagonistes : Lukaina et Kilian. Ils ont été traquer, pendant 4 longues années, pour plusieurs raisons : C’était contre tous bon sens hiérarchique naturel, ils n’en avaient pas le droit, quel genre de « monstre élémentaire » naîtrait de cette union, un honneur bafoué, une honte discriminante… 4 années pendant lesquels, était tout de même né les deux enfants, dans le second les conforta dans leur choix : traverser la mer, tous les quatres, jusqu’une autre terre ou ils seraient enfin libres ! Ils furent que 3 à partirent, dans une frêle embarcation…


SOMBRE DEBUT…
Capventis, an 1500 : S’étant discrètement éclipsé, tous ce qu’il avait à faire c’était tourner les talons, et partir. Partir, et avancer sans se retourner. Comme il l’avait fait à Auroria il y a des décennies. D’abord le portillon, celui de la clôture de la ferme-auberge près de la ville. Cette porte, il la clos, comme il ferme un petit pan de sa vie, comme quand il a fermé la porte, de la maison des ARTWING.
 
An 1459 : on trouve des enfants en bas âge, dans une embarcation déjà bien fragilisé – Oui, parce que ça se trouve comme ça, les enfants… - aux alentours d’Elbois : fiefs des Draccys – des fées d’ombres. Plus loin sur le rivage gisait un corps, lécher par les vagues, le corps d’une jeune femme… Les enfants, d’une taille monstrueuse - par rapport aux enfants de fées - portaient des médaillons, sur lesquels étaient inscrit leur prénom. L’une devait avoir 4 ans, l’autre moins de 1 an. Selon les Draccys, C’était peut-être une espèce animale plus ou moins intelligentes, mais les animaux, ça vivait dans des enclos, ou dans des cages, de petites bêtes toutefois bien curieuses et fascinantes, qui semblait imprégner d’une énergie spécifique. Si la plus grandes – Lukaina, de ce qui était écrit sur son médaillon - leur servaient d’esclave ménagèrent, le plus jeune garder en cage, était aussi grand qu’une Prixys ses 3 ans, se nommait Kilian - de par son propre médaillon – et, chaque fois qu’ils piquaient une colère et hurlaient, ils se formaient de petits arcs électriques sur leurs corps, et ils montraient leurs petits crocs de lait ! Surtout Lukaina quand les Draccys s’en prenait à son petit frère. Pourtant, elle se calmait bien vite quand les mauvaises fées menaçaient de plus belle, de faire du mal à la seule famille lui restant. Le temps de l’amusement était passé, les Draccys avait trouver une utilité à Kilian : être leur nouvel instrument de torture contre leur cousine Prixys ! Enfermer dans une cage prévue à cet effet, il lâchait « la bête » qui… semblait surtout effrayé, et inutile - c’était un enfant, que voulait-elle qu’il fasse ? - la première fois, la petite fée espiègle, n’avait pas été dupe longtemps, et à l’horrible surprise des détentrices du monstre : ils s’amusèrent tous les deux, ensemble. Jusqu’à ce que « la bête », fasse son office… En se transformant pour la première fois de sa vie : aider par les sympathiques suggestions mentales, malsaines et cauchemardesque, de ses détentrices. Il n’avait que 3 ans, cela sous les yeux de sa sœur. Pourtant les jeunes enfants grandissaient encore et toujours, et trop grands et dangereux à leur goût, surtout Kilian. Elles décidèrent donc un jour, de les chasser… Et Ils partirent, sans se retourner.

An 1500, La féline aubergiste de Capventis, jouait avec la petite lionne, alors que le loup solitaire débutait une longue marche, sans se retourner. Elles s’aperçurent cependant, qu’il manquait quelqu’un. Il était parti.
 
An 1466, le bruit de « terrifiantes bêtes », créé par les Draccys rôdant en Blumsdayl, attira des Luxys – des fées de lumières - qui dans leur grand altruisme, décidèrent d’aller tirer cela au clair. Des Luxys dont, les ARTWING. Les « bêtes féroces » elles, avait suivi leurs petits instincts, mangeant des fruits, des insectes, ou des restes laisser par des Prixys effrayer - surtout par le petit Kilian quadrupède et, sa frangine Lukaina hurlant à tût tête avec un gros bâton - Tous ce que les Luxys ont finalement trouver, c’est une petite fille et son… Chiot ? Louveteau ? Alors des « bêtes » créer par les Draccys, ils ne le croyaient pas en tout cas. Non, des créatures effarées, effarouchés… Qui comprenait cependant un peu, ce qu’on leur disait, sans pourtant pouvoir réellement répondre, surtout le petit Kilian qui restait dans forme de petit louveteau. Pour les Luxys qui les avaient trouvés, c’était naturellement évident : ils devaient les aider. Alors ils les emmenèrent, et ils vécurent avec les ARTWING. Il aura d’abord fallu, établir les bases d’une confiance authentique, difficile quand on se pose tant de question, comme : Pourquoi leur mère les avait abandonnés ici ? - ce qu’on avait fait croire à Lukaina, et qu’elle avait répété à Kilian - Est-ce que c’était pour leur bien ? Pour que d’autres gens, s’occupent mieux d’eux ? - quand on voit ceux par qui ils sont passé en premier… -  Pourquoi d’autres, et pas elle ? Parce qu’elle était partie rejoindre leur père sans eux ? - En quelques sorte… - Des questions qu’ils ne cessèrent de se ressasser pendant des années, surtout le petit Kilian…

An 1500, des questions qu’elle se poserait peut-être, sûrement, s’étant aperçu de l’absence de :
- Kiyan ? Kiyan ?! KIIIYAN !

Il ne retournerait pas en arrière, comme il l’avait fait, tant de temps. Il partait, comme quand il est parti d’Auroria, après des années d’interrogation sur son passé.

An 1467 : Moitié Fée ? Non, moitié animal, visiblement, mais quoi d’autres ? Ils étaient capables de « magie », mais pas de celle qu’on leur demandait. Heureusement, leur mère adoptive, Aingeal, enseignait la magie mais, ce ne fut pas celle qu’ils faisaient un peu par instinct ou réflexe, car ne la maîtrisait pas elle-même. Ils avaient beau essayer celle des fées, mais d’autres choses se produisaient : de l’électricité entre les doigts, certains objets qui se mettaient à « léviter », ou à s’approcher soudainement d’eux… Si Lukaina était plus calme, plus « civilisé », et arrivait à mieux se canaliser, pour Kilian c’était une catastrophe. Enfants, ils n’avaient eu que de rares camarades de jeux, jusqu’à ce qu’ils n’en aient plus un seul, et se contentent de n’être qu’eux deux : ils grandissaient, encore, encore et toujours « Un jour, ta tête elle touchera le ciel ! ». Même si c’était sur le ton de la moquerie, c’était beaucoup moins méchant que : les sans-ailes, les géants, les handicapés, les difformes, les monstres, les calamités… Pourtant, leurs parents leur disaient que le « Destin » s’occuperait d’eux – tous comme les Draccys croyait au « Destin » mais… D’une façon plus égoïste… - et eux, ils redoublaient d’effort pour être « un peu plus comme les autres » : dans leurs études avec leur mère, mais aussi dans l’expérimentation de leur propre capacité. Expérimentation qui, leur faisaient toujours se poser la question de : qui étaient-ils ? Qu’étaient-ils ?... Des êtres capables de devenir animaux certes, mais plus encore, car à Auroria le pays des fées on ne savait rien de l’extérieur du pays, et les seuls éléments que l’on manipuler étaient : Eau, Terre et Bois et lumière – Oui, chez les fées, la lumière est un élément…- Alors, oui il y avait de quoi se poser des questions au fil du temps. Les autres parents qui gardaient leurs enfants, de plus en plus loin d’eux, avant que d’encourager les ARTWING à les garder eux, chez eux, histoires de ne plus avoir de loups, se baladant dans les rues – sait-on jamais… - Et leurs parents, les encourageaient tout de même encore, à faire des efforts - Evidement, c’était des Luxys - Une idée à pourtant déjà germer dans l’esprit de Kilian : aller voir ailleurs, s’il y était. Dans le sens ou, peut-être qu’ailleurs il y avait d’autres « eux », peut-être leurs parents, les vrais ? Un endroit où ils ne seraient pas affublés de toutes sortes de sobriquets, ou ils ne seraient pas la « moitié de quelques choses », mais sa sœur et ses parents l’en dissuadait – Lukaina, surtout parce qu’elle ne voulait pas perdre son petit frère, et rester seule. Parfois même… Ses parents, influençaient ses rêves et ses pensées. Mais cela revenait, incessamment, et il se sentait de plus en plus comme un animal en cage, mais quel animal ? De quelle race ? De quelle espèce ? loups certes, mais et l’autre partie qui fait des étincelles ? Un jour : il se faufila jusqu’à la rive la plus proche, là où il avait construit et cacher, ce qui allait lui permettre de trouver réponse à ses questions. Il ne savait rien de l’océan, mais il était sûr qu’il y avait quelques choses au-delà, il devait y avoir quelques choses !

An 1500
- R-REVIENS ! REVIEEENS !
Cria-t-elle, trop petite pour sauter la clôture, bientôt entourer des bras affectueux, de Jenaya la lionne aubergiste. Non, c’était trop tard pour revenir ! Il avançait tout droit, comme il s’était avancer droit vers son radeau de fortune, qu’il avait fabriquer comme il avait pu en cachette.

QUE L’ODYSSEY COMMENCE…
An 1475, il quitte Laythall, il quitte Auroria, sans se retourner ! Malgré les cris de sa sœur ayant refusé de l’accompagner et, l’implorant de revenir. Elle avait peur, peur ce qu’ils trouveraient, hors de la sécurité des murs, que lui avait offert les ARTWING. Elle l’avait suivi, espérant qu’il y renonce au dernier moment, ou alors qu’en l’entendant l’appeler, il rebrousse chemin ! Elle aurait pu, elle aurait dû l’empêcher de partir, même si elle le voyait clairement chaque jour, qu’il n’était pas heureux, et il était encore si jeune pour elle... Elle s’en voudrait le reste de sa vie, tandis que lui rame droit vers l’inconnu d’une certitude profonde, droit vers un semblant de tempête… - Comme celle, qui se levait lentement à l’intérieur de lui, pendant qu’il marchait. Et il s’éloignait de la ferme auberge, comme s’éloignait son radeau, qui ne valait pas grand-chose - le doute commençait toutefois à l’assaillir de ses dards, face aux jugements des vagues contre l’irresponsabilité et, l’immaturité de son acte ! La foudre qu’il croyait son alliée, tonna même contre lui ! Encore, encore et encore, alors que l’océan se moquait de son insignifiance, en le ballotant en tous sens à sa guise, il hurla ! Il hurla à l’encontre de leur sentence sans appels, et hurla encore ! Jusqu’à ce que le ciel frappe son radeau, pour son insolence !

An 1500
- KIIIYAN ! REVIEEENS !
Il poursuivait son chemin, toujours, sans se retourner, mais on ne pouvait en dire autant de son estomac.

An 1475, retourner, comme les flots avait retourner la frêle embarcation. C’était comme-ci il l’entendait encore : « Kiliaaan ! Revieeens ! » mais il était parti, seul, sans elle, et même s’il voulait faire marche arrière, il ne le pouvait pas. Il s’accrocha, il s’accrocha de toutes ses forces. Il s’accrocha, au débris de son radeau - Comme il s’accrochait, à la conviction de bien faire - C’était trop tard, il avait fait un choix. Cependant, lui aussi aurait voulu avoir l’occasion, de crier, de toute ses forces, à leurs propres parents : Revenez ! Revenez nous chercher ! Peut-être qu’eux se seraient retournés ? Qu’ils auraient réfléchis et… Mais non. Non, il se réveil dans un lit, dans une pièce, toute petite, et il lui semble que cette « chambre » bouge ! Ainsi, il sort et monte un escalier de bois, alors que tout autour de lui semble tanguer. Pour cause, Kilian est sur un navire, en direction de : Capventis, en Myrtalia. Rien que sur ce bateau, énorme, il reste un moment médusé devant la « biodiversité » en présence : des gens, aux apparences atypiques ! Cependant, l’émerveillement ne dure qu’un cours instant : « Eh gamins ! T’as l’air plus en forme qu’hier ! » et « l’homme-ours » éclate de rire, alors qu’un « homme tout court » reprends : « Il est surtout moins pâle ! » et tout le reste de l’équipage rigole, quand « une autre » encore, avec des cornes, poursuit aussitôt « C’est bien beau tout ça mon biquet, mais croit pas qu’tu vas t’tourner les pouces ! » le voilà enrôler dans l’équipage, pour le reste de la traversée vers Capventis.  Sur ce même navire, avant de débarquer, il demande ou il peut en savoir plus sur son aptitude magique à l’électricité. Il apprendra, potentiellement, de qui ou de quoi il les tient ? Ce qu’ils lui ont cependant assurer, c’est qu’ils n’ont eux même jamais vu personne « manipuler de petites foudres », même en Myrtalia.

An 1500
- KIIIYAAAAAN !
Criait-elle, alors que la jeune aubergiste, à la crinière neige, la serrait dans ses bras, tous contre elle. Regardant « Kiyan » s’éloigner lentement, mais sans se retourner une seule fois.

An 1475, En débarquant à terre, il s’était retourné - mais là, présentement, il ne fallait pas ! Non, Surtout pas ! Il devait avancer ! Droit ! Seul ! Comme il l’avait toujours fait, envers et contre tout ! - Il devait persévérer dans sa quête. Au fil du temps, il étouffe la douleur, il prend sur lui et l’enfouis - restant sourd aux cris - Il arrive au-devant de cet homme, ce mage qui devait l’aider, et bon sang, que la plupart des humains pouvait être petits. Cependant, en « bon Luxys », il voit et course un voleur de bourse. Il le poursuit, et lui lance la première chose qui lui passe sous la main… Une fois la bourse en main, il était épuisé, il avait faim, il avait soif, il avait une bourse, il avait le choix. Jamais, le « Destin » ne lui avait rendu justice. Il pouvait agir pour lui-même, les Draccys ne s’en était jamais soucier, surtout après ce qu’il lui on fait subir plus jeune. Il avait faim, il avait soif, il avait une bourse, il avait le choix, il était seul…

An 1500
- KIIIYAAAN ! REVIENS ‘TE PLAIIIT !
Supplique, qui fendait le cœur de la lionne, à qui elle était confiée.

An 1475, Le propriétaire de la bourse le remercia et s’en alla. Il avait eu le choix et, la bourse… Il avait toujours faim, toujours soif. Qu’est-ce que cela lui avait rapporté - Qu’est-ce que cela, lui rapporterai… - Myrtalia, ne semblait pas être ce qu’il croyait. Son instinct, le poussait alors à aller vers une forêt et « Un instant ! Attendez, excusez mon étourderie. Jeune homme, je… Avez-vous mangez ? » Kilian ARTWING, sourit. Le propriétaire de la bourse, revenu sur ses pas, l’invita à l’auberge la plus proche - Il était revenu, lui, sur ses pas… - Cependant, ce n’était pas uniquement pour le remercier, dévisageant sa stature déjà bien impressionnante, pour son âge. Cet homme, avait une idée en tête, c’est ainsi qu’il entendit ce mot pour la première fois : « Mercenaires ».

An 1479, Kilian travaille pour cet homme : Claudius TORSSON, créancier. 5 années passé, où il a d’abord commencé par de « petites courses » ou « livraisons spécifique ». Cependant, l’ampleur de ses tâches, grandi en même temps que sa taille et sa corpulence, et surtout ses différentes aptitudes et compétences : là où il se trouvait, il n’avait pas son pareils, pour retrouver et récupérer, l’argent que les gens avaient emprunté, et souvent à Claudius lui-même. Sa pensée prenant de la maturité, il se demandait de plus en plus s’il agissait toujours, comme il fallait – surtout par rapport à son éducation passé. Bien sûr, il n’était pas toujours à courir à droite et à gauche, seulement quand Claudius le « sonnait », car celui-ci avait d’autres hommes, qu’il chargeait d’autres affaires. En 77, il s’est donc lié d’amitié, avec un forgeron, Torkild ERLANDSSEN. L’artisans, voyant ses regards contemplatifs, lui proposa alors un jour de lui apprendre à forger. Déjà, naturellement, attiré par cette matière qu’est le métal, il s’en sentit encore plus proche en la manipulant, naquit une passion pour la forge. TORSSON observait alors par moment, foudre et métal, ne faire qu’un, alors que Kilian cinglait. Ainsi, quand il ne travaillait pas avec TORSSON, il était à la forge – ce que Claudius, ne voyait pas d’un très bon œil, surtout par rapport à la relation entretenue avec Torkild… - Le travail du métal, semblait effectivement, réveiller bien des choses à l’intérieur du loup brun. La chaleur, le contact avec le métal, modeler celui-ci, transformer une loupe de fer en la cinglant, et là encore Torkild observait parfois avec stupéfaction : un outil métallique à distance de Kilian, venir à lui, attiré par un arc électrique. En forge, il n’est pas toujours nécessaire de frapper fort, mais il fallait surtout savoir, où et comment frapper. Forger était tout un art, qui exigeait autant de concentration, que quand il pistait quelqu’un, mais… Kilian sentait bien, qu’il y avait plus, tous comme Torkild. Néanmoins, les coups de Torkild témoignaient de son expertise, et il admirait cette maîtrise de la force brute, « Ce n’est pas le marteau qui forge, c’est l’enclume, alors rien ne sert de marteler comme un forcement. Tu t’épuise pour rien. » lui disait-il souvent au début. Il arriva même, avec le temps, qu’il le laisse faire quelques-unes de ses commandes, pendant qu’il s’occupait d’autres plus importantes. Pour peu qu’il puisse les finirent, avant que Claudius, ne viennent demander après le jeune homme - Torkild non plus, ne voyait pas la relation de Kilian avec Claudius, d’un très bon œil, et avait aussi ses propres raisons - pourtant selon lui, c’était un bon garçon qui n’avait pas besoin de ce genre d’individus, ainsi donc était partager le jeune demi-sang. Car Claudius avait été le premier, et le seul à l’avoir accepté comme il était, à lui faire confiance, aussi comme Torkild. Il n’eût néanmoins plus à se soucier de ce déchirement, quand la forge brûla… Il venait, de perdre un énième parent. Pourquoi ?

Toujours en 1479, quelques jours à peine après le drame, TORSSON demande à Killian de l’accompagner jusqu’à Goria. Pour une raison qu’il ne lui dévoila que, grossièrement : « Déposer de grands biens » qu’on lui a expressément demander, et compter quelqu’un de confiance comme Kilian dans ses rangs, était un plus. Goria, une autre terre au-delà des eaux, dont ERLANDSSEN lui avait parler, ou du moins, grâce à un de ses amis originaire de là-bas : un Dwarf, ou nain. Torkild, voulait voir les forges naines, il n’en a pas eu l’occasion. Décidément, ce monde était bien vaste, bien plus vaste qu’Auroria. Voyage maritime donc, qui ne manqua pas de lui rappeler le sien, qui l’éloigna de la terre des fées. Par certains côtés, les soirs étoilés, sa famille ailés, et surtout sa sœur, lui manquait - Lui manquerait-elle autant ? - y reviendrait-il un jour ? Il avait certes, un excellent sens de l’orientation, il trouvait toujours Nord semble-t-il d’instinct. Toutefois, comment retrouver Auroria, en pleine océan ? Les marins parlaient de suivre les étoiles, mais laquelle ? Dans quel sens ?

An 1500
- KIYAN, REVIEEEENS ! ! !
Il lui était impossible, de revenir. Il ne pouvait pas. Il ne devait pas, se retourner, comme à Auroria, comme à Goria...

An 1479, Traîtrise, et mensonge… Comme à Auroria. Ou comment se faire manipuler, par quelqu’un qu’on tient en grande estime ! Comme quand sa famille adoptive, le manipulait « pour son bien ». Ce n’était plus de la créance, en fait ça ne l’était plus depuis déjà bien longtemps : c’était de l’esclavage illégale, de l’esclavage... Il avait été bien trop aveuglé par les ambitions de son jeune âge, pour s’en rendre compte ! Ambition, que Torkild avait payer de sa vie ! De l’esclavage illégale, maquiller en « commerce de créatures exotiques » ! Commerce dont le forgeron, avait sans doute voulu finir par en toucher deux mots à Kilian. Histoire qu’il ne soit pas mêlé à tous cela. Certaines des personnes, dont il s’était « occuper » pour Claudius, en faisait d’ailleurs parti ! Des esclaves, pour leur faire payer leur dette, ici à Goria ! C’était lui, le responsable… Le responsable, de la mort de Torkild… L’un d’eux le lui avait soufflé.
Claudius ne démenti pas… Prit d’une rage féroce, il ne laissa que feu, cendre, métal tordu… et Claudius. Il l’a entendu, le supplié, de « revenir » vers lui, tandis que 2 de des esclaves de Claudius s’approchait de celui-ci. Le sang-mêlée poursuivant son chemin aider d’une elfe, qu’il venait de libérer parmi les autres, s’arrêta cependant un instant. Sans se retourner. Il écouta le vieil homme le supplier, puis les hurlements que celui-ci poussa, jusqu’à ce qu’il se tût… En chemin, lui et la jeune elfe, Bahia ADILA, échange et converse. En lui parlant de Torkild, elle décide pour le remercier, de l’amener ou vivent des amis à elle, des nains, soit à : Guirgan.  Là-bas, il fût remercié d’avoir aidé leur amie, et invité à rester quelques jours. Là, ici dans ce village quelque chose l’attira : une des fameuses forges naines. C’est en échangeant avec les nains, qu’il fit la connaissance de l’ami en question de Torkild, Afdal DAHIR, et lui appris le décès de celui-ci. Quelques jours à Guirgan, devinrent des semaines, n’ayant plus de « travaille » ou de moyen de quitter Goria. Des semaines, qui devinrent des mois, principalement en compagnie de Bahia et Afdal, puis des années.

An 1490 : 11 années à apprendre d’eux, 11 années à apprendre de lui-même ; Bahia en tant qu’Elfe, lui apprenait ce qu’elle savait de la magie, en l’aidant par divers conseils, afin d’optimiser sa maîtrise de la foudre. Cela en plus de ce qu’il se rappeler des enseignements d’Aingeal et, du temps pour pratiquer il n’avait que ça, tout comme pour la forge, avec Afdal où, il avait bien senti, que quelques choses voulaient s’éveiller : la maîtrise du métal. Suivant l’exemple des nains, autonomes et indépendant, il trouva le moyen de s’exercer, de s’entraîner, mettre en pratique ses différentes formation au travers d’une seule activité qui l’attirait de plus en plus : la chasse. Ce qu’il faisait déjà en fait à Myrtalia, mais seulement de temps à autres, et seul... Ainsi, la chasse de créatures diverses et variées, fût son activité principale, hors forgeage, et sans travail, il fallait bien manger - et ne pas compter seulement sur l’hospitalité de ses amis. Kilian avec le temps, développa une forme intermédiaire entre sa forme de loup quadrupède, et sa forme purement humaine ; Son élément de foudre plus offensif, il apprenait à l’utiliser de façon stratégique et créative, il finit même par éveiller le métal, avec l’aide de Bahia et Afdal. Pourtant, là encore se posa la question : quelle sorte de créature, pouvait bien avoir le pouvoir, de manipuler l’élément de foudre et de métal ? – qui finalement, dépendait de l’élément de Terre selon Bahia. De quelle espèce, de quelle race, pouvait bien être l’un des deux parents de Kilian ? Une nouvelle fois, d’où venait-il ? Et si Lukaina lui avait déjà parler succinctement de leur parent, elle avait plus grandi en tant que louve jusqu’à ses 4 ans qu’autres chose, n’ayant jamais concrètement vu leurs parents user de ces pouvoir-ci - ou elle ne voulait pas s’en souvenir ? - Donc, il n’était pas de Yazaar, le pays des elfes, pas de Goria, ou même de Terk Oasa, le pays des sirènes et autres créatures aquatiques - en même temps, ça se verrait. Alors d’où ? Pour le découvrir, il devrait voyager. D’où l’idée, en aidant Afdal à livrer des choses à la ville de Goria, de devenir « chasseur de primes », cela en voyant une affiche. Les subtilités du travail du métal, l’aiderait au niveau « logistique », et la foudre au niveau « offensive ». Tout était alors question, de réussir à travailler les synergies possibles, entre ses différentes aptitudes, car chasser un animal, n’était pas comme chasser un homme, un elfe, ou autre chose. C’est d’ailleurs ainsi, qu’il récolta la plupart de ses cicatrices, et pas des moindres, surtout celle au bas du dos… Quand il perdit, plus tard, son appendice caudal sous sa forme de loup, face à un démon.
Dans sa chasse, il avait alors 3 motivations : récolter assez d’argent pour quitter Goria, traquer le plus de crapules possibles du genre de Claudius, pour que des gens comme Bahia, ou Torkild, n’ait plus à subir les conséquences de leur délit ou crimes. Puis, enfin : peut-être qu’au cours d’une de ses traques, de ses chasses, l’une d’elle le conduirait au mieux chez lui, son vrai chez lui, mais voulait-il y retourner sans sa sœur ? Car pour l’instant, en quittant Goria pour aller « autres part », il serait seul. Toujours seul, ce qui n’est pas extraordinaire pour un loup. Arriva alors le moment pour lui, de partir, de nouveau. Partir loin, toujours sans se retourner. Sans regretter, de laisser de nouveau derrière lui, Bahia ou Afdal.

An 1500, Non, non il ne s’était pas retourné, mais… Ce vide, ce manque, cette solitude. Il s’était échappé, mais… De quoi ? Depuis ces dernières années, c’était les autres, qui tentait de s’échapper. Il le fuyait, lui les rattrapait, mort ou vif, selon la situation. Une prime après l’autre, il avançait, seul, mais… Vers quoi ? Vers qui ? Sinon pour lui-même. Dans une quête, qui ne semblait pas avoir de fin, une quête avec un objectif, aussi illusoire que celui des fées d’Auroria. Une quête qui le rongeait, et finirait sûrement par l’avoir à l’usure. Un jour pourtant, il s’est arrêter d’avancer, juste pour lui.
Il n’avançait plus, et il y avait ce soudain vide. Ses oreilles de chasseur, ne percevait plus rien. Était-ce, la distance ? Lui était-elle arrivé quelque chose ? Que lui était-elle arrivé, pour qu’un jour, il la trouve ainsi, toute seule.

An 1498, Cette nuit, assis devant son feu de camp, Kilian pensait à son retour à Auroria. Il avait réussi, à au moins y revenir mais, pour quel résultat ? Ses parents lui annonçant que sa sœur, avait disparu il y avait plusieurs années déjà… Kilian, reparti alors d’Auroria, vider intérieurement, mais pas ses mains. On lui avait donner, les seules choses qui était rester de Lukaina : un portrait de celle-ci sur un vieux parchemin, et son médaillon… Puis, il se senti soudainement épier. Un piège ? Une embuscade en préparation ? Non. Faisant tourner sa viande sur son feu, oreilles tendues, il percevait le mouvement à proximité. C’était petit et plus ou moins vif, une petite créature, peut-être un lièvre ou autres, mais ça n’en avait pas l’odeur. Il décida alors, de faire semblant de s’assoupir. De nouveau, de petits bruits éveillèrent ses sens, des petits pas dans l’herbe fraîche, de petits bruits d’effort et… Une chute d’objet ! Quand il se retourna, il y avait bien quelqu’un, ou quelque chose : qui a fait chavirer son gigot, et qu’il vit s’enfuir dans les fourrées ! La dernière chose qui marqua son esprit : une toute petite queue blonde, disparaissant en serpentant derrière les buissons. « Elle », à l’odeur, n’était pas bien loin, selon son ressenti électrique - Très pratique dans l’obscurité, même quand on est nyctalope - « Elle » était effrayé, il le sentait. Il se lève alors, en allant dans le sens opposer - contournant par la même, la mystérieuse petite créature, afin de la prendre à revers - le chasseur se déplace sans bruit aucun, de préférence, le plus possible face au vent. Puis, à une distance raisonnable : s’empare de sa cible, par la queue ! une fille ! Une toute petite fille, blonde, feulant comme un chaton, se débattant et gigotant, de toute ses petites forces la tête en bas ! Quelle surprise, que faisait-elle là ? Là, toute seule, nue et cacher dans ces fourrés. Il fallut un moment, avant qu’elle se calme. Enfin, qu’elle s’épuise plutôt. Poser à proximité de lui, il lui parla en mangeant, mais elle ne répondait pas, elle n’essayait même pas de fuir, trop occuper à salivait en le voyant manger. Finalement, il lui donna un morceau de viande qu’elle s’empressa de dévorer, s’en étouffant presque. Il essaya alors de nouveau « Sont où, tes parents ? », aucune réponse. Une nouvelle fois « Sont où, Papa et maman ? », « m-maman ? » répondit-elle d’une toute petite voix. « Oui. Ou est, ta, maman ? » elle pointe une direction du doigt, triste, en disant « M’man ‘atigué, dodo là ».

An 1500, Kilian, s’est retourné, là vers cette auberge à Capventis. Mais il n’y a plus personne. Elle n’était plus là, et il était de nouveau seul, mais il avait bien fait non ? Il avait fait comme ses parents, qui avait sûrement cru bien faire, eux aussi…

An 1498 : Toute seule, il n’y avait plus personne, pour répondre au doux nom de maman, pour Lili. Cela depuis déjà, presque 2 jours. Il lui avait demander, de l’emmener voir sa mère… - Est-ce que c’était ça, la vérité ? La vérité à laquelle, il s’était toujours refusez de pensée - l’ayant découverte, dans un état déplorable, il ne pouvait la laisser ainsi. Lili, n’était pas en âge de comprendre, et lui s’efforcer de ne pas y penser. Il enterra la « mère demi-lionne », et pour le coup, il arrivait à se demander : et si, ses véritables parents était mort… Avait-on eût, le même geste pour eux, ou potentiellement même, pour Lukaina ? Pensée, si horrible, si morbide… Elle n’avait pas bougé, en le voyant creuser le trou, mais quand il y mit le corps le recouvrant de terre, la petite alla subitement pour enlever la terre de ses petites mains… La terre s’agglutinait et s’amoncelait, plus qu’elle ne pouvait en enlever. Elle se mit alors en tête, d’aller le frapper, le mordre, le pousser… Et lui ? Qu’est-ce qu’il pouvait bien y faire ? Comment lui expliquer ? Il ne se l’expliquait pas lui-même… Alors, il la laissa faire. Probable, que lui et sa sœur auraient réagi pareils ? Il ne s’en souvenait pas, c’était trop loin, il ne se souvenait de visage ni de mère, ni de père, à part ceux des ARTWING et de Lukaina… La petite s’en souviendrait-elle ? C’était comme-ci, il se voyait enterrer sa propre mère, qu’il n’avait pas connu… Horrible, un cauchemar digne d’une Draccys. Pourtant, c’était bien la réalité, et celle de Lili.

An 1500, En y repensant, il se disait qu’après tout, elle lui avait causer tellement d’ennuis : après qu’il ait décidé de l’emmener avec lui. Il fallait toujours avoir l’œil sur elle, jamais la perdre de vue, toujours à trouver une bêtise à dire ou à faire, lui apprendre à dire merci, à ne pas voler, à ne pas taper les gens sans raison, et… Au bout d’un moment, elle faisait tous ce qu’il faisait, ou comment avoir une vision de soi, en modèle réduit. Flatteur ? Mignon ? Pas toujours, surtout quand il faut rattraper une de ses bêtises, et expliquer à des abrutis et crétins fini, que ce n’est qu’une enfant. Un autre jour, contre des enfants plus nombreux et plus grand qu’elle, quand s’amusait à la chahuter, elle avait « rugi » - ou au moins essayer - comme Kilian l’aurait fait, ou plutôt crier, hurler dans son cas. Elle le fit 1 fois, 2 fois, alors que les enfants se moquait d’elle, ils ont fini par détaller comme des Lapins ! Le géant, leur avait discrètement fait les gros yeux, et elle se retournant « ‘A vu, ai fait comme toi ! » toute fière. De nouveau, quand il s’arrêtait à une forge, elle le voyait taper avec un marteau, la chaleur ne la dérangeait pas, et elle le regardait faire, jusqu’à ce qu’elle veuille faire pareils… Et se fasse mal - Marteau trop lourd, pour ses petites mains – sans parler de la frayeur qu’elle a causé à Kilian. Il lui a alors fait un petit marteau, juste pour elle – avec lequel elle dort, comme un doudou - Un jour… Elle manqua de se faire béqueter, tuer. Il eut de nouveau peur. Peur, pour quelqu’un d’autres que lui. Pas que c’était la première fois, mais… Pour Lili, c’était différent. La seule, plus grande peur de sa vie, la perdre et… Est-ce que c’est pour ça, que ses parents l’avaient abandonné ? Avaient-ils eu peur, de lui ? De ne pas pouvoir, s’occuper de lui ? Est-ce que, c’était ça, qu’il fuyait ? La peur ? Celle, d’être seul ? Ou celle, de ne pas être à la hauteur ?

Kilian ARTWING, chasseur de prime, se remit finalement en marche, sous le regard de la lionne de Capventis…
- Kiyan, ai faim ‘te plait !
- Non, pas maintenant.
- Si ! Main’nant !
- J’ai dis, non.
- Si !

…Vers de nouvelles aventures : à Portalia ! - Hein ? - Oui, pendant qu’il marchait, tous simplement il entendit une voix lui parler d’une quête, et l’instant d’après se fit une grande lumière et :

- Fronçant les sourcils - Euh… Une minute, on est où là ?
- Kiyan, ai faim !


Informations Supplémentaires


Si Kilian daigne ouvrir la bouche, autrement que pour manger ou bâiller comme un fauve : ce sera pour parler naturellement, et franchement, sinon il, ne parle vraiment qu’avec une personne : Lili. . Vous, s’il ne vous connaît pas encore bien, ou qu’il n’arrive pas à vous cerner, il faudra vous contentez d’un « ensemble de vocalise » entre le grondement, le grognement ou le soupir. Il plutôt un tempérament protecteur - surtout à l’égard de Lili – Protection donc, et loyauté, qu’il ne donne pas facilement à tout le monde - seul personne, bénéficiant de la dites protection étant : Lili, ceux qui en ont « vraiment » besoin, ou qui paient bien. Il déteste par-dessus tout, que Lili soit une victime, surtout parce que sa seule et plus grande peur, c'est la perdre, comme il a perdu bien des gens : ses parents, sa sœur, Torkild... Pour le coup, Kilian en société, c’est donc « Bonjour, s’il vous plait, merci, aurevoir » ça va - encore heureux, pour l’éducation de la petite Lili - mais quant à ce qui est des rôts et des pets, c’est autre chose - Et Lili, elle rigole, et elle suit… - ce qui fait la première chose qu'on voit quand il arrive quelques part, c’est souvent une petite tête blonde, qui gigote parfois à sa cime. Alors pour le coup, au début, une ville ou un village pour Kilian ça ne servait qu'à 3 choses :

1 - trouver du travail : pour s’acheter les matières premières, dont il aurait besoin pour forger, ou se payer les voyages par bateau dont il aurait besoin.
2 - Forger : S’il était possible de se balader avec une « forge portable » il le ferait, mais ça n’existe pas. Cela à des fins logistiques, car un bon chasseur, c’est aussi quelqu’un sachant entretenir efficacement son « équipement », et si possible en trouver d’autres, pour l’aider dans sa tâche.
3 - Lili : pour qu’elle lui fiche la paix, et arrête de lui casser les pieds, et les oreilles pendant un moment… les déplacement de nuit, même sans torche, ne le dérangeait pas plus que ça - nyctalopie - d’où le fait aussi, qu’il ne s’arrêtait jamais dans des auberges, préférant un bon feu de camp. Sauf s’il faisait vraiment froid - surtout pour Lili en fait – même s’il n’y est pas trop sensible, outre-mesure.

Quand à ce qui est des histoires de races, espèces ou cultures... Qu'est-ce qu'il en pense ? Et bien pas grand-chose. Partout il allait c'était la même chose, ça changeait juste de nom ou de forme, et du moment qu'il était payer et pouvait poursuivre sa route tranquille, avec Lili. Ah si, seule petit bé mol racial : le sujet des démons. Même si ce n'est même pas un sujet. Dans son monde, Eremendia, ils ont pop comme ça, et des milliers de gens sont mort, pour enrayer, arrêté leur arrivé, et lui même à personnellement payer un assez lourd tribu pour ça. Alors si on lui demandait, il en chasserait même "gratuitement" - ce qu’il a déjà fait en fait... - Ceux qui le sont à moitié ? Parce que ça existe... Les pauvres, il n’en peuvent rien, si le sort c’est acharné contre eux, ils sont déjà assez mal loti comme ça, pour qu'il leur cours après.

Cependant, petit détails à son sujet, que vous soyez prévenu : vous pourriez par moment, voir de l’électricité sur son corps, selon son état émotionnel, ou son activité physique en cours, créant de subtils petits arcs électriques, sans conséquence : enchaînement rapide de coups, course à pieds... Summum atteint, quand il hurle. Si vous êtes à proximité immédiate de lui, à ces moment, tous ce que risquez c'est que vos cheveux et poils se dressent - électricité statique.

Mais oui, bien sûr qu'il y a un petit mot pour elle, évidement, vous allez lu son prénom tous le long, vous l'attendiez tous, et voici : Lili ! Alors kézako "Lili", c'est une petite lioncelle - Oui, ça se dit, c'est le féminin de lionceau - de 4 ans, à la crinière mi-longue blond miel, toute douce, et yeux bleus joueur, ses petites oreilles rondes qui bougent tous le temps, et a qui encore des crocs de lait,mais ça ne veut rien dire... Si elle vous mord, vous le sentirez passer quand même - et elle adore ça, mordre... - d'ailleurs du coup, elle ne sait pas encore maîtrisé ses transformation. En fait, il suffit qu'elle éternue et ce sont ses oreilles, sa petite truffe rose et sa petite queue blonde qui apparaissent ! A 4 ans, elle est déjà très courageuse, et fait et cherche à faire tous ce Kilian fait évidement - même ce qu'il faut pas... Surtout ce qu'il faut pas... - Elle a aussi du mal avec ses petites griffes, alors faites-y attention. Il peut arriver, que vous voyez Lili chevaucher toute contente un grand loup noir avec une boucle d'oreille... Ne chercher plus, c'est bien Kilian que Lili chevauche, parce que... Voilà. D'ailleurs au suejt de l'unique boucle d'oreille d'oreille de Kilian : Lili en voulait, "pour être jolie" mais elle avait quand même peur de se faire percer les oreilles. Kilian s'en ai fait percer une, pour lui montré que c'était pas la mère à boire.
Il arrive parfois que Lili tente de l'appeler "Papa" - parce que forcément, ça lui manque en tant qu'enfant, mais Kilian la reprend toujours... Il n'estime pas méritait, qu'elle l'appel "papa". Sinon, oui, elle se promène toujours avec son petit marteau-doudou !


Un Petit Mot ?


Bah je vais me répété, parce que pourquoi pas xD Euh… Alors oui, j’aime toujours autant casser des murs. J’ai à cet instant T précis, où vous lisez, DEJA 32 ans. Je dessine toujours mes avatars, comme vous le voyez avec Kilian, parce que chercher le « bon avatars » pendant un temps infini, ça m'agaçe toujours autant xD. Donc oui, j’aime dessiner, écouter des BO de Jeux vidéo ou films – Non, toujours pas de "métal", jamais… JAMAIS ! - et je kiff toujours cette phrase de notre chère Sergent Rex bien aimée "Je préfère vous prévenir, nous sommes un forum TOUT PUBLIC. Nous sommes ici pour vivre des aventures et non pas pour faire des galipettes." et j'aime toujours autant PAS, ce qui est blague ou humour beauf, ou en-dessous de la ceinture. Sinon, je trouve que le design épuré du forum est toujours aussi aussi attrayant, et que le bleu lui va tout aussi bien que le vert, et le contenu toujours aussi intéressant et prometteur, en vous renouvelant mon souhait de longue vie et prospérité.

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