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Zeldris n'avait pas fait grand-chose aujourd'hui. La première chose qu'il a fait dans la matinée à son réveil a été de donner du lait de chèvre aux trois chatons qui se sont régalés. Cela fait, il a nettoyé l'auberge où il accueillait tous ses clients afin que ce soit propre et convenable afin qu'ils soient satisfait. Cela ne lui prit qu'une petite heure, mais il avait enlevé bien des débris qu'il n'avait pas vu la veille au soir lorsqu'il avait fermé l'établissement pour le soir. Maintenant que l'auberge était propre, il ne s'arrêtait pas en s'y bon chemin. Si bien qu'il montait à l'étage afin de s'occuper des chambres en nettoyant tout ceux inoccupé. Enlevant poussière et saleté. Ce n'était qu'après avoir fait les chambres vides qu'il cognait aux portes où se trouvait des clients afin de prendre le linge et diverses autres choses.

Cela fait, il remontait du linge propre et tout ce qu'il s'en suivi. Néanmoins, il fallait encore qu'il fasse l'inventaire dans la cuisine et des boissons. Ce qui ne lui prenait pas trop longtemps. Il tenait toujours à jour un carnet et vérifiait chaque matin s'il ne lui manquait rien. On n'est jamais à l'abri de voleurs ou autre dans une auberge. Tout cela fait, il pouvait enfin ouvrir et installé tables et chaises pour recevoir les clients qui venait par vagues. Ce n'était vraiment rien de compliqué à ses yeux. Le temps passait inexorablement plus vite en travaillant qu'en faisant rien du tout. Peu lui importait s'il avait du monde ou non. Le jeune homme avait toujours certaines choses à faire afin de ne pas s'ennuyer. Comme à son habitude l'un de ses chatons se rendait sur plusieurs tables où il ne reçu que des caresses de la gente féminine principalement. Et bien que la gente masculine n'appréciait pas trop que le chaton monte sur leur table, il ne lui faisait aucun mal.

En milieu d'après-midi, alors qu'il avait moins de monde, il laissait l'un de ses employés s'occuper de l'auberge. Pendant ce temps-là, il en avait profité pour se rendre au vignoble se trouvant non-loin de la cité afin d'y faire une inspection et prendre quelques bouteilles ainsi que des grappes. Il ne lui en manquait pas, mais il préférait prévoir plutôt que d'en manquer. Cela lui prenait une bonne heure, mais il pouvait rentrer en toute tranquillité. Ce qu'il voyait alors à son retour était un désordre qu'il remit au pas en quelques pas et regard. A croire qu'il ne pouvait pas quitter trop longtemps son établissement.

Quoi qu'il en soit la soirée s'annonçait animé et il reprenait sa place derrière le bar dans l'auberge où il servait les gens au comptoir et donnait les commandes pour les repas ou boisson commander.
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Miaulement autour d'un comptoir
feat. Zeldris


La brise était douce et légère, ses cheveux flottaient au gré du zéphyr. Quelques mèches se perdaient devant ses yeux, alors elle les ramenait délicatement derrière son oreille. Son poids s’affaissa contre le rebords de la fenêtre, scrutant d’un œil les rues de Portalia qui étaient toujours aussi animées la nuit. L’été était là, forcément les plus fêtards sortaient s’amuser entre amis.
À ses côtés, il y avait ce cygne en papier, bien trop imparfait. Elle lui accordait une signification toute particulière, mais aussi un attachement qu’elle n’aurait pas pu décrire si facilement. Benedikt. C’était lui qui lui avait offert, bien que ce dernier l’avait fait avec son dur labeur à la bibliothèque. Helen était sans doute idiote de croire qu’il y avait encore du bon en lui, qu’il y en avait toujours eu. C’était l’illusion à laquelle elle voulait croire, comme à la religion, comme aux Dieux.
C’était sa manière à elle de maintenir sa place dans ce monde. Personne ne pouvait lui reprendre ça, personne ne lui arracherait son petit bonheur.

   Les Dieux nous ont abandonnés, Helen. Pourquoi continues-tu d’y croire ?


Et elle se rappelait soudainement du livre qu’elle avait lu dans son enfance, celui comparant les dragons avec les divinités. Dans ses souvenirs, elle avait prié deux jours et deux nuits pour qu’on le lui pardonne. Tous les exemplaires avaient été brûlés, sans exception, mais Helen avait toujours gardé une page de ce livre, chez elle, à Hetacta. Tout était plus ou moins flou dans son esprit, mais une phrase avait marqué son esprit :

   La cupidité des Hommes avaient contraint les Dragons à s’enfuir plus profondément dans le froid glacial d’Hetacta. Mais ils continuent de veiller sur la cité. Elle était connue comme la cité des Dieux.


Ici, les Dieux faisaient références aux Dragons. Pendant son temps à l’orphelinat, Helen avait eu le malheur de penser que ceci était vrai. En y repensant, c’était une bonne époque d’innocence.
Tiens, pourquoi ne pas sortir ce soir ? Après tout, elle avait besoin de décompresser un peu, d’oublier sa cité natale pour une nuit. Aussitôt, la jeune femme s’était vêtue de sa tenue de ville habituelle, bien que sa longue jupe avait été troqué par un pantalon droit taille haute, toujours de couleur sobre.

Dehors, ils faisaient toujours plus ou moins clair, mais aucun doute : c’était bel et bien le soir. La jeune femme lézardait être les citoyens, en prenant garde a n’en bousculer aucun, elle ne voulait pas se confondre en excuse. Suivant le mouvement de cette foule dense, elle fut vite amener vers une auberge qui commençaient à se remplir petit à petit. Curieuse de savoir ce qu’il pouvait y avoir de bien intéressant, Helen y entra.

C’était la première fois qu’elle sortait le soir pour rentrer dans un bâtiment de la sorte. Mais qui dit nouvelle ville, dit nouvelle vie.
Mais forcément, elle avait l’air moins confiante que d’origine en entrant ici. Son instinct de survie lui criait d’aller au comptoir, pour être seule, pour ne pas à avoir se mêler de trop à la foule.

C’était donc ça la « débauche » qu’il aimait tant à Hetacta ? Toutes ces personnes, buvant, riant à gorge déployé. C’était ça être un bon vivant ?

Codage par Jibunnie surNEVER-UTOPIA

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