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Bronze
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Quand on passe toutes ses journées à jouer du violon ou à composer des musiques, il faut parfois penser à faire des pauses. Reposant mon crayon après avoir écrit une énième partition, je lâche un long soupir et m’étire.
Parce qu’il faut que je me détende les jambes, je me lève et attrape ma veste avant de me diriger vers la sortie. Fermant à clé l’appartement, je descends tranquillement les escaliers pour déboucher dans la rue. Comme d’habitude, il y a du monde partout et pour une fois ce n’est pas ce que je recherche.
Plongeant mes mains dans mes poches, je m’éloigne du centre-ville en direction des portes de la ville. J’ai besoin d’un peu d’air frais, un peu de nature et je sais parfaitement où trouver ça. La campagne, les champs à perte de vue, ne pas croiser quinze mille personnes et devoir sourire et dire bonjour sans cesse, voilà ce qui me fait plaisir.
Les yeux levés vers le ciel, je profite du beau temps pour marcher sans m’occuper vraiment de là où mes pas me mènent. Enfin… Jusqu’à ce que je réalise que j’ai naturellement pivoté pour me rendre vers la cabane du mage fou. Posant ma main sous ma veste, je vérifie si j’ai bien ma dague sur moi avant de soupirer. Bien que ce soit un lieu où je vais de temps en temps, là, ce n’est pas ce dont j’ai besoin aujourd’hui. Me détendre, juste, me détendre avant de reprendre ma vie d’artiste là où je l’ai laissé.
M’arrêtant pour regarder autour de moi, je repère un arbre au centre d’un pré. Son ombre s’étend assez pour inviter à venir s’installer à son pied pour une petite sieste. Sans hésitation, j’enjambe le mur de pierre qui ceinture le pré et m’avance vers l’arbre. Les mains dans les poches, je lève les yeux vers son feuillage qui bruisse doucement sous la brise légère avant de m’asseoir sur l’herbe.
Les bras autour de mes genoux, je ferme les yeux pour sentir l’air doux sur mon visage. C’est si bon de pouvoir se sentir ainsi libre, sans devoir respecter absolument toutes les lois de Portalia. M’allongeant sur l’herbe, je croise les bras derrière ma tête et me laisse aller au sommeil.
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, les feuilles au-dessus de moi semblent beaucoup moins s’agiter et la luminosité est bien moins violente que quand je suis arrivé. Combien d’heures sont passées, je n’en ai aucune idée mais je m’en fiche, j’avais bien besoin de ce moment de détente.
Restant allongé sur l’herbe, j’observe les branches et le ciel que j’aperçois entre les feuilles de l’arbre. Pour le moment, je n’ai pas envie de quitter cet endroit où je me sens bien. Je sais qu’il faudra que je rentre à un moment ou un autre mais pas maintenant. Tout doucement, je commence à fredonner quelques airs de ma propre composition. Peut-être mon futur chef-d'œuvre, qui sait…
Parce qu’il faut que je me détende les jambes, je me lève et attrape ma veste avant de me diriger vers la sortie. Fermant à clé l’appartement, je descends tranquillement les escaliers pour déboucher dans la rue. Comme d’habitude, il y a du monde partout et pour une fois ce n’est pas ce que je recherche.
Plongeant mes mains dans mes poches, je m’éloigne du centre-ville en direction des portes de la ville. J’ai besoin d’un peu d’air frais, un peu de nature et je sais parfaitement où trouver ça. La campagne, les champs à perte de vue, ne pas croiser quinze mille personnes et devoir sourire et dire bonjour sans cesse, voilà ce qui me fait plaisir.
Les yeux levés vers le ciel, je profite du beau temps pour marcher sans m’occuper vraiment de là où mes pas me mènent. Enfin… Jusqu’à ce que je réalise que j’ai naturellement pivoté pour me rendre vers la cabane du mage fou. Posant ma main sous ma veste, je vérifie si j’ai bien ma dague sur moi avant de soupirer. Bien que ce soit un lieu où je vais de temps en temps, là, ce n’est pas ce dont j’ai besoin aujourd’hui. Me détendre, juste, me détendre avant de reprendre ma vie d’artiste là où je l’ai laissé.
M’arrêtant pour regarder autour de moi, je repère un arbre au centre d’un pré. Son ombre s’étend assez pour inviter à venir s’installer à son pied pour une petite sieste. Sans hésitation, j’enjambe le mur de pierre qui ceinture le pré et m’avance vers l’arbre. Les mains dans les poches, je lève les yeux vers son feuillage qui bruisse doucement sous la brise légère avant de m’asseoir sur l’herbe.
Les bras autour de mes genoux, je ferme les yeux pour sentir l’air doux sur mon visage. C’est si bon de pouvoir se sentir ainsi libre, sans devoir respecter absolument toutes les lois de Portalia. M’allongeant sur l’herbe, je croise les bras derrière ma tête et me laisse aller au sommeil.
Quand j’ouvre à nouveau les yeux, les feuilles au-dessus de moi semblent beaucoup moins s’agiter et la luminosité est bien moins violente que quand je suis arrivé. Combien d’heures sont passées, je n’en ai aucune idée mais je m’en fiche, j’avais bien besoin de ce moment de détente.
Restant allongé sur l’herbe, j’observe les branches et le ciel que j’aperçois entre les feuilles de l’arbre. Pour le moment, je n’ai pas envie de quitter cet endroit où je me sens bien. Je sais qu’il faudra que je rentre à un moment ou un autre mais pas maintenant. Tout doucement, je commence à fredonner quelques airs de ma propre composition. Peut-être mon futur chef-d'œuvre, qui sait…
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Jeu 29 Déc - 16:11